Revue occidentale philosophique, sociale et politiqueAux bureau de la Revue, 1899 |
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actes Ammien Marcellin Andragathius années Auguste Ausone Barreto Benjamin Constant Brésil brésilien catholique chef Chine Chinois chose chrétiens christianisme civilisation conceptions Congreve Considérant Constance Chlore constitue Creusot Cromwell culte d'Auguste Comte déclarer devant diplômes disciples doctrine doit Durkheim écoles enseignement études évêques Falloux famille femme Gaule gouvernement Gratien grève grévistes hommes humaine idées impérial infra intellectuelle Ive siècle Jérôme Jésuites l'art l'école l'Eglise l'empire l'enseignement l'esprit l'Etat l'évêque l'évolution l'histoire l'homme l'Humanité lettre liberté Libre-Pensée lois lycée Magnus Maximus Martin Martin de Tours martyrs Maxime Maximus ment méthode Miguel Lemos militaire mission missionnaires mœurs morale ouvriers passé passion Péking peuple philosophie positive Pierre Laffitte politique premier présente Priscillien professeurs progrès protectorat publique question régime religieux religion reporter reste rien romaine saint science scientifique secondaire sentiment serait seulement sociale Société positiviste sociologique suivant Sulpice Sulpice Sévère surtout système Théodose théologie tion tique Trèves Valentinien vérité vrai Zosime
Popular passages
Page 463 - ... personnes exerçant la même profession, des métiers similaires ou des professions connexes concourant à l'établissement de produits déterminés, pourront se constituer librement sans l'autorisation du gouvernement. Art. 3 - Les syndicats professionnels ont exclusivement pour objet l'étude et la défense des intérêts économiques, industriels, commerciaux et agricoles.
Page 73 - Rapport fait au nom de la commission du budget chargée d'examiner le projet de loi portant fixation du budget général de l'exercice 1899 (Ministère des affaires étrangères), par M.
Page 52 - Aucune entrave ne sera apportée par les autorités de l'Empire chinois au droit qui est reconnu à tout individu en Chine d'embrasser, s'il le veut, le christianisme et d'en suivre les pratiques, sans être passible d'aucune peine infligée pour ce fait. Tout ce qui a été précédemment écrit, proclamé ou publié en Chine, par ordre du Gouvernement, contre le culte chrétien, est complètement abrogé, et reste sans valeur dans toutes les provinces de l'Empire.
Page 417 - C'est pourquoi tous ceux qui gouvernent se sentent assujettis à une force majeure: ils font plus ou moins qu'ils ne pensent, et leurs conseils...
Page 52 - Excellence le Ministre de France en Chine, auquel le Gouvernement impérial les fera délivrer avec les cimetières et les autres édifices qui en dépendaient.
Page 52 - La religion chrétienne ayant pour objet essentiel de porter les hommes à la vertu, les membres de toutes les communions chrétiennes jouiront d'une entière sécurité pour leurs personnes, leurs propriétés et le libre exercice de leurs pratiques religieuses...
Page 463 - ... partie, que les ouvriers ne sauraient davantage lui imposer de prendre pour juge des difficultés pendantes entre eux et lui le syndicat ouvrier auquel ils appartiennent; DÉCIDE : L'intermédiaire du syndicat auquel appartient l'une des parties peut être utilement employé si toutes deux y consentent; il ne peut être imposé.
Page 418 - U s système n'est autre chose que la disposition des différentes parties d'un art ou d'une science dans un ordre où elles se soutiennent toutes mutuellement, et où les dernières s'expliquent par les premières. Celles qui rendent raison des autres , s'appellent principes ; et le système est d'autant plus parfait, que les principes sont en plus petit nombre : il est même à souhaiter qu'on les réduise à un seul.
Page 47 - Les évêques et les prêtres exhorteront également les chrétiens à s'appliquer à faire le bien, afin de maintenir la bonne renommée de la religion catholique, et faire en sorte que le peuple soit content et reconnaissant. Lorsqu'un procès aura lieu entre le peuple et les chrétiens, les autorités locales devront le 'juger et le régler avec équité. Les missionnaires ne pourront pas s'immiscer et donner leur protection avec partialité, afin que le peuple et les chrétiens vivent en paix.
Page 475 - Sainteté que j'ai donné les ordres nécessaires pour que les choses contenues dans mon édit du 22 mars 1682, touchant la déclaration faite par le clergé de France, à quoi les conjonctures passées m'avaient obligé, ne soient pas observées...