Revue des deux mondes, Volume 111Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1892 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
1er mai afrikaans Ambroise Rendu Antibel assez Australie Belle-Madame Beowulf c'était Caisse des dépôts caisses d'épargne Cape-Town chambre chevaux choses cœur colonies comte conseil constitution corps coup d'Orsel Dérocade Descartes devant di Rudini Dieu dire donner doute écoles élèves enfans enseignement esprit femme force forme Frédéric Gate gens gouvernement Guerny heures hommes ibid idées j'ai Jacques jamais jeune jolie jour l'autre l'enseignement l'esprit l'État l'institution l'Université laisser livres Lozère lycées main maître mari MARTRIL Mélitte ménine ment Mersolles Mette millions Mme de Genlis Mme Roller monarchie monde monnaie mouvemens Mr Letgood Mrs Hooper Nancy Napoléon non-seulement Nouvelle-Galles du Sud œuvre parler paroles passé pays peinture pensée peuple peut-être philosophie Piboul politique premier presque prince qu'un raison referendum regard régime rentes république reste rêve Rheinsberg rien s'est science semble sentimens sentiment serait seule siècle sociale sorte sourds-muets tête tion Transvaal trouve voilà voix Voltaire vrai yeux
Popular passages
Page 858 - ... toutes les choses qui peuvent tomber sous la connaissance des hommes s'entre-suivent en même façon, et que, pourvu seulement qu'on s'abstienne d'en recevoir aucune pour vraie qui ne le soit, et qu'on garde toujours l'ordre qu'il faut pour les déduire les unes des autres, il n'y en peut avoir de si éloignées auxquelles enfin on ne parvienne, ni de si cachées qu'on ne découvre.
Page 485 - I", notre Empereur ? R. — Les chrétiens doivent aux princes qui les gouvernent, et nous devons en particulier à Napoléon I", notre Empereur, l'amour, le respect, l'obéissance, la fidélité, le service militaire, les tributs ordonnés pour la conservation et la défense de l'Empire et de son trône; nous lui devons encore des prières ferventes pour son salut et pour la prospérité spirituelle et temporelle de l'État.
Page 855 - ... s'il la déduisait d'un syllogisme , il aurait dû auparavant connaître cette majeure : Tout ce qui pense est, ou existe; mais au contraire elle lui est enseignée de ce qu'il sent en lui-même qu'il ne se peut pas faire qu'il pense s'il n'existe. Car c'est le propre de notre esprit de former les propositions générales de la connaissance des particulières.
Page 504 - Hénault, ne doit avoir qu'un seul continuateur. Lorsque cet ouvrage, bien fait et écrit dans une bonne direction, aura paru, personne n'aura la volonté et la patience d'en faire un autre, surtout quand, loin d'être encouragé par la police, on sera découragé par elle.
Page 853 - ... il se peut faire qu'il ait voulu que je me trompe toutes les fois que je fais l'addition de deux et de trois, ou que je nombre les côtés d'un carré...
Page 660 - Chartres (1), qui arrivait à Versailles après une absence de six mois : « Je vais vous mettre au courant : ayez un habit puce, une veste puce, une culotte puce, et présentez-vous avec confiance ; voilà tout ce qu'il faut aujourd'hui pour réussir à la cour.
Page 508 - On se plaint que nous n'avons pas de littérature : c'est la faute du Ministre de l'Intérieur. « Il est ridicule de commander une églogue à un poète comme on commande une robe de mousseline. Le Ministre aurait dû s'occuper de faire préparer des chants pour le 2 décembre.
Page 673 - Que nous sert-il d'avoir la panse pleine de viande, si elle ne se digère? si elle ne se trans-forme en nous? si elle ne nous augmente et fortifie...
Page 872 - Car, étant assuré que je ne puis avoir aucune connaissance de ce qui est hors de moi, que par l'entremise des idées que j'en ai eues en moi, je me garde bien de rapporter mes jugements immédiatement aux choses et de leur rien attribuer de positif, que je ne l'aperçoive auparavant...
Page 848 - ... promène tous les jours à travers un peuple immense, presque aussi tranquillement que vous pouvez le faire dans vos allées. Les hommes que je rencontre me font la même impression que si je voyais les arbres de vos forêts ou les troupeaux de vos campagnes. Le bruit même de tous les commerçants ne me distrait pas plus que si j'entendais le bruit d'un ruisseau...