Histoire de l'école d'Alexandrie, Volume 1Joubert, 1845 - 692 pages |
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Common terms and phrases
Alexandrins âme Amélius Aristote attribuer c'est-à-dire cause chose chrétiens connaissance conséquent corps d'Aristote dialectique Dieu dieux divine doctrine dogme école elle-même Ennéades esprit essence esséniens éternel faculté force gnostiques Grèce hypostase idées infini intelli intelligible Jamblique l'absolu l'âme universelle l'école d'Alexandrie l'espace l'esprit l'essence l'être l'existence l'idée l'infini l'intelligence l'unité absolue liberté lui-même matière ment métaphysique monde mouvement multiple mysticisme nature de Dieu nécessaire nécessité Numénius panthéiste parfait Parménide pensée perfection phénomènes Philon philosophie Platon platoniciens Plotin Porphyre premier principe Proclus produit puissance qu'une raison rien science sensation seule Spinoza substance système théisme théorie théorie des idées tion trinité trinité chrétienne vérité ἀεὶ ἀλλ ἀλλὰ ἂν αὐτὸ αὐτοῦ αὐτῷ γὰρ δὲ δεῖ εἰ εἶναι εἰς ἐκ ἐν καὶ καὶ τὸ μὲν μὴ νοῦς οἷον ὅτι οὐ οὐδὲ οὐκ οὖν πάντα περὶ πρὸς τὰ τε τῇ τὴν τῆς τὸ τοῖς τὸν τοῦ τοῦτο τῷ τῶν ὡς
Popular passages
Page 156 - Je vous rends gloire, mon Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que vous avez caché ces choses aux sages et aux prudents, et que vous les avez révélées aux simples et aux petits.
Page 327 - Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, Créateur du ciel et de la terre, et en Jésus-Christ, son Fils unique, notre Seigneur, qui a été conçu du Saint-Esprit...
Page 36 - Il est constant, et tout le monde le sait par expérience, que lorsque nous voulons penser à quelque chose en particulier, nous jetons d'abord la vue sur tous les êtres, et nous nous appliquons ensuite à la considération de l'objet auquel nous souhaitons de penser. Or il est indubitable que nous ne saurions désirer de voir un objet particulier, que nous ne le voyions déjà, quoique confusément et en général...
Page 36 - Mais la plus forte de toutes les raisons, c'est la manière dont l'esprit aperçoit toutes choses. Il est constant, et tout le monde le sait par expérience, que lorsque nous voulons penser à quelque chose en particulier, nous jetons d'abord la vue sur tous les êtres, et nous nous appliquons ensuite à la considération de l'objet auquel nous souhaitons de penser.
Page 150 - Quelqu'un ayant demandé à Apollon à quel dieu il devait s'adresser pour retirer sa femme du christianisme , Apollon lui répondit...
Page 157 - Dieu n'at-il pas convaincu de folie la sagesse de ce monde? — Car Dieu voyant que le monde, avec la sagesse humaine, ne l'avait point connu dans les ouvrages de sa sagesse divine, il lui a plu de sauver par la folie de la prédication ceux qui croiraient en lui.
Page 485 - ... avec la dernière clarté du corollaire suivant. COROLL. Les choses particulières ne sont rien de plus que les affections des attributs de Dieu, c'est-à-dire les modes par lesquels les attributs de Dieu s'expriment d'une façon déterminée. Cela est évident par la Propos. 15 et la Déf. V. PROPOS. 26. Toute chose, déterminée à telle ou telle action, ya nécessairement été déterminée \par Dieu, et si Dieu ne détermine pas une chose à agir, elle ne peut s'y déterminer elle-même....
Page 569 - Pour cela, il faut concevoir les choses sous le caractère de l'éternité, sub specie œterni ; car l'éternité est l'essence même de Dieu. De là ce théorème qui excitait l'admiration de Schelling : « Notre âme, en tant qu'elle connaît son corps et soi-même « sous le caractère de l'éternité, possède nécessairement la « connaissance de Dieu, et sait qu'elle est en Dieu et est conçue
Page 314 - De même tu peux dire que les êtres intelligibles ne tiennent pas seulement du bien ce qui les rend intelligibles , mais encore leur, être et leur essence, quoique le bien lui-même ne soit point essence , mais quelque chose fort au-dessus de l'essence en dignité et en puissance...
Page 491 - La mort est si peu de chose que les hommes s'assemblent, dans leurs jours de fête, pour s'en donner le spectacle; la guerre elle-même se fait avec pompe et comme en cérémonie. Ce sont des jeux de scène et rien de plus; jouons notre rùle'de bonne grâce et n'accusons pas la Providence pour des infortunes 'prétendues que nous déposerons avec le manque.