Œuvres de Voltaire, Volume 1; Volume 43Chez Stoupe, Imprimeur, 1792 |
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abfurde affez affure ainfi auffi avaient c'eft c'eſt Céfar cent chap chofes choſe chrétiens déferts diable Dieu difait difent divin efclaves efprits Égypte enfans enfuite ère vulgaire eſpèce eſt évêque expreffément facrée fage faifait faints falique fang fans favans favant favoir fe trouve fecond felon femble femme fens fept ferait fervir feul fiècle filles foient foit font fous fouvent fouverain fuivant fujets fuppofe fur l'Encycl fur-tout Gamaliel grace hiftoire hommes impoffible jamais jéfuites Jéfus Jésus-Chrift Juda jufqu'à Juifs l'efprit l'Églife l'empire l'hiftoire laiffe livre lois long-temps Louis XIV maître médecin Meffie mille millions miracles Moïfe monde n'eft n'eſt n'était nation néceffaire oracles paffage paffe parlement péché originel penfer Pentateuque père perfonne peuple philofophes Platon plufieurs prefque prêtres prophète puiffance puiffe qu'un Queft queſtion raifon refte religion rien rois Romains Rome royaume s'eft Saül SECTION Seigneur ſes ſon terre Zoroastre دو رو
Popular passages
Page 285 - Ce champ que je cultive, cette maison que j'ai bâtie, sont à moi; j'y vis sous la protection des lois, qu'aucun tyran ne peut enfreindre? Quand ceux qui...
Page 426 - Voilà ce que je vous disais étant encore avec vous, qu'il était nécessaire que tout ce qui a été écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes et dans les psaumes, fût accompli.
Page 71 - ... celle d'avoir la virginité en horreur. Si ce petit peuple de courtiers fuperftitieux n'avait pas regardé le mariage comme la première loi de l'homme, s'il y avait eu chez lui des couvens de religieufes , il était perdu fans reffource.
Page 427 - Jéfus vint demeurer dans une ville appelée Nazareth , afin que cette prédiction des prophètes fût accomplie : II fera appelé Nazaréen. S. Jude, dans fon épître, cite auffi une prophétie du livre d'Hénoc qui eft apocryphe; & l'auteur de l'ouvrage imparfait fur S.
Page 338 - Quelques-unes des choses qu'il fit étaient bien, la plupart étaient déplacées. Il a vu que son peuple était barbare, il n'a point vu qu'il n'était pas mûr pour la police ; il l'a voulu civiliser quand il ne fallait que l'aguerrir. Il a d'abord voulu faire des Allemands, des Anglais, quand il fallait commencer par faire des Russes : il a empêché ses sujets de devenir jamais ce qu'ils pourraient être, en leur persuadant qu'ils étaient ce qu'ils ne sont pas.