| René Descartes - 1824 - 518 pages
...naturelle à nos âmes qu'on ne pût pas même feindre de l'ignorer. De plus , je fis voir quelles étoient les lois de la nature; et, sans appuyer mes raisons...à démontrer toutes celles dont on eût pu avoir quelque doute, et à faire voir qu'elles sont telles qu'encore que Dieu auroit créé plusieurs mondes... | |
| René Descartes - 1835 - 656 pages
...connaissance ne fût si naturelle à nos ames qu'on ne pût pas même feindre de l'ignorer. De plus, je fis voir quelles étaient les lois de la nature...à démontrer toutes celles dont on eût pu avoir quelque doute, et à faire voir qu'elles sont telles qu'encore que Dieu aurait créé plusieurs mondes... | |
| René Descartes - 1835 - 654 pages
...nature; et, sans appuyer mes raison&> sur aucun autre principe que sur îes perfections infiniesde Dieu, je tâchai à démontrer toutes celles dont on eût pu avoir quelque doute, et à faire voir qu'elles sont telles qu'encore que Dieu aurait créé plusieurs mondes... | |
| René Descartes - 1842 - 626 pages
...connaissance ne fût si naturelle à nos âmes qu'on ne pût pas même feindre de l'ignorer. De plus, je fis voir quelles étaient les lois de la nature...raisons sur aucun autre principe que sur les perfections infmiesde Dieu, je tâchai à démontrer toutes celles dont on eût pu avoir quelque cloute, et à... | |
| Pierre Laromiguière - 1844 - 532 pages
...connaissance ne fût si naturelle à nos âmes qu'on ne pût pas même feindre de l'ignorer. De plus, je fis voir quelles étaient les lois de la nature...à démontrer toutes celles dont on eût pu avoir quelque doute, et à faire voir qu'elles sont telles qu'encore que Dieu aurait créé plusieurs mondes,... | |
| René Descartes - 1844 - 618 pages
...connaissance ne fût si naturelle à nos âmes qu'on ne pût pas même feindre de l'ignorer. De plus , je fis voir quelles étaient les lois de la nature...à démontrer toutes celles dont on eût pu avoir quelque doute, et à faire voir qu'elles sont telles , qu'encore que Dieu aurait créé plusieurs mondes... | |
| Joseph Duval-Jouve - 1844 - 428 pages
...n'eût produit que la matière, le mouvement et ses lois. « Je décrivis cette ma» tière , et de plus je fis voir quelles étaient les lois de la » nature,...sur les perfections infinies de Dieu , je tâchai à dé» montrer toutes celles — après cela je démontrai comment » la plus grande part de la matière... | |
| Vincenzo Gioberti - 1844 - 866 pages
...peul « pas méme feindre de l'ignorer. » Non si può immaginar nulla di più squisito. « De plus je fis voir quelles étaient les lois de la « nature,...principe « que sur les perfections infinies de Dieu, je tàchai à démontrer « toutes celles dont on eùt pu avoir quelque doute , et à fa i re « voir... | |
| Vincenzo Gioberti - 1845 - 502 pages
...même feindre de » l'ignorer.» — On ne peut rien imaginer de plus merveilleux. — « De plus, je fis voir quelles étaient les lois de la nature,...démontrer toutes » celles dont on eût pu avoir quelque doute, et à faire voir » qu'elles sont telles, qu'encore que Dieuaurait créé plusieurs... | |
| Vicenzo Gioberti - 1846 - 830 pages
...peut « pas méme feindre de l'ignorer. » Non si può immaginar nulla di più squisito. « De plus je fis voir quelles étaient les lois de la « nature...principe « que sur les perfections infinies de Dieu , je tàchai à démontrer « toutes celles dont on eùt pu avoir quelque doute , et à faire voir « qu'elles... | |
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