 | Berquin (M., Arnaud) - 1803 - 380 pages
...la bouche do grimaces , comme ils faisoient auparavant , les avalèrent à l'envi l'un de l'antre. Ce remède fit heureusement son effet, et ils guérirent tous deux. Lorsqu'on vouloit dans la suite les menacer d'une punition effrayante , on leur dieoit : Nous allons vous donner... | |
 | Arnaud Berquin - 1825 - 364 pages
...les avalèrent à l'envi l'un de l'autre. Ce remède fit heureusement son eflet , et ils guerirent tous deux. Lorsqu'on voulait dans la suite les menacer...à qui l'on dirait : Je vais vous mettre en prison. DANS uue riante soirée de mai , M. d'Ogères était assis, avec Armand son fils, sur le penchant d'une... | |
 | A. Berquin - 1832 - 366 pages
...tordre la bouche de grimaces, comme ils faisaient auparavant, les avalèrent à l'envi l'un de l'autre. Ce remède fit heureusement son effet, et ils guérirent...à qui l'on dirait : Je vais vous mettre en prison. LES BUISSONS. Dans une riante soirée de Mai, M. d'Ogères était assis avec Armand, son fils, sur... | |
 | Berquin (M., Arnaud) - 1834 - 368 pages
...tordre la bouche de grimaces, comme ils faisaient auparavant, les avalèrent à l'envie l'un de l'autre. Ce remède fit heureusement son effet ; et ils guérirent...deux. Lorsqu'on voulait, dans la suite, les menacer d'unepunitioneflrayante on leur disait: Nous allons vous donner la liberté; et les enfans tremblaient... | |
 | Berquin (M., Arnaud) - 1851 - 402 pages
...la bouche de grimaces , comme ils faisaient auparavant , les avalèrent à l'envi l'un de l'autre. Ce remède fit heureusement son effet , et ils guérirent...enfans tremblaient encore plus de cette menace que cens a qui l'on dirait : Je vais vous mettre en prison. LES BUISSONS. Dans une riante soirée de mai... | |
 | Olga B. Cragg, Rosena Davison - 1998 - 400 pages
...menacer d'une punition effrayante, on leur disait : nous allons vous donner la liberté ; et les enfants tremblaient encore plus de cette menace que ceux à qui l'on dirait : je vais vous mettre en prison » (p. 85). de pères justes et sages, raisonnables et patients comme les mères et, en général,... | |
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Casimir. Oui, oui, mon papa. Julie. Quand ce serait amer comme du chicotin. M. d'Orsay fit des pilules qu'il leur présenta. Les enfans, sans se tordre la bouche de grimaces, comme ils faisaient auparavant, les avalèrent à l'envi l'un de l'autre. Ce... 