Oeuvres complètes de Bourdaloue, Volumes 21-22Gaume Frères, 1830 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
allez ames religieuses apôtres avantages avez avoient avoit c'étoit centuple chair chères sœurs chers auditeurs choisi choix choses chré chrétiens du siècle Christ christianisme Ciel ciples cœur condition connoître consolation croix devant Dieu devoirs dire dis-je disoit divine doit don de Dieu engagement épouses esprit état éternelle êtes étoient étoit faisoit falloit ferveur fidèle Fils de Dieu gieuse gloire hommes Ignace j'ai jamais Jésus Jésus-Christ l'ame religieuse l'Apôtre l'avoit l'Église l'esprit de Dieu l'état religieux l'Évangile l'hérésie lui-même Madeleine ment mérite miracle miséricorde mondains nous-mêmes pable parle paroître parole pauvres pauvreté péché pénitence perfection peuple piété pouvoit prince de Condé profession religieuse Providence Psalm quæ raison reli religion renoncer résurrection rien royaume saint Augustin saint Bernard saint François saint Jérôme saint Louis saint Paul sainteté salut sanctifier Sauveur Seigneur séparés du monde seroit servir seulement sujet terre tion trésor trouve vérité vertu vierges vocation voilà vrai zèle
Popular passages
Page 310 - ne s'y trouve point du tout. Car tout ce qui est dans le monde est ou concupiscence de la chair, ou concupiscence des yeux, ou orgueil de la vie.
Page 158 - discours" à vous en parler : c'eût été d'abord achever le panégyrique du père, que de prononcer le nom du fils. C'est pour ce fils, et pour ce héros que nous faisons continuellement des vœux ; et ces vœux, ô mon Dieu ! sont trop justes, trop saints, trop ardents pour n'être pas enfin
Page 178 - promptitude à prendre son parti, qu'on n'accusa jamais en lui de précipitation, et qui, sans avoir les inconvénients de la lenteur des autres, en avoit toute la maturité; cette science qu'il pratiquoit si bien, et qui le rendoit si habile à profiter des conjonctures , à prévenir les desseins des ennemis
Page 193 - prince que nous pleurons se vit mêlé dans un parti que la discorde avait formé, et qui le détacha de nous. D'autres plus éclairés que moi, ont appréhendé de toucher ce point de son histoire : et moi, pour l'intérêt de mon ministère, je me suis senti inspiré de m'y arrêter. Car j'ose dire que jamais point d'histoire ne
Page 164 - Israël? Je ne viens donc pas ici, chrétiens , dans la seule pensée de vous l'apprendre. Je ne viens pas à la face des autels étaler en vain la gloire de ce héros, ni interrompre l'attention que vous devez aux saints mystères, par un stérile , quoique magnifique récit de ses éclatantes ac-- lions. Persuadé, plus que jamais, que la
Page 193 - rapport à son Dieu. Mais c'est ici, adorable et aimable Providence, où vous me paroissez toute entière, et où je découvre le secret de votre conduite : car vous aviez donné à ce héros un cœur droit qui, dans les maux les plus extrêmes, lui a été d'une immanquable ressource; un cœur droit qu'il a conservé
Page 228 - que nous avons au prince de Condé. Aidez-nous, ministre de Jésus-Christ ', à remplir, dans toute son étendue , un si saint devoir. Pontife du Dieu vivant, prélat que ce héros a distingué entre ses plus chers et ses plus confidents amis, aidez-nous à lui rendre, devant Dieu, le tribut solide de notre véritable gratitude, et par le sacrifice de
Page 212 - est mort, mais non pas comme les lâches Mondains, ni comme les lâches impies ont coutume de mourir. Or voilà, hommes du siècle, ce que vous devez imiter. Ni la valeur de ce prince , ni ses qualités héroïques ne sont presque pas des exemples pour vous, tant elles
Page 179 - des vertus guerrières, étoit le caractère de distinction de l'invincible Condé. Ainsi le publioit le grand Turenne, cet homme digne de l'immortalité, mais le plus légitime juge du mérite de notre prince, et le plus zélé aussi bien que le plus sincère de ses admirateurs ; ainsi , dis-je, le
Page 180 - les forces ennemies les plus redoutables s'affoiblissoient visiblement par la terreur de son nom ; que sous lui nos plus foibles troupes devenoient intrépides et invincibles ; que par lui nos frontières étoient à couvert, et nos provinces en sûreté ; que sous lui se formoient et s'élevoient ces soldats aguerris, ces