| Samuel-Robert-Louis Gaussen - 1848 - 752 pages
...entrailles, mes en« trailles ! je suis dans la douleur, le cœur me bat, le dedans « de mon cœur ! je ne puis me taire; car, ô mon âme, tu as « ouï le son du cor et le retentissement de l'alarme ! » — Voici , avait dit encore le môme Jérémie.... | |
| François Samuel R. Louis Gaussen - 1848 - 746 pages
...entrailles, mes en« trailles ! je suis dans la douleur, le cœur me bat, le dedans « de mon cœur ! je ne puis me taire; car, ô mon âme, tu as « ouï le son du cor et le retentissement de l'alarme ! » — Voici, avait dit encore le même Jérémie,... | |
| Louis Gaussen - 1850 - 488 pages
...mes yeux une fontaine de larmes ! Mes » entrailles, mes entrailles! je suis dans la douleur, mon » cœur me bat , je ne puis me taire; car, ô mon âme , tu as » ouï le son du cor et le retentissément de l'alarme ! Une » ruine appelle une autre ruine ; toute la terre... | |
| François Samuel R. Louis Gaussen - 1850 - 478 pages
...mes yeux une fontaine de larmes ! Mes » entrailles, mes entrailles! je suis dans la douleur, mon » cœur me bat, je ne puis me taire; car, ô mon âme, tu as » ouï le son du cor et le retentissement de l'alarme ! Une » ruine appelle une autre ruine; toute la terre... | |
| J. B. Rossier - 1850 - 426 pages
...qu'ils sonnassent. » « Mon ventre ! mon ventre ! je suis dans la douleur ; le dedans de mon cœur, mon cœur me bat ; je ne puis me taire ; car, ô mon âme! tu as ouï le son de la trompette et le retentissement bruyant de l'alarme ...... Jusques à quand verraije l'enseigne... | |
| 1874 - 836 pages
...cela est amer, cela pénétre jusqu'à ton cœur. 19 Mes entrailles! mes entrailles! je souffre au dedans de mon cœur, Le cœur me bat, je ne puis me taire ; Car tu entends, mon âme, te son de la trompette, Le cri de guerre. 20 On annonce ruine sur rnine, Car... | |
| Louis Dorison - 1894 - 302 pages
...l'Éternel. « Lève les yeux vers les hauteurs, et regarde. » — « Je souffre, » dit-elle, « au-dedans de mon cœur ; le cœur me bat, je ne puis me taire. » — « Pourquoi te pardonnerais-je ? Tes enfanls m'ont abandonné. Ils renient l'Éternel, ils disent... | |
| Guillaume Apollinaire - 1914 - 352 pages
...Couvrez-vous de sacs, pleurez et gémissez. « Mes entrailles ! mes entrailles ! je souffre audedans de mon cœur. « Le cœur me bat, je ne puis me taire. « Tu entends, mon âme, le bruit de la trompette ! « Jusqu'à quand entendrai-je ce son? « Nation... | |
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