Les cinq livres de F. Rabelais: Pantagruel |
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Common terms and phrases
aprés aultres avecques avez avoit bailla beau beaulx belles boire cause cens ceste ceulx CHAPITRE chascun chiens commença compaignons corps coup Court dame demanda devant dextre diable dict Dieu dire disant dist Pantagruel dist Panurge doigt doncques donne engendra Epistemon escript esté estoient estoit eulx eust faict faisant faisoit feist femmes feust feut fist force fort foys frappa gauche geans gens gorge gros grosse hault heure homme jour jusques l'aultre l'une laisse langue lettres leva lieu lignes livre main maistre ment Messieurs mille mist monde Monsieur n'en n'estoit nomme Panurge parler passer pauvre pays penser pere petit petites plein poinct porte premier present print qu'ilz quatre quoy respondit rien s'en sainct sçavoir Seigneur semble sept seulement signe sinon sorte terre teste Thaumaste tira tousjours trouver troys ventre veoir veulx ville vint voyant
Popular passages
Page 48 - Maintenant toutes disciplines sont restituées, les langues instaurées: Grecque, sans laquelle c'est honte...
Page 34 - Seigneur, sans nulle doubte, ce gallant veult contrefaire la langue des Parisians; mais il ne faict que escorcher le latin, et cuide ainsi Pindariser, et luy semble bien qu'il est quelque grand orateur en Françoys, parce qu'il dedaigne l'usance commun de parler.
Page 93 - Panurge estoit de stature moyenne, ny trop grand ny trop petit, et avoit le nez un peu aquillin, faict à manche de rasouer; et pour lors estoit de l'eage de trente et cinq ans ou environ...
Page 46 - Dieu, mon conservateur, de ce qu'il m'a donné pouvoir veoir mon antiquité chanue refleurir en ta jeunesse; car, quand, par le plaisir de luy, qui tout régit et modère, mon âme laissera ceste habitation humaine, je ne me reputeray totalement mourir, ains passer d'un lieu en aultre, attendu que, en toy et par toy, je demeure en mon image visible en ce monde, vivant, voyant, et conversant entre gens de honneur et mes amys, comme ie souloys.
Page 46 - Dieu mon conservateur de ce qu'il m'a donné povoir veoir mon antiquité* chanue* refleurir en ta jeunesse, car, quand par le plaisir de luy, qui tout regist et modère*, mon âme laissera ceste habitation humaine, je ne me reputeray totallement mourir, ains passer d'un lieu en aultre, attendu que en toy et par toy je demeure en mon image visible en ce monde...
Page 172 - Je le veulx faire homme de bien : ces diables de roys icy ne sont que veaulx. et ne sçavent ny ne valent rien, sinon à faire des maulx es pauvres subjectz, et à troubler tout le monde par guerre, pour leur inique et detestable plaisir.
Page 22 - ... car pourquoy ? Ma tant bonne femme est morte, qui estoit la plus cecy, la plus cela, qui feust au monde. Jamais je ne la verray, jamais je n'en recouvreray une telle : ce m'est une perte inestimable ! O mon Dieu ! que te avoys je faict pour ainsi me punir?
Page 58 - Pantagruel, racomptez nous quel est vostre nom, et dond vous venez : car, par ma foy, je vous ay ja prins en amour si grand que, si vous condescendez à mon vouloir, vous ne bougerez jamais de ma compaignie, et vous et moy ferons un nouveau pair d'amitié, telle que feut entre Enée et Achates.
Page 22 - Ho, ho, ho, ho, que suis ayse, beuvons, ho ! laissons toute melancholie, apporte du meilleur, rince les verres, boute la nappe, chasse ces chiens, souffle ce feu, allume la chandelle, ferme ceste porte, taille ces souppes*, envoyé ces pauvres, baille leur ce qu'ilz demandent, tiens ma robbe, que je me mette en pourpoint pour mieux festoyer les commères.
Page 51 - Et, quand tu congnoistras que auras tout le sçavoir de par delà acquis, retourne vers moy, affin que je te voye et donne ma benediction devant que mourir.