Journal des demoisellesBureau du journal, 1874 |
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Popular passages
Page 357 - Misérable ! et je vis ! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel , tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher ' ? Fuyons dans la nuit infernale.
Page 357 - Mon père, Cessez de vous troubler, vous n'êtes point trahi : Quand vous commanderez, vous serez obéi. Ma vie est votre bien; vous voulez le reprendre : Vos ordres sans détour pouvaient se faire entendre.
Page 359 - Quelle Jérusalem nouvelle Sort du fond du désert brillante de clartés, Et porte sur le front une marque immortelle ? Peuples de la terre, chantez. Jérusalem renaît* plus charmante et plus belle ; D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants...
Page 358 - J'irai pour mon pays m'offrir en sacrifice. Qu'on s'éloigne un moment. (Le cliœur se retire vers le fond du théâtre. SCÈNE IV. ESTHER, ÉLISE, LE CHŒUR. ESTHER. O mon souverain roi, Me voici donc tremblante et seule devant toi! Mon père mille fois m'a dit dans mon enfance Qu'avec nous tu juras une sainte alliance, Quand...
Page 322 - Phœdime, il fallait me pleurer Quand d'un titre funeste on me vint honorer, Et lorsque m'arrachant du doux sein de la Grèce, Dans ce climat barbare on traîna ta maîtresse, Retourne maintenant chez ces peuples heureux, 1530 Et, si mon nom encor s'est conservé chez eux, Dis-leur ce que tu vois, et de toute ma gloire, Phœdime, conte-leur la malheureuse histoire.
Page 259 - Et laissa leurs remparts cachés sous leurs ruines : Rome vous vit, madame, arriver avec lui. Dans l'Orient désert quel devint mon ennui!
Page 358 - J'attendais le moment marqué dans ton arrêt , Pour oser de ton peuple embrasser l'intérêt : Ce moment est venu ; ma prompte obéissance Va d'un roi redoutable affronter la présence.
Page 194 - Que gagnez-vous par an? — Par an! ma foi, monsieur, Dit avec un ton de rieur Le gaillard savetier, ce n'est point ma manière De compter de la sorte; et je n'entasse guère Un jour sur l'autre: il suffit qu'à la fin J'attrape le bout de l'année; Chaque jour amène son pain.
Page 193 - Un homme paraît grossier, lourd, stupide; il ne sait pas parler, ni raconter ce qu'il vient de voir: s'il se met à écrire, c'est le modèle des bons contes; il fait parler les animaux, les arbres, les pierres, tout ce qui ne parle point: ce n'est que légèreté, qu'élégance, que beau naturel, et que délicatesse dans ses ouvrages.
Page 195 - Voilà deux mois que je ne sors point, si ce n'est pour aller un peu à l'Académie, afin que cela m'amuse. Hier, comme j'en revenais, il me prit au milieu de la rue du Chantre ~ une si grande faiblesse que je crus véritablement mourir.