Oeuvres, Volume 5

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Page 128 - ... 0 profondeur des trésors de la sagesse et de la science de Dieu! que ses jugements sont incompréhensibles , et...
Page 124 - Et l'Esprit du Seigneur se reposera sur lui, — l'esprit de sagesse et d'intelligence, l'esprit de conseil et de force, l'esprit de science et de piété. Et il sera rempli de l'esprit de la crainte du Seigneur.
Page 229 - ... un nom. Errant dans le secret des solitudes ou dans les splendides carrefours des villes célèbres , le jeune homme se sent oppressé d'aspirations sans but ; il s'éloigne des réalités de la vie comme d'une prison où son cœur étouffe, et il demande à tout ce qui est vague et incertain , aux nuages du soir, aux vents de l'automne, aux feuilles tombées des bois, une impression qui le remplisse en le navrant.
Page 331 - Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ; mais je vois dans mes membres une autre loi qui lutte contre la loi de mon esprit, et qui me rend captif de la loi du péché qui est dans mes membres. Malheureux que je suis ! Qui me délivrera de ce corps de mort...
Page 245 - Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée. C'est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Page 238 - C'est mon devoir : tel est le mot suprême de la conscience. Jamais la conscience n'a dit : C'est mon intérêt. Si elle le disait, elle serait perdue, parce qu'elle se désarmerait en substituant une idée basse à une idée généreuse, un calcul susceptible d'illusion à une certitude dogmatique absolue. Tout ce qui s'est fait de grand dans le monde s'est fait au cri du devoir; tout ce qui s'y est fait de misérable s'est fait au [nom de l'intérêt.
Page 294 - La femme lui répondit : Nous mangeons du fruit des arbres qui sont dans le paradis ; mais pour ce qui est du fruit de l'arbre qui est au milieu du paradis, Dieu nous a commandé de n'en point manger, et de n'y point toucher, de peur que nous ne fussions en danger de mourir.
Page 230 - C'est Dieu, en effet, c'est l'infini qui se remue dans nos cœurs de vingt ans touchés par le Christ, mais qui se sont éloignés de lui par mégarde, et en qui l'onction divine, n'obtenant plus son effet surnaturel, soulève néanmoins les flots qu'elle devait apaiser. Jusqu'en nos jours déjà blanchis il nous...
Page 178 - Demandez, et il vous sera donné ; cherchez , et vous trouverez ; frappez, et l'on vous ouvrira.
Page 371 - Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et...

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