Sermons pour les vètures. Oraisons funèbres. Exhortations. Pensées. Essai d'aventChez Firmin-Didot Frères, 1877 - 700 pages |
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aban âme anathèmes apôtres assez avez Barabbas BOURDALOUE chair charité chères sœurs chers auditeurs choses chré christianisme ciel cœur consolation croix d'autres dessein devant Dieu devoir devons dévotion dire dis-je divine doit douleur Ephes esprit état éternelle êtes évan évangélique fidèles Fils de Dieu gentils gloire gner hommes humilié infinie j'ai jamais Jésus Jésus-Christ jugement juste justice l'âme l'apôtre l'Église l'esprit l'Évangile l'humilité là-dessus lui-même maître MATTH ment mérite mesdames mille miséricorde mondains monde mort mortification mystère n'en non-seulement nous-mêmes œuvres pable parler parole passion pauvres péché pécheur pénitence pensée Père personne pharisien piété pratique prière prince prince de Condé profession providence Psalm publicain puisse qu'à qu'une raison règle religieuse religion renoncer rien s'il sacrement sacrifice saint Augustin saint Bernard saint Paul Saint-Esprit sainteté salut Sauveur Seigneur sentiments sera seul soin solide sorte sujet terre tion vérité vertu veut voilà volonté vrai zèle
Popular passages
Page 164 - Oui, je vous le dis, tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel.
Page 414 - Que votre nom soit sanctifié; Que votre règne arrive; Que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel ; Donnez-nous aujourd'hui notre pain de chaque jour ; Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés; Et ne nous laissez pas succomber à la tentation ; Mais délivrez-nous du mal.
Page 3 - Tout ce qui est au monde est concupiscence de la chair, ou concupiscence des yeux, ou orgueil de la vie : libido sentiendi, libido sciendi, libido dominandi...
Page 337 - Venez , les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim , et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'ai été nu , et vous m'avez revêtu ; j'ai été malade , et vous m'avez .visité ; j'ai été en prison, et vous êtes venus me voir.
Page 302 - J'ai le cœur serré de tout ce que je vois et de tout ce que j'entends. Adieu, j'ai tant de choses à vous dire que je ne dis rien.
Page 462 - ... condescendant, en un mot sur tout ce qui s'offre à une imagination frappée de l'objet qui lui plaît et qui la remplit. Ce sont, en présence de la personne, certaines complaisances...
Page 65 - Dieu , parla plus singulière de toutes les grâces, avoit donné, en le formant, un cœur solide , pour soutenir le poids de sa propre gloire ; un cœur droit, pour servir de ressource à ses malheurs, et puisqu'une fois j'ai osé le dire, à ses propres égarements; et enfin un cœur chrétien , pour couronner dans sa personne une vie glorieuse par une sainte et précieuse mort.
Page 64 - ... les accomplir tous , n'en omettre aucun , nous en faire une dévotion , et régler par là tout le reste. Nous faire une dévotion de nos devoirs, voilà, chrétiens qui m'écoutez , ce que l'impiété même respectera dans nous , ce qui fera honneur à notre foi , ce qui ne sera point soupçonné d'hypocrisie , ce qui n'aura rien d'équivoque pour donner prise à la médisance , ce qui rendra notre lumière pure , ce qui nous...
Page 203 - VI, p. 183. l'assoupissement où il était, que les cœurs s'épanouissent, que l'attention redouble et que les plus distraits ne perdent pas une circonstance de tout ce qui se raconte. Les yeux se fixent sur celui qui parle; et quoiqu'on ne lui marque pas expressément le plaisir qu'on a de l'entendre, il le voit assez par la joie qui...
Page 330 - ... absolument de croire. Or, penser de la sorte et être ainsi disposé, c'est manquer de foi ; car la foi, je dis la foi chrétienne, n'est point un pur acquiescement à croire ni une simple soumission de l'esprit, mais un acquiescement et une soumission raisonnable ; et si cette soumission, si cet acquiescement n'était pas raisonnable, ce ne serait plus une vertu. Mais comment sera-ce un acquiescement, une soumission raisonnable, si la raison n'ya point de part?