Étude sur les doctrines sociales du christianismeJ. Brouillet, 1873 - 185 pages |
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Common terms and phrases
affranchis ans de prison apôtres Augustin avaient avez bourgeois broieras C'était Caïphe catholique céleste César chair choses chré chrétiens Christ ciel civile clave concile d'Arles concile d'Elvire condamne corps créé culte débauche despotisme devant Dieu dieux disciples disent divin doctrine Épictète Ernest Havet esclavage esclaves Esséniens Est-ce femme force gouvernement haine homme humaine Jean Jérusalem Jésus jour Judée Juifs juive justice l'ascétisme l'Église l'esclavage l'esclave l'esprit l'homme l'humanité l'instituteur Léon Ier liberté logique lui-même maître malheur Marie de Magdala ment mépris du travail messie misérables monde monothéisme mort moyen âge nature négation nisme non-seulement Paul pauvres péché pense père père de l'Église persécuter peuple pharisiens philosophes Pilate Platon politique prêtre progrès prolétaires prophètes protestants puissance raël religieuse religion résignation reste rien Romains Rome sadducéens saint Sanhedrin science Sénèque sent sera servitude seul siècle social société spiritualisme terre Tertullien théorie tianisme tion tradition voilà volonté YVES GUYOT
Popular passages
Page 168 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui; ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits; ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 168 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 169 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.
Page 169 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 168 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 98 - C'est donc par le droit humain que l'on peut dire : « Cette villa est à moi, cette maison est à moi, cet esclave est à moi; mais le droit humain n'est pas autre chose que le droit impérial. Pourquoi ? Parce que c'est par les empereurs et les rois du siècle que Dieu distribue le droit humain au genre humain. Otez le droit des empereurs ; qui osera dire : Cette villa esta moi. cet esclave est à moi, cette maison est à moi ?... Ne dites donc pas : Qu'ai-je affaire au roi ? Car alors qu'avez-vous...
Page 166 - La bonne constitution de la société civile demande que les écoles populaires, qui sont ouvertes à tous les enfants de chaque classe du peuple, et en général que les institutions publiques destinées aux lettres, à une instruction supérieure et à une éducation plus élevée de la jeunesse, soient affranchies de toute autorité de...
Page 10 - Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu.
Page 10 - Et du fond de l'enfer, pendant qu'il était dans les tourments, il leva les yeux, et vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein. Et s'écriant, il dit : « Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, afin qu'il trempe dans l'eau le bout de son doigt et qu'il me rafraîchisse la langue, car je souffre cruellement dans cette flamme.
Page 9 - Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée.