Dante: un vol. orné de plusieurs reproductionsLecène, Oudin et cie, 1891 - 237 pages |
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agrégé des lettres Alighieri âmes amour avant béatitude Béatrice bienheureux Boccace Boniface VIII Brunetto Brunetto Latini Cacciaguida canzones céleste cercle chant Charles de Valois choses Christ ciel cœur Dame compatissante damnés Dante Alighieri devant Dieu Divine Comédie douleur doux enceinte esprit éternelle étoiles exil Farinata degli Uberti flammes fleuve Florence Florentin ghibellin guelfe guide Guido Guido Cavalcanti haine haut hommes joie l'âme l'amour l'autre l'Eglise l'empereur l'Enfer l'Italie laisser langue latin lumière ment misérables monarchie monde mort mortels noble Dame œuvre ombres pape Paradis parler paroles passe péché pendant pensée Peuple Romain philosophie pitié pleurer podestat poème poète Portrait de Dante premier prières Purgatoire purifie question Ravenne regards répond reste saint Thomas saint Thomas d'Aquin second semble sent septième cercle serait seul siècle soleil sonnet Sordel sorte sphère Stace supplice suprême terre tion traité De Monarchia troupe trouve Virgile visage vision voix volonté voyageurs vulgaire yeux
Popular passages
Page 229 - Dans sa profondeur je vis relié avec amour en un volume ce qui est dispersé en feuillets dans l'univers : Les substances, et les accidents, et leurs qualités, comme pétris ensemble de telle manière que ce que je dis n'en est qu'une simple lueur. Je crois que je vis la forme universelle de ce nœud, parce qu'en disant ceci je me sens ouvrir à une joie plus large.
Page 181 - Celui-ci, dans sa vie nouvelle, fut tel virtuellement que toute habitude droite aurait produit en lui d'admirables effets; » Mais le terrain mal semé et non cultivé devient d'autant plus mauvais et plus sauvage qu'il a en lui plus de bonne vigueur. » Quelque temps je le soutins de mes regards, en lu...
Page 214 - Et vous, mortels, soyez retenus dans vos jugements ; car nous, qui voyons Dieu, nous ne connaissons pas encore tous les élus.
Page 189 - J'ai été dans le ciel qui reçoit le plus de sa lumière, et j'ai vu des choses que ne sait ni ne peut redire celui qui descend de là-haut.
Page 152 - Cette belle àincCî fut prompte, rien qu'au doux nom de sa terre natale, à faire fêle à son concitoyen ; « Et maintenant tes vivants ne peuvent être sans guerre, et ceux-là qu'une même muraille et qu'un même fossé renferment se rongent les uns les autres. «Cherche, misérable, autour de tes rivages, et puis regarde dans ton sein si une seule partie de toi-même y jouit de la paix. «A quoi sert-il que Justinien ait rajusté ton frein, si la selle est vide? Sans lui la honte serait moindre...
Page 231 - Ce cercle qui paraissait conçu en loi, comme, une lumière reflétée, lorsque je l'eus un peu parcouru des yeux, Me parut avoir en dedans de lui notre effigie peinte de sa propre couleur : c'est pourquoi ma vue plongeait tout entière en lui. Tel que le géomètre qui s'applique tout entier à mesurer le cercle et ne retrouve pas dans sa pensée le principe dout il a besoin, Tel j'étais à cette vue nouvelle.
Page 38 - Dante, je ne puis qu'extraire ce qu'en a dit Boccace, qui seul a pu en apprendre et en dire quelque chose. « Dante était de taille moyenne et légèrement voûté; sa démarche était noble et grave, son air bienveillant et doux. Il avait le nez aquilin, les yeux grands, la figure longue et la lèvre inférieure un peu saillante sur la lèvre supérieure. Il avait le teint très-brun, la barbe et les cheveux noirs , épais et crépus.
Page 200 - Et devant sa cour spirituelle, et coram paire, il s'unit à elle; ensuite de jour en jour il l'aima plus fortement. » Elle, veuve de son premier mari », depuis mille et cent ans et plus, obscure et méprisée, était restée jusqu'à celui-ci sans être recherchée par aucun autre. » De rien ne lui servit d'ouïr que celui qui avait mis tout le monde dans l'épouvante l'avait trouvée sans peur, au son de sa voix, près de son cher...
Page 230 - Mais parce qu'en moi la vue devenait plus forte, et qu'en regardant un seul objet, moi changeant, il changeait pour moi. Dans la profonde et splendide substance de la haute lumière, m'apparurent trois cercles de trois couleurs et de même étendue ; Et l'un par l'autre, comme une Iris par une Iris, paraissait réfléchi; et le troisième paraissait un feu qui d'ici et de là également...
Page 132 - Cependant je ne pleurai ni ne répondis de tout ce jour et la nuit d'après, jusqu'à ce qu'un autre soleil se leva sur le monde . « Quand un faible rayon se fut introduit dans la prison' douloureuse , et que je vis sur quatre visages l'aspect que je devais avoir, « Je me mordis les deux mains de douleur, et ceux-ci, pensant que je le faisais par envie de manger, se levèrent tout...