Histoire de François Ier, roi de France, Volume 3Blaise, 1819 |
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ambassadeurs anabaptistes assez auroit avoient avoit bataille Béda Belcar Bellay bénéfices Boutières Bucer c'étoit cardinal Carignan Carlostad catholiques chancelier Charles-Quint çois commentar comte d'Aumale comte d'Enguien concile concile de Bâle concordat condamné crut d'Annebaut d'Ausbourg dauphin déja devoit diéte Dieu disoit disoit-il duc d'Orléans duc de Savoie duchesse ennemis envoya Érasme étoient étoit eût évêque faisoit falloit foible Fran François garnison grace guerre Henri VIII hérétiques hist hommes Impériaux Jean Jean de Leyde juge l'amiral l'armée l'église l'électeur l'empereur l'évêque l'indult landgrave Landrecies Langey Lansquenets Léon X Luther lutheranisme luthériens maréchal marquis du Guast Mélancthon Mém ment Milanez mille Montmorency mort n'avoient n'avoit nommé paix pape parcequ'il parceque parlement paroît Paul III Paul Jove Piémont Pignerol pouvoient pouvoit pragmatique prince protestants réforme religion reste rois Rome saint Saxe secours seroit seul siège Sleidan Sorbonne sur-tout tion traité trève troupes Turcs Turin Vittemberg vouloit voulut zèle
Popular passages
Page 78 - Eh bien! lui répondit l'empereur froidement, « si l'avis est bon , il faut le suivre. » Cependant il trouva bientôt le moyen de faire accepter à la belle dame un diamant de grande valeur , pour qu'elle ne donnât plus de tels conseils (i). On rapporte que le duc d'Orléans, prince gai, folâtre...
Page 403 - S( j'étois le maître de l'Empire; a où ira-t-il avec un si beau commencement? «je ferais un même paquet du pape et des cardinaux, pour les jeter tous ensemble dans ce petit fossé de la mer de Toscane. Ce bain les guériroit; j'y engage ma parole, et je donne Jésus-Christ pour caution'.
Page 402 - Il ne faut pas attendre ni la sentence du juge, ni l'autorité du concile, n'importe que les rois et les césars fassent la guerre pour lui; celui qui fait la guerre sous un voleur la fait à son dam ; les rois et les césars ne s'en sauvent...
Page 497 - Votre majesté impériale a déclaré qu'elle ne pouvait rien déterminer dans cette affaire où il s'agissait de la religion, mais qu'elle agirait auprès du Pape pour procurer l'assemblée du concile universel. Elle réitéra, l'an passé, la même déclaration dans la dernière diète tenue à Spire , et a fait voir qu'elle persistait dans la résolution de procurer cette assemblée du concile général , ajoutant que les affaires qu'elle avait avec le Pape étant terminées, elle croyait qu'il...
Page 432 - ... du démon qui ne laisse aucun repos à l'esprit; le son de sa puissante voix; ses manières de disputer accablantes, où la question et la réponse se font sentir à la fois. Je sentis, alors, dit-il, comment il arrive si souvent qu'on meure subitement vers le matin : c'est que le diable peut tuer et étrangler les hommes, et sans tout cela, les mettre si fort à l'étroit par ses disputes, qu'il ya de quoi en mourir, comme je l'ai plusieurs fois expérimenté.
Page 435 - Créateur et traitez-vous en frères ; aimez-vous les uns les autres : et c'est ainsi que vous accomplirez la loi de Jésus-Christ. Que les plus parfaits souffrent avec patience les imparfaits. Ne faites point à autrui ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fît.
Page 401 - Au milieu de ces bouffonneries, comme Luther avait une âme grande et hardie, comme c'était un homme de génie et un fondateur qui déguisait le sublime de l'audace sous le burlesque, il disait de ces paroles qui retentissent dans toutes les âmes fortes : On m'appelle à Rome. J'attends, pour y comparaître, que je sois suivi de vingt mille hommes de pied et de cinq mille chevaux. On m'a appelé à la diète de Worms; j'y suis allé.
Page 467 - Là, expliquant l'article de la vie éternelle, il dit à ce prince , « qu'il doit espérer de voir l'assemblée de tout ce » qu'il ya eu d'hommes saints , courageux , fidèles et vertueux » dès le commencement du monde *. Là vous verrez , poursuit-il, les » deux Adam , le racheté et le rédempteur.
Page 403 - Forçons-nous donc pour transcrire ces mots qu'il adresse au pape : « Mon petit Paul, mon petit pape, mon petit ânon, allez doucement : il fait glacé : vous vous rompriez une jambe ; vous vous gâteriez ; et on dirait : « Que diable est ceci? Comme le petit papelin s'est gâté?
Page 412 - Ma prière, poursuivait-il, est un rempart invincible, plus puissant que le diable même ; sans elle, il ya longtemps qu'on ne parlerait plus de Luther; et on ne s'étonnera pas d'un si grand miracle!