| Jacques Bénigne Bossuet - 1747 - 836 pages
...fciençe & la vortpe B« l» Foi- ]VIais Ludier n' avoit pas fuivi une idée fi fimple. Il vouloit qu$ ce qui nous juftifie, & ce qui nous rend agréables aux yeux de Dieu, rie fut rien en nous ; mais que nous fuflions juftifiés parce que Dieu nous imputoit la juftiee de... | |
| Pons Augustin Alletz - 1756 - 690 pages
...Voici fes principales erreurs : i°.Surla justification & l'efficace des Sacremens , ilprétendoit que ce qui nous juftifie & ce qui nous rend agréables aux yeux de Dieu*, n'eft point en nous , mais que nous fommes juftifiés , parceque Dieu nous impute la juftice de JC... | |
| 1770 - 622 pages
...expliquer la juftification par cette imputation de la juftice de JÉSUSCHRIST , prétendoic que ce qai nous juftifie & ce qui nous rend agréables aux yeux de Dieu , ne fût rien en nous , mais que nous avons été juftifiésparceque Dieu nous imputoif la juftice de JÉSUS-CHRIST comme fi elle eût été... | |
| 1782 - 1022 pages
...voulu expliquer la jtiftifî' itînn par cette imputation de la juflire de Jefus-Chrift t pretendoit que ce qui nous juftifie & ce qui nous rend agréables aux yeux de Dien , ne fût rien en nous , mais que nous aVoni été juftifiés; parce que Dieu nons imputait la... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1840 - 778 pages
...la vertu. Mais Luther n'avoit pas suivi une idée si simple. Il vouloit que ce qui nous justifie, et ce qui nous rend agréables aux yeux de Dieu , ne fût rien en nous; mais que nous fussions justifiés parce que Dieu nous imputoit la justice de Jésus -Christ, comme si elle eût été... | |
| Audin (M., Jean Marie Vincent) - 1845 - 778 pages
...vertu. Mais Luther n'avait pas suivi une idée si simple. 11 voulait que ce qui nous j ustifie , et ce qui nous rend agréables aux yeux de Dieu , ne fût rien en nous; mais que nous fussions justifiés, parce que Dieu nous imputait la justice de Jésus-Christ comme si elle eût été... | |
| Audin (M., Jean Marie Vincent) - 1856 - 524 pages
...la vertu. Mais Luther n'avait pas suivi une idée si simple. Il voulait que ce qui nous justifie et ce qui nous rend agréables aux yeux de Dieu ne fût rien en nous ; mais que nous fussions justifiés, parce que Dieu nous imputait la justice de Jésus-Christ comme si elle eût été... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1863 - 676 pages
...la vertu. Mais Luther n'avoit pas suivi une idée si simple. Il vouloit que ce qui nous justifie, et ce qui nous rend agréables aux yeux de Dieu, ne fût rien en nous ; mais que nous fussions justifiés, parce que Dieu nous imputoit la justice de Jésus-Christ comme si elle eût été... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1868 - 510 pages
...vertu. Mais Luther n'avoit pas suivi une idée si simple. Il .vouloit que ce qui nous justifie, et ce qui nous rend agréables aux yeux de Dieu, ne fût rien en nous; mais que nous fussions justifiés parce que Dieu nous imputoit la justice de JésusChrist, comme si elle eût éié... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1878 - 486 pages
...la vertu. Mais Luther n'avoit pas suivi une idée si simple. Il vouloit que ce qui nous justifie, et ce qui nous rend agréables aux yeux de Dieu, ne fût rien en nous; mais que nous fussions justifiés parce que Dieu nous imputoit la justice de JésusChrist, comme si elle eût été... | |
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