| Pierre-Louis d' Aquin de Château-Lyon - 1754 - 414 pages
...Réfifté fans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il difoit ces mots : Du bout de l'horifon accourt avec furie. Le plus terrible des enfans , Que le Nord eût porté jufques-Ià dans fes flanes. L'arbre tient bon , le rofeau plie : Le vent redouble fes efforts , .... | |
| abbé Sabatier de Castres (Antoine) - 1770 - 750 pages
...récit. Il prend alors le ton de la matière ; il peint un orage furieux : Comme il difoii ces mots , Du bout de l'horizon, accourt, avec furie, Le plus terrible des enfans Que le Nord eût porté jufques-là dans fes flancs. Au lieu de dire un vefit de Nord , on le perfonnifie; & la périphrafe... | |
| Clément (M., Jean Marie Bernard) - 1773 - 752 pages
...force & quelles couleurs il nous dit qu'il s'élève un vent des plus violens : Du bout de l'horifon , accourt avec furie , Le plus terrible des enfans Que le nord eût porté jufques-là dans Tes flancs. Dans fon tlyle poétique , la mouche s'appelle la fille de l'air, ou bien... | |
| Jean-Louis Aubert - 1774 - 734 pages
...Réfifté fans courber le dos : Mai', attendons la fin. Comme il difoit ces mots, Du bout de l'hprifbn accourt avec furie; Le plus terrible des enfans .Que le Nord eût portés jufque-là dans fes flancs. L'arbre tient boa ; le Rofèau plie ; Le vent redouble fes efforts... | |
| Jean de La Fontaine - 1780 - 284 pages
...Réfîfté fans courber le dos: Mais attendons la fin. Comme il difoit ces mon, Du bout de l'horifon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eût porté jufquc-là dans fes flancs. L'Arbre tient bon, le Rofeau plie : Le vent redouble foi efforts , Ht fait... | |
| Jean de La Fontaine - 1796 - 332 pages
...Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots , Du bout de l'horison accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eût portés jusques-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts,... | |
| Louis Domairon - 1802 - 476 pages
...plein d'énergie et de piajesté. : Comme il disoil ces mots , PU bout de l'horizon accourt avec l'uria Le plus terrible des enfans Que le nord eût porté...jusques-là dans ses flancs, L'arbre tient bon ; le roseau plie ; Le vent redouble ses efforts : II fait si bien , qu'il dérapine Celui de qui la tête... | |
| Jean de La Fontaine, Marie Nicolas Sylvestre Guillon - 1803 - 468 pages
...sans courber le dos : Mais attendons la fin. — Comme il disoit ces mots (i 3), Du bout de l'horison accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que...jusques-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le Roseau plie (i4) : Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine (i5) Celui de qui... | |
| Louis Domairon - 1804 - 496 pages
...nobles , des figures hardies, un syle plein d'énergie et de majesté : Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le Nord eût porté jnsques-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie : Le vent redouble ses efforts : II... | |
| Jean-François de La Harpe - 1804 - 450 pages
...destructeur peut-il être plus poétiquement désigné que dans cet endroit de la même fable ? Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que jusque-là le Nord eût porté dans ses flancs. Quelle tournure élégamment métaphorique dans ces... | |
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