Pythagore: ou, Précis de philosophie ancienne et moderne dans ses rapports avec les métamorphoses de la nature ou la métempsycose

Front Cover
Joubert, 1841 - 110 pages
 

Common terms and phrases

Popular passages

Page 61 - Non pro eis autem rogo tantum, sed et pro eis, qui credituri sunt per verbum eorum in me, ut omnes unum sint, sicut tu, pater, in me et ego in te, ut et ipsi in nobis unum sint, ut credat mundus, quia tu me misisti.
Page 108 - En vérité, en vérité, je vous le dis, Moïse ne vous a pas donné le pain du ciel, mais mon Père vous donne le vrai pain du ciel; car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde.
Page 19 - ... il atteint à une fermeté lyrique, qu'on oublie trop de remarquer : II semble que, dans l'univers moral comme dans l'univers physique, Dieu n'ait mis qu'un seul principe dans tout ce qui a été.
Page 109 - Si donc je vous ai lavé les pieds, moi qui suis votre Seigneur et votre Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres ; 15.
Page 109 - Je suis en eux et vous en moi, afin qu'ils soient consommés dans l'unité, et que le monde connaisse que vous m'avez envoyé , et que vous les avez aimés , comme vous m'avez aimé.
Page 22 - La distance infinie des corps aux esprits figure la distance infiniment plus infinie des esprits à la charité, car elle est surnaturelle. Tout l'éclat des grandeurs n'a point de lustre pour les gens qui sont dans les recherches de l'esprit. La grandeur des gens d'esprit est invisible aux rois, aux riches, aux capitaines, à tous ces grands de chair.
Page 104 - ... bien différente de l'art humain dont les productions ne sont que des ouvrages morts , la nature est elle-même un ouvrage perpétuellement vivant, un ouvrier sans cesse actif, qui sait tout employer , qui travaillant d'après soimême...
Page 106 - En vérité, en vérité, je te le dis, à moins de naître d'eau et d'Esprit, nul ne peut entrer dans le Royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, ce qui est né de l'Esprit est esprit.
Page 26 - NATURE. \JA surface de la terre , parée de sa verdure , est le fonds inépuisable et commun duquel l'homme et les animaux tirent leur subsistance ; tout ce qui a vie dans la nature vit sur ce qui végète , et les végétaux vivent à leur tour des débris de tout ce qui a vécu et végété : pour vivre...

Bibliographic information