| 1845 - 338 pages
...jeter des cris, mais des cris mêlés d'une » si extrême joie que je ne pouvais désirer d'êlre délivrée d'une » douleur si agréable, ni trouver...qu'en Dieu seul. Cette douleur dont je parle n'est pas corpo> ivlle. mais spirituelle, quoique le corps ne laisse pas d'y avoir » beaucoup de pari. > ( Vit... | |
| Brocard de Sainte Thérèse, U. A. Beaucarne - 1846 - 518 pages
...si grand amour de Dieu , que la violence de ce feu me faisait jeter des cris , mais des cris mêlés d'une si extrême joie que je ne pouvais désirer...Cette douleur dont je parle n'est pas corporelle, mais tonte spirituelle , quoique le corps ne laisse pas d'y avoir beaucoup de part ; et ta douceur des entretiens... | |
| Alphonse Karr - 1853 - 446 pages
...si grand amour de Dieu, que la violence de ce feu me faisait jeter des cris, mais des cris mêlés d'une si extrême joie, que je ne pouvais désirer...Cette douleur dont je parle n'est pas corporelle, mais spirituelle, quoique le corps ne laisse JKIS d'y avoir beaucoup de part. » (Vie de sainte Thérèse,... | |
| Alphonse Karr - 1867 - 326 pages
...faisait jeter des cris, mais des cris môles d'une si extrême joie, que je ne pouvais désirer d'êlre délivrée d'une douleur si agréable, ni trouver...Cette douleur dont je parle n'est pas corporelle, mais spirituelle, quoique le corps ne laisse pas d'y avoir beaucoup depart. » (Vie de sainte Thérèse,... | |
| Alphonse Karr - 1868 - 660 pages
...faisait jeter des cris, mais des cris mêlés d'une si extrême joie, que je pe pouvais désirer d'êlre délivrée d'une douleur si agréable, ni trouver...Cette douleur dont je parle n'est pas corporelle, mais spirituelle, quoique le corps ne laisse pas d'y avoir beaucoup depart. » (Vie de sainte Thérèse,... | |
| Académie nationale des sciences, arts et belles-lettres de Caen - 1893 - 778 pages
...Fénelon. d'un si grand amour de Dieu, que la violence de ce feu me faisait jeter des cris mêlés d'une si extrême joie, que je ne pouvais désirer d'être délivrée d'une douleurs! délicieuse. » Demandez aux médecins d'aujourd'hui la raison de cette merveille. Bossuet... | |
| 1902 - 400 pages
...si grand amour de Dieu, que la violence de ce feu me faisait jeter des cris, mais des cris mêlés d'une si extrême joie que je ne pouvais désirer...le corps ne laisse pas d'y avoir beaucoup de part. » C'est donc bien une réalité que le Bernin a fait exactement revivre dans le marbre. Mais alors... | |
| Gustave Téry - 1902 - 368 pages
...d'un si grand amour de Dieu, que la violence de ce feu me faisait jeter des cris, mais des cris môles d'une si extrême joie que je ne pouvais désirer...délivrée d'une douleur si agréable ni trouver de repos ni de contentement qu'en Dieu seul. Cette douleur dont je parle n'est pas corporelle mais toute spirituelle,... | |
| Jules Pacheu - 1909 - 420 pages
...l'embrasait d'amour, la violence de ce feu lui faisait jeter des cris, « mais des cris, dit-elle, mêlés d'une si extrême joie que je ne pouvais désirer...délivrée d'une douleur si agréable, ni trouver de repos ni de contentement qu'en Dieu seul ». Elle y revient au sixième chapitre de la sixième demeure.... | |
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