Œuvres de Rabelais, Volume 3 |
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ajoute allusion anciens appelle aultres auteur avoit beau belle c'est-à-dire c'étoit cagots cardinal cause chap chapitre chose commence commentaire composé connétable dame dernier diables dict dieu dire dist dit-il docteur doit donne doute Duchat écrit éditions effet engendra estoyt étoit explique faict femme feut forme fort François Gargantua géant gens grec gros haut Henri homme interprète Jean jour jugement l'an l'auteur l'autre l'édition de Dolet l'un langue latin lettres lieu lire livre lui-même main maître manière Marsy Ménage ment monde mort mots n'en nommé note nouvelles Pantagruel Panurge parle paroît passer pays père petit petits peut-être plaisir plutôt porte premier prince pris propre qu'en qu'un quatre Rabelais raison rapport remarque reste rien s'en saint seigneur semble sens seulement signes signifie sorte suivant tems terre tire titre traité trouve vient voit Voyez vrai
Popular passages
Page 8 - Trouvez moy livre, en quelque langue, en quelque faculté et science que ce soit, qui ayt telles vertus, propriétés et prérogatives, et je poieray chopine de trippes.
Page 264 - Et par lesquelles heures du jour commence à visiter les sainctes lettres, premierement, en Grec, le Nouveau Testament, et Epistres des apostres, et puis en Hebrieu, le Vieulx Testament.
Page 110 - ... n'est * : elle prie Dieu pour nous, elle est bien heureuse, elle ne se soucie plus de nos misères et calamités : autant nous en pend à l'œil. Dieu gard le demeurant!
Page 265 - Mais — parce que, selon le saige Salomon, sapience n'entre poinct en ame malivole et science sans conscience n'est que ruine de l'ame — il te convient servir, aymer et craindre Dieu, et en luy mettre toutes tes pensées et tout ton espoir, et par foy formée de charité estre à luy adjoinct en sorte que jamais n'en soys desamparé par peché.
Page 154 - A quoy dist un de ses gens : Seigneur, sans nul doubte, ce gallant veult contrefaire la langue des Parisiens; mais il ne fait que escorcher le latin, et cuide ainsi pindariser * ; et luy semble bien qu'il est quelque grand orateur en françois, parce qu'il dédaigne l'usance commun de parler.
Page 257 - Dieu mon conservateur de ce qu'il m'a donné povoir veoir mon antiquité* chanue* refleurir en ta jeunesse, car, quand par le plaisir de luy, qui tout regist et modère*, mon âme laissera ceste habitation humaine, je ne me reputeray totallement mourir, ains passer d'un lieu en aultre, attendu que en toy et par toy je demeure en mon image visible en ce monde...
Page 299 - C'est ma langue naturelle et maternelle, car je suis né et ay esté nourry jeune au jardin de France, c'est Touraine.
Page 259 - Gothz, qui avoient mis à destruction toute bonne literature; mais, par la bonté divine, la lumiere et dignité a esté de mon eage rendue es lettres, et y voy tel amendement que de present...
Page 252 - ... celui où il naquit lui-même ; il exhorte son fils à profiter de toutes les ressources qui s'offrent à lui, à prendre part aux lumières de son siècle, à honorer les sciences et les lettres dans ceux qui les cultivent, et à ne pas associer, au sot orgueil de la richesse et du rang, le stupide orgueil de l'ignorance: «Quand j'étudiois, lui dit-il, le temps « n'estoit tant idoine ' ne commode es lettres comme
Page 132 - Car (disoit-il) au monde n'ya livres tant beaulx, tant aornés, tant élégans comme sont les textes des Pandectes : mais la brodure d'iceulx, c'est assavoir la Glose de Accurse ", est tant salle, tant infâme et punaise, que ce n'est que ordure et villenie.