Revue canadienne, Volume 9Alphonse Leclaire Revue canadienne, 1872 |
Contents
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Common terms and phrases
Adala américain anglais arriva Aubin avaient Baie Baie d'Hudson Baptiste bientôt bois bord c'était Canada canadien canot chambre chemin de fer chemin du Pacifique cher chose Clément cœur Colombie Britannique colonie commerce considérable côté coup dernier devant Dieu dire dit-il donner Dorking Dornthal enfant Etats-Unis étions eût faisait femme Fleurange frère Gabrielle Gatineau gouvernement gouverneur heures hommes instant j'ai j'avais jamais Jean Renousse jeune fille Joliet JOSEPH TASSÉ jour l'Angleterre l'Ouest l'Outaouais lac Huron Lac Supérieur laisser longtemps Louis Joliet Madame St main maison malheureux Matawin ment mère Madeleine milles monde montagnes Montagnes Rocheuses Montréal n'avait n'était nation navire nord Nouveau-Brunswick Nouvelle-Ecosse Outaouais parler paroles passé Paulo pauvre pays pendant pensée père peuple pieds plomb population porte présent princesse qu'un Québec regard reste rien rivière Rivière Rouge route s'était sauvages semblait sentiment serait seul soir sorte terre tion triste Trois-Rivières trouve Tuque venait Verendrye voix yeux
Popular passages
Page 571 - N'OTRE Père, qui êtes aux cieux : Que votre nom soit sanctifié; Que votre règne arrive; Que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel ; Donnez-nous aujourd'hui notre pain de chaque jour ; Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés; Et ne nous laissez pas succomber à la tentation ; Mais délivrez-nous du mal. Ainsi soit-il.
Page 105 - Etat qui en accepterait les obligations et qui adopterait le système monétaire de l'union, en ce qui concerne les espèces d'or et d'argent.
Page 104 - Gouvernements contractants admettront sans distinction dans leurs caisses publiques les pièces d'or fabriquées sous les conditions qui précèdent, dans l'un ou l'autre des...
Page 111 - ... Pourquoi en effet diverses parties de la législation moderne ne subiraient-elles pas le même effort de rapprochement que les institutions monétaires? La monnaie n'a pas naturellement de frontières; le commerce en at-il davantage, et serait-il impossible d'uniformiser les lois commerciales (2) ? Si tous les peuples comparaient à cet égard les résultats de leur expérience, n'y at-il pas quelque chance que le résultat de cette fusion serait préférable à la valeur de chaque élément...
Page 194 - Les droits sur les marchandises sont ceux que les peuples sentent le moins , parce qu'on ne leur fait pas une demande formelle. Ils peuvent être si sagement ménagés, que le peuple ignorera presque qu'il les paie.
Page 204 - En 1 757 on se trouvait dans un telle pénurie, que les habitants des villes furent mis à la ration de quatre onces de pain par jour. L'année suivante, la récolte ayant manqué, on vit • les paroisses qui-n'avaient pas môme assez de blé pour faire leurs semailles.
Page 104 - HPC ne fabriqueront désormais de pièces d'argent de 2 francs, de 1 franc, de 50 centimes et de 20 centimes, que dans les conditions de poids, de titre, de tolérance et de diamètre déterminées ci-après : NATURE POIDS TITRE des TOLÉRANCE de poids tant en dehors qu'en dedans.
Page 755 - Le génie moderne, essentiellement abêtissant, n'a rien ouvré de plus mortel que cet engrenage perpétuellement actif, qui tente l'esprit par les odeurs variées de la littérature, de l'art, de la science, par l'attrait victorieux de la frivolité, et qui, l'ayant saisi, le fait passer par toutes les températures, l'amollit à toutes les vapeurs, l'obscurcit à toutes les fumées, l'amincit sous tous les laminoirs, le broie sous tous les pilons, le triture, le divise, le mélange, le carde, et...
Page 74 - Iers ordres que vô me donnastes entrant dans ûre » gouuernem' de la nouuelle france passe entre la Floride » et le Mexiq. et por se descharger dans la mer coupe le » plus beau pays qui se puisse voir, Je n'ay rien veu de » [plus] beau dans la france...
Page 911 - Le transport s'effectue au moyen de solides traîneaux à quatre patins, traînés par des chevaux ou des bœufs. » Tout travailleur doit quitter le chantier * avant le jour, et n'y rentrer qu'à la nuit tombante. Il est rare que la rigueur du froid ou le mauvais temps retienne au logis, même pour un seul jour, ces hommes courageux et durcis à la fatigue ; mais il est juste aussi de convenir que, si l'on exige d'eux un labeur très pénible, on pourvoit sans parcimonie à tous leurs besoins.