 ... Vous vous rappelez avec quelle sûreté de goût, avec quel sentiment sincère et profond de la vraie beauté, il y caractérise le génie de ce jeune Grec du dix-huitième siècle et sa poésie toute pleine de jeunesse, de lumière et de fraicheur,...  Mémoires de l'Académie de Stanislas - Page viiby Académie de Stanislas (Nancy, France) - 1863Full view - About this book
 | Académie de Stanislas (Nancy, France) - 1863 - 570 pages
...ilintroduisitbientôtM. Lombard dans les rangs de vos correspondants, et l'a enfin assis sur un de vos fauteuils Habent sua fata libelli. C'était justice, Messieurs. Puisque,...feuillage Et faisait frémir l'onde, inspiration tout à l;i fois spontanée et savante d'une Muse un peu trop païenne, à laquelle il n'a manqué que d'être... | |
 | 1863 - 590 pages
...Grec du dix-huitième siècle et sa poésie toute pleine de jeunesse, de lumière et de fraîcheur, semblable, comme il dit en sa langue harmonieuse,...élevés de l'art. Vous avez aussi rendu hommage à In patiente sagacité grâce à laquelle M. Lombard a su restituer, à l'aide de quelques fragments... | |
 | Théophile Thoré - 1868 - 624 pages
...s'est inspiré des beaux vers d'André Chénier : 0 coteaux d'Érymanthe ! ô vallons 1 6 bocage ! 0 vent sonore et frais qui troublait le feuillage, Et faisait frémir l'onde, et sur leur jeune sein Agitait les replis de leur robe de lin I V 'Idylle de M. Teytaud a de la fraîcheur... | |
 | Frédéric Eugène Godefroy - 1876 - 546 pages
...Comme autrefois mon lait nourrit tes premiers jours. — 0 coteaux d'Ërymanthe! 6 vallons, 6 bocage! 0 vent sonore et frais qui troublait le feuillage, Et faisait frémir l'onde, et sur leur jeune sein Agitait les replis de leur robe de lin! De légères beautés troupe agile et... | |
 | Amédé Rougemont - 1893 - 424 pages
...yeux enfantins faisaient couler des pleurs. — O côteaux d'Erymanthe ! ô vallons ! ô bocage ! O vent sonore et frais qui troublait le feuillage, Et faisait frémir l'onde, et sur leur jeune sein 15 Agitait les replis de leur robe de lin ! De légères beautés troupe agile... | |
 | André Martin-Decaen - 1912 - 314 pages
...d'aubépine, et de lierre entouré1. » ou encore : « 0 coteaux d'Erymanthe ! ô vallon ! ô bocage ! 0 vent sonore et frais qui troublait le feuillage Et faisait frémir l'onde et sur leur jeune sein Agitait les replis de leur robe de lin !... » i. Poésies d'André Chenier.... | |
 | André Martin-Decaen - 1912 - 316 pages
...d'aubépine, et de lierre entouré1. » ou encore : « 0 coteaux d'Erymanthe ! ô vallon ! ô bocage ! 0 vent sonore et frais qui troublait le feuillage Et faisait frémir l'onde et sur leur jeune sein Agitait les replis de leur robe de lin !... » 2 1. Poésies d'André Chenier.... | |
 | Jean Ducros - 1918 - 140 pages
...un souvenir du Jeune malade d'André Chénier : — O coteaux d'Erymanthe! ô vallons, ô bocage! O vent sonore et frais qui troublait le feuillage, Et faisait frémir l'onde, et sur leur jeune sein Agitait les replis de leur robe de lin ! De légères beautés troupe agile... | |
 | Claude Anet - 1927 - 254 pages
...couchant et je me répéta alors ces vers magnifiques : 0 coteaux d'Erymanthe, ô vallon, ô bocage, 0 vent sonore et frais qui troublait le feuillage, Et faisait frémir l'onde, et sur leur jeune sein Agitait les replis de leur robe de lin. Je regardai Madeleine; l'air jouait... | |
| |
