Histoire de la prostitution chez tous les peuples du monde: depuis l'antiquité la plus reculée jusqu'à nos jours, Volume 3

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Seré, 1852
 

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Popular passages

Page 126 - ... en entier , et même avec des réparations modernes , qui me la firent paraître encore plus scandaleuse. » Les femmes stériles, ou qui craignaient de l'être , allaient à cette statue ; et , après avoir gratté ou raclé ce que je n'ose nommer , et bu cette poudre infusée dans un verre 'd'eau de la fontaine , ces femmes s'en retournaient avec l'espoir d'être fertiles (i).
Page 9 - Ainsi ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Que l'homme donc » ne sépare pas ce que Dieu a joint.
Page 315 - Elles étaient fort belles et tendrement chéries de leur père. On est donc fort étonné qu'il n'ait jamais voulu en marier aucune, soit à quelqu'un des siens, soit à des étrangers. Jusqu'à sa mort, il les garda toutes auprès de lui dans son palais, disant qu'il ne pouvait se passer de leur société i.
Page 16 - Ne savez-vous pas que celui qui se joint à une prostituée devient un même corps avec elle? Car ceux qui étaient deux ne seront plus qu'une même chair, dit l'Écriture; mais celui qui demeure attaché au Seigneur est un même esprit avec lui.
Page 129 - ... s'étendre par dévotion sur la benoîte idole qui est gisante de plat, et non pas debout comme les autres. Outre cela il est requis que chacun jour elles boivent un certain breuvage mêlé de la poudre raclée de quelque endroit d'icelle, et mêmement du plus deshonnéte à nommer3.
Page 309 - Ingonde et l'aimait uni» quement, lorsqu'elle lui fit cette demande : Mon » seigneur a fait de moi ce qu'il a voulu; il m'a reçue - dans son lit ; maintenant , pour mettre le comble à " ses faveurs, que mon seigneur roi daigne écouter ce " que sa servante lui demande. Je vous prie de vouloir » bien chercher pour ma sœur, votre esclave, un » homme capable et riche qui m'élève au lieu de m'a» baisser, et me donne les moyens de vous servir avec
Page 309 - J'ai travaillé à te procurer cette suprême « faveur que m'a demandé ta douce personne; et en cherchant un « homme riche et sage qui méritât d'être uni à ta sœur, je n'ai « trouvé rien de mieux que moi-même. Sache donc que je l'ai prise « pour épouse; je ne crois pas que cela te déplaise. — Ce qui « paraît bon aux yeux de mon maître, répondit-elle...
Page 17 - En vérité, en vérité, je te le dis, à moins de naître d'eau et d'Esprit, nul ne peut entrer dans le Royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, ce qui est né de l'Esprit est esprit.
Page 239 - C'est le Rhin , ce fleuve au cours impétueux , qui éprouve , chez « les Gaulois , la sainteté du lit conjugal (').... A peine le nouveau-né, « descendu du sein maternel , a poussé le premier cri , que l'époux « s'en empare; il le couche sur son bouclier, il court l'exposer aux « caprices des flots : car il ne sentira point , dans sa poitrine , battre < un cœur de père , avant que le fleuve, juge et vengeur du mariage , < ait prononcé le fatal arrêt. Ainsi...
Page 289 - Liberum a liberamento appellatum volunt, quod mares in coeundo per 5 eius beneficium emissis seminibus liberentur; hoc idem in feminis agere Liberam, quam etiam Venerem putant, quod et ipsas perhibeant semina emittere; et ob haec Libero eandem virilem corporis partem in templo poni, femineam Liberae.

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