OEuvres de Malebranche, Volume 1Charpentier, 1842 |
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... Philosophie mêlées , vol . DE BALZAC . Physiologie du Mariage , 4 vol . Scenes de la Vie privée , 2 séries . Scènes de la Vie de province , 2 séries . Scenes de la Vie parisienne , 2 séries . Le Médecin de Campagne , i vol . Le Père ...
... Philosophie mêlées , vol . DE BALZAC . Physiologie du Mariage , 4 vol . Scenes de la Vie privée , 2 séries . Scènes de la Vie de province , 2 séries . Scenes de la Vie parisienne , 2 séries . Le Médecin de Campagne , i vol . Le Père ...
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... philosophie , nous n'avons qu'à entre- tenir avec un soin pieux le culte des grands maîtres qui honorent la philosophie française . Descartes , Pascal , Ar- nauld , Nicole , Bossuet , Fénelon , Malebranche , voilà la nourriture solide ...
... philosophie , nous n'avons qu'à entre- tenir avec un soin pieux le culte des grands maîtres qui honorent la philosophie française . Descartes , Pascal , Ar- nauld , Nicole , Bossuet , Fénelon , Malebranche , voilà la nourriture solide ...
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... philosophie au collége de la Marche , sa théologie en Sorbonne , et entra à l'Oratoire en 1660 , après avoir refusé un canonicat qu'on lui offrait à Notre- Dame de Paris . Son génie particulier ne se révéla pas d'abord , et les ...
... philosophie au collége de la Marche , sa théologie en Sorbonne , et entra à l'Oratoire en 1660 , après avoir refusé un canonicat qu'on lui offrait à Notre- Dame de Paris . Son génie particulier ne se révéla pas d'abord , et les ...
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... philosophie de l'école qui régnait alors , toute nourrie d'érudition et plus occupée de s'ac- corder avec Aristote qu'avec le bon sens , mais à la phi- losophie cartésienne , n'ayant pour point de départ que l'observation et pour règle ...
... philosophie de l'école qui régnait alors , toute nourrie d'érudition et plus occupée de s'ac- corder avec Aristote qu'avec le bon sens , mais à la phi- losophie cartésienne , n'ayant pour point de départ que l'observation et pour règle ...
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... philosophie ; l'évidence des conceptions en est la règle ; l'existence du moi , comme substance pen- sante , en est le point de départ , et s'affirme sans démon- stration par l'impossibilité du doute . Nous savons que 1. Descartes ...
... philosophie ; l'évidence des conceptions en est la règle ; l'existence du moi , comme substance pen- sante , en est le point de départ , et s'affirme sans démon- stration par l'impossibilité du doute . Nous savons que 1. Descartes ...
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Common terms and phrases
actuellement agir aimer âme amour attributs avez beauté cause occasionnelle cesse charité cher Ariste choses chrétiens cœur concupiscence conduite conséquence des lois corps créatures créer découvrir Descartes désirs desseins Dieu veut dire divine dois doit donne douleur esprit essen éternelle êtes fils gloire heureux hommes idées claires infi insectes intelli j'ai jamais Jésus Jésus-Christ juger juste justice l'amour l'efficace l'Église l'esprit l'étendue intelligible l'ètre l'Être infiniment parfait l'homme l'idée l'infini l'ordre immuable l'union de l'âme Leibnitz lois de l'union lois générales lui-même lumière Malebranche manière matière MÉDITATION ment mérite modalités moi-même monde nature naturelle néanmoins nécessaire nerf optique objets ouvrage pable passions péché pécheurs pense perception perfections peuvent peux philosophie plaisir plaisirs prescience principe providence puissance puisse raison universelle rapport règle remuer renferme rien sage sagesse saint saint Augustin sens sensibles sentiments serait seul souveraine substance THÉODORE Théotime tion vérité veux voies Voilà vois vrai
Popular passages
Page 279 - Or, il ya cette différence entre les rapports de grandeur et les rapports de perfection, que les rapports de grandeur sont des vérités toutes pures, abstraites, métaphysiques, et que les rapports de perfection sont des vérités et en même temps des lois immuables et nécessaires; ce sont les règles inviolables de tous les mouvements de l'esprit. Ainsi ces vérités sont l'ordre, que Dieu même consulte dans toutes ses opérations...
Page 117 - qu'il faut remarquer, que c'est une propriété de l'infini, incompréhensible à l'esprit humain, d'être en même temps un et toutes choses ; composé pour ainsi dire, d'une infinité de perfections...
Page 126 - Sic enim Deus dilexit mundum, ut Filium suum unigenitum daret: ut omnis, qui credit in eum, non pereat, sed habeat vitam aeternam.
Page xxvi - Ce fut un rêveur des plus profonds et des plus sublimes. Une page de Locke contient plus de vérités que tous les volumes de Malebranche; mais une ligne de celui-ci montre plus de subtilité, d'imagination, de finesse et de génie, peut-être, que tout le gros livre de Locke.
Page 332 - Mais, mon fils, Dieu ne t'a pas fait pour ne penser qu'à toi. Il t'a fait pour lui. Ainsi je ne te découvrirai point l'idée de ton être, que dans le temps heureux, auquel la vue de l'essence même de ton Dieu effacera toutes tes beautés, et te fera mépriser tout ce que tu es pour ne penser qu'à la contempler.
Page 468 - ... reçoive quelque chose du corps, et qu'il devienne plus éclairé qu'il n'est en se tournant vers lui, ainsi que les philosophes le prétendent, qui veulent que ce soit par conversion aux fantômes ou aux traces du cerveau, per conversionem ad phantasmata, que l'esprit aperçoive toutes choses.
Page 457 - Dieu que par amour de béatitude , puisqu'on ne peut l'aimer que par la volonté : d'où il conclut que l'amour de Dieu, même le plus pur, est intéressé , en ce sens qu'il est excité par l'impression naturelle que nous avons pour la perfection et la félicité de notre être.
Page 102 - Je ne tiens rien de ma nature, rien de la nature imaginaire des philosophes, tout de Dieu et de ses décrets. Dieu a lié ensemble tous ses ouvrages, non qu'il ait produit en eux des entités liantes; il les a subordonnés les uns aux autres sans les revêtir de qualités efficaces.
Page 116 - L'immensité de Dieu , c'est sa substance même répandue partout, et partout tout entière, remplissant tous les lieux sans extension locale. Voilà tout ce que je prétends être tout à fait incompréhensible.
Page 13 - J'ai de la peine à m'ôter cette pensée de l'esprit. THÉODORE. — Oui, Ariste, nos idées sont finies, si par nos idées vous entendez nos perceptions ou les modifications de notre esprit. Mais si vous entendez par l'idée de l'infini ce que l'esprit voit quand il y pense, ou ce qui est alors l'objet immédiat de l'esprit, assurément cela est infini ; car on le voit tel. Prenez-y garde, vous dis-je, on le voit tel.