A M. JULES BASTIDE MON CHER AMI, Laissez-moi vous dédier ce livre. Le soir de mes débuts à la rue de la Paix, vous êtes venu me serrer la main et m'embrasser. Je conserverai toujours l'émotion de cette accolade. Depuis, vous avez été l'un de mes plus fidèles auditeurs; j'en suis fier et je vous remercie. Permettez-moi de constater ici l'amitié que vous me portez et ne me défendez pas d'y mêler l'orgueil que j'en éprouve. 16 décembre 1861. L. LAURENT-PICHAT. |