| 1804 - 266 pages
...coups , et souvent le trépas. Moi , qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchans. Leurs confrères les loups dévorent ce qui restt. Victimes de ces inhumains, Travailler... | |
| Jean Pierre Claris de Florian - 1810 - 426 pages
...le trépas. Moi qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait et qui fume leurs champj,. le vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné...destin funeste ! Il est vrai, dit le chien : mais crois-tu,plus heureux Les auteurs de notro misère ? ,Va, ma sœur, il vaut encor mieux FABLE IV. LE... | |
| Florian - 1812 - 254 pages
...Des coups et souvent le trépas. Moi qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma..., Travailler pour eux seuls , et mourir par leurs maint , Voilà notre destin funeste ! Il est vrai , dit le chien : mais crois-tu plus heureux Les auteurs... | |
| Parnassus - 1816 - 282 pages
...prix de ton zèle, Des coups, et souvent le trépas. Moi qui tous les ans les habille, Moi qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchans : Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste. Victimes de ces inhumains, Travailler... | |
| Florian - 1819 - 244 pages
...coups et souvent le trépas. Moi qui tous les ans les babille , Qui leur donne du lait et qui fume leurs champs , Je vois chaque matin quelqu'un de ma...notre destin funeste ! Il est vrai , dit le chien : ir.ais crois-tu plus heureux Les auteurs de notre misère ? Va, ma sœur, il vaut encor mieux Souffrir... | |
| Jean Pierre Claris de Florian - 1819 - 254 pages
...Des coups et souvent le trépas. Moi qui tous les mis les habille, Qui leur donne du lait et qui fame leurs champs , Je vois chaque matin quelqu'un de ma...mourir par leurs mains , Voilà notre destin funeste ! 11 est vrai , dit le chien : mais crois-tu plus heureux Les auteurs de notre misère ? Va, ma sœur,... | |
| Capelle (M., Pierre Adolphe) - 1819 - 456 pages
..., éî souvent le trépas. Moi , qui tous les ans les habille , Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs . Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchans. Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste. Victimes de ces inhumains , Travailler... | |
| Florian - 1820 - 540 pages
...Des coups et souvent le trépas. Moi qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma..., Travailler pour eux seuls , et mourir par leurs main* , Voilà notre destin funeste ! II est vrai , dit le chien : mais crois-tu plus heureux Les auteurs... | |
| Florian - 1825 - 332 pages
...coups, et souvent le trépas. Moi . cîui tous les a/is les habille , Qui leur donne du lait et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces médians. Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste. Victirïres de ces inhumains, Travailler... | |
| Florian - 1827 - 234 pages
...coups et souvent le trépas. Moi , qui tous les ans les habille , Qui lin- donne du lait , et qui fume leurs champs, Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces médians. Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste. Victimes du ces inhumains , Travailler... | |
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