| Raymond Théodore Troplong - 1843 - 428 pages
...maître, et investi d'un grand pouvoir d'administration , était ordinairement l'aîné. On voyait ces sociétés continuer pendant des siècles , surtout...accompagnée de différends et de graves désordres [2]. Elle était redoutée comme une calamité. Il est certain que ces sociétés contribuèrent au... | |
| Raymond-Théodore Troplong - 1843 - 588 pages
...maître , et investi d'un grand pouvoir d'administration , était ordinairement l'aîné. On voyait ces sociétés continuer pendant des siècles , surtout...c'était une véritable crise toujours accompagnée de diffév rends et de graves désordres (2). Elle était redoutée comme une calamité. il est certain... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1843 - 1044 pages
...appelé maître, et investi d'un grand pouvoir d'administration, était ordinairement l'aîné. On voyait ces sociétés continuer pendant des siècles, surtout...tous vivant ensemble dans les mêmes habitations. Lorsque les associés voulaient rompre leur société, c'était une véritable crise, toujours accompagnée... | |
| Troplong (M., Raymond-Théodore) - 1846 - 422 pages
...appelé maître, el investi d'un grand pouvoir d'administration, était ordinairement l'aîné. On voyait ces sociétés continuer pendant des siècles, surtout...rompre leur société, c'était une véritable crise toujouis accompagnée de différends el de graves désordres [2]. Elle était redoutée comme une calamité.... | |
| Émile Laurent - 1863 - 490 pages
...Lebrun disait : « c'est par leur moyen que les main-mortables s'enrichissent » et qu'on voyait « continuer pendant des siècles, surtout entre les...ensemble dans les mêmes habitations et sans division 2, » ces sociétés supportaient bravement leur honte ; ils la mettaient en commun vis-à-vis du dédain... | |
| Emile Laurent - 1865 - 484 pages
...Lebrun disait : « c'est par leur moyen que les main-mortables s'enrichissent » et qu'on voyait « continuer pendant des siècles, surtout entre les...ensemble dans les mêmes habitations et sans division 2, » ces sociétés supportaient bravement leur honte ; ils la mettaient en commun vis-à-vis du dédain... | |
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