La Critique religieuse, Volume 2

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Bureau de la Critique philosophique., 1880
 

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Popular passages

Page 83 - Pour moi, quand' je verrais dans les célestes plaines Les astres, s'écartant de leurs routes certaines, Dans les champs de l'éther l'un par l'autre heurtés, Parcourir au hasard les cieux épouvantés; Quand j'entendrais gémir et se briser la terre ; Quand je verrais son globe errant et solitaire, Flottant loin des soleils, pleurant l'homme détruit.
Page 263 - Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant.
Page 287 - Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fit. — Faites constamment aux autres le bien que vous voudriez en recevoir.
Page 202 - En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.
Page 336 - Mais les fruits de l'Esprit sont la charité, la joie, la paix, la patience, la douceur, la bonté, la fidélité, 23 La bénignité, la tempérance; la loi n'est point contre ces choses.
Page 94 - LORSQU'UNE religion naît et se forme dans un état , elle suit ordinairement le plan du gouvernement où elle est établie : car les hommes qui la reçoivent , et ceux qui la font recevoir , n'ont guère d'autres idées de police que celle de l'état dans lequel ils sont nés.
Page 83 - Je viens à vous, Seigneur, père auquel il faut croire; Je vous porte, apaisé, Les morceaux de ce cœur tout plein de votre gloire Que vous avez brisé; Je viens à vous, Seigneur! confessant que vous êtes Bon, clément, indulgent et doux, ô Dieu vivant! Je conviens...
Page 66 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 310 - Dayaks entendent le devoir, vous ne risquez guère d'être contredit en dehors des forêts où s'abritent leurs tribus. Mais la question n'est pas là ! Il ne s'agit pas de savoir si le malheureux sauvage a tort de prétendre que tel est bien son devoir. Il s'agit de se demander s'il aurait raison de soutenir qu'il n'est pas lié par l'autorité qui accompagne la pensée de ce en quoi il a vu son devoir; ou bien, — ce qui revient au même, — s'il devrait soutenir qu'il n'ya point pour lui de...
Page 69 - Et tu mourus aussi. Seul, l'âme désolée, Mais toujours calme et bon, sans te plaindre du sort, Tu marchais en chantant dans ta route isolée. L'heure dernière vint, tant de fois appelée. Tu la vis arriver, sans crainte et sans remord, Et tu goûtas enfin le charme de la mort.

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