| Nicolas Boileau Despréaux - 1800 - 358 pages
...C'est encor pis vingt fois en quittant la maison : En quelque endroit que j'aille , il fant fenilir la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse: L'un me heurte d'un ais dont je suis tont froiwc ; Je vois d'un antre coup mon chapeau reuversé. Là d'un enterrement la funebr« ordounance... | |
| Nicolas Boileau-Despréaux - 1800 - 354 pages
...vingt fois en quittant la maison : Eu quelque endroit que j'aille, il fant fendre la preste .l)'uo peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse: L'un me heurte d'un ais dont je suis tont froissé ; Je vois d'un antre coup mon chapeau reuversé. Là d'un enterrement la funebre ordonnance... | |
| Juvenal - 1811 - 530 pages
...jour à votre ignominie. Sat. 6. Est-ce donc pour veiller qu'on se couche à Paris ? En qaelqu'endroit que j'aille il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns...sans cesse. L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé. Je vois d'un autre conp mon chapeau renverséLà sur une charrette, nne poutre branlante... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1815 - 386 pages
...maux avoit borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison , C'est encor pis vingt fois en quittant la maison : En quelque endroit que j'aille,...cesse : L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Là d'un enterrement la funèbre ordonnance... | |
| Charles Constant Le Tellier - 1815 - 302 pages
..., C'est encor pis vingt fois en quittant la maison : Kn quelque endroit que j'aille, il faut fondre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. L'un me heurte d'un ais dont je suis lout froissé ; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Lià d'un enterrement la funèbre ordonnance... | |
| L. Philipon-La-Madelaine - 1817 - 470 pages
...ailles , qu'il ou qu'elle aille. Pluriel , qu'ils ou qu'elles aillent. En quelque endroit que faille , il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. B oi LEA v. AILE , sf ELLE , pro. Quoique la première syllabe soit longue dans aile, et brève dans... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 602 pages
...maux avoit borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison ", C'est encor pis vingt fois en quittant la maison : En quelque endroit que j'aille...sans cesse. L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Là d'un enterrement la funèbre ordonnance... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1875 - 598 pages
...avoit borné ma peine 9 ; Mais si seul en mon lit je peste10 avec raison, C'est encor pis vingt fois eu quittant la maison : En quelque endroit que j'aille,...sans cesse. L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé "; Je vois d'un autre cuup mon chape:m renversé. Là, d'un enterrement la funèbre ordonnance,... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 478 pages
...avoit borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison J, C'est encor pis vingt fois eu quittant la maison : En quelque endroit que j'aille , il faut fendre la presse ' D un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. L'on me heurte d'un ais dont je suis tout froissé;... | |
| Nicolas Gouin Dufief - 1823 - 634 pages
...class of ignoramuses, or stupid beings.u hose greatest delight is to torment people of understanding. En quelque endroit que j'aille, il faut fendre la...D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. BOILKAU. Une douzaine «fenfans furent tués le même jour. Une centaine de femmes furent ensevelies... | |
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