Institutes du droit naturel privé et public et du droit des gens, Volume 1Etienne Giraud, 1866 - 661 pages |
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... propre- ment le nom de philosophie morale . Plusieurs appellent celle - ci ontologie du droit , parce qu'elle en contient les bases fondamentales , puisque l'appréciation du juste et de l'injuste dans nos rapports avec nos semblables ...
... propre- ment le nom de philosophie morale . Plusieurs appellent celle - ci ontologie du droit , parce qu'elle en contient les bases fondamentales , puisque l'appréciation du juste et de l'injuste dans nos rapports avec nos semblables ...
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... propre gloire . Or , cette gloire résultait ici des actes de connaissance et d'amour par lesquels la créa- ture raisonnable l'honore en le recherchant comme le bien souverain , ou du châtiment de cette même créa- ture , qui , cherchant ...
... propre gloire . Or , cette gloire résultait ici des actes de connaissance et d'amour par lesquels la créa- ture raisonnable l'honore en le recherchant comme le bien souverain , ou du châtiment de cette même créa- ture , qui , cherchant ...
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... propre du bien , est donc quelque chose de relatif , mais qui pré- suppose cependant aussi quelque chose d'absolu , l'être , commun à tout bien . Le bien , considéré relativement à celui qui l'aime , peut être envisagé à un double point ...
... propre du bien , est donc quelque chose de relatif , mais qui pré- suppose cependant aussi quelque chose d'absolu , l'être , commun à tout bien . Le bien , considéré relativement à celui qui l'aime , peut être envisagé à un double point ...
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... propre nature , ou , comme l'on dit , ex parte operis , et reçoivent son influence , lors même qu'ils ne seraient précédés ni accompagnés d'aucun désir explicite du bonheur . En effet , quoique nous puissions nous faire illusion sur les ...
... propre nature , ou , comme l'on dit , ex parte operis , et reçoivent son influence , lors même qu'ils ne seraient précédés ni accompagnés d'aucun désir explicite du bonheur . En effet , quoique nous puissions nous faire illusion sur les ...
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... supposant une certaine connais- sance ; il est donc propre aux êtres doués de celle - ci , et il n'existe en eux qu'au moment où ils agissent . Chez l'homme , il se subdivise en appétit animal ou LA FIN DERNIÈRE . 33.
... supposant une certaine connais- sance ; il est donc propre aux êtres doués de celle - ci , et il n'existe en eux qu'au moment où ils agissent . Chez l'homme , il se subdivise en appétit animal ou LA FIN DERNIÈRE . 33.
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Common terms and phrases
absolue abstraite actes actions humaines advertance Aristote béatitude bilité bonheur bonté c'est-à-dire cause celle-ci choses Cicéron circonstances civile conditions connaissance conscience conséquent considérée consiste constitue contrat contrat social créature raisonnable dépend déterminer devoirs Dieu comme fin divine doit domaine effet envers essen existe facultés famille félicité fin dernière fondement formelle galité général genre humain hommes honnête implicite jurisconsultes justice commutative l'acte l'action l'agent l'amour l'autorité l'état l'homme l'intelligence l'objet l'obligation l'ordre essentiel lative législateur liberté libre loi éternelle loi naturelle lois lui-même manière ment mœurs moralité moyen nable nature raisonnable néces nécessaire nécessité nière notion objet obligation obligation naturelle particulières passions perfection personne peuvent philosophie philosophie morale possession précepte premier Preuve principe proposition suivante propre propriété Puffendorf quæ question quod rapport rationalis recherche règle résulte sanction science serait seulement simple social société société civile sorte souverain stoïciens sujet suppose surtout Thomas tion turel universelle vérité vertu veut volontaire volonté vrai
Popular passages
Page 213 - L'ancien paganisme enfanta des dieux abominables, qu'on eût punis ici-bas comme des scélérats, et qui n'offraient pour tableau du bonheur suprême que des forfaits à commettre et des passions à contenter. Mais le vice armé d'une autorité sacrée descendait en vain du séjour éternel, l'instinct moral le repoussait du cœur des humains. En célébrant les débauches de Jupiter, on admirait la continence de Xénocrate ; la chaste Lucrèce adorait l'impudique Vénus.
Page 487 - Ces lois appartiennent, il est vrai, à l'ordiv civil ; mais elles devraient être placées en tête de toutes les institutions politiques, car elles influent incroyablement sur l'état social des peuples, dont les lois politiques ne sont que l'expression. Elles ont de plus une manière sûre et uniforme d'opérer sur la société; elles saisissent en quelque sorte les générations avant leur naissance. Par elles, l'homme est armé d'un pouvoir presque divin sur l'avenir de ses semblables.
Page 246 - quelqu'un vienne nous instruire » de la manière dont nous devons » nous comporter envers les dieux
Page 585 - Non pro eis autem rogo tantum, sed et pro eis, qui credituri sunt per verbum eorum in me, ut omnes unum sint, sicut tu, pater, in me et ego in te, ut et ipsi in nobis unum sint, ut credat mundus, quia tu me misisti.
Page 213 - II est donc au fond des âmes un principe inné de justice et de vertu , sur lequel , malgré nos propres maximes , nous jugeons nos actions et celles d' autrui comme bonnes ou mauvaises; et c'est à ce principe que je donne le nom de conscience.
Page 516 - Quant à moi, effrayé des difficultés qui se multiplient, et convaincu de l'impossibilité presque démontrée que les langues aient pu naître et s'établir par des moyens purement humains, je laisse à qui voudra l'entreprendre la discussion de ce difficile problème, lequel a été le plus nécessaire de la société déjà liée à l'institution des langues, ou des langues déjà inventées à l'établissement de la société.
Page 625 - ... appelé maître, et investi d'un grand pouvoir d'administration , était ordinairement l'aîné. On voyait ces sociétés continuer pendant des siècles , surtout entre les métayers perpétuels , et se maintenir par les enfants , les gendres, les brus, tous vivant ensemble dans les mêmes habitations , et sans division. Lorsque les associés voulaient rompre leur société, c'était une véritable crise toujours accompagnée de différends et de graves désordres [2]. Elle était redoutée comme...
Page 487 - Elles ont de plus une manière sûre et uniforme d'opérer sur la société ; elles saisissent en quelque sorte les générations avant leur naissance. Par elles, l'homme est armé d'un pouvoir presque divin sur l'avenir de ses semblables. Le législateur règle une fois la succession des citoyens, et il se repose pendant des siècles : le mouvement donné à son œuvre, il peut en retirer la main ; la machine agit par ses propres forces, et se dirige comme d'elle-même vers un but indiqué d'avance.
Page 585 - ... elle en renferme une seconde qui les oblige à s'unir et s'aimer entre eux, parce qu'étant destinés pour être unis dans la possession d'un bien unique, qui doit faire leur commune félicité, et pour y être unis si étroitement qu'il est dit qu'ils ne feront qu'un, ils ne peuvent être dignes de cette unité, dans la possession de leur fin commune, s'ils ne commencent leur union, en se liant d'un amour naturel, dans la voie qui les y conduit. Et il n'ya pas d'autre loi qui commande à chacun...
Page 455 - Au citoyen appartient la propriété , et au souverain l'empire. Telle est la maxime de tous les pays et de tous les temps ; mais les propriétés particulières des citoyens , réunies et...