Histoire des Français, Volume 7Wouters, frères, 1847 |
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Common terms and phrases
Anglais août Armagnacs armée assiégés attaquer avaient Barante bâtard Benoît Benoît XIII Bour Bourbon Bourg Bourguignons c'était capitaines cardinaux cents chancelier Charles VII Chartier château chevaliers Clisson comte d'Armagnac conférences connétable conseil Craon d'Alençon d'Angleterre d'Anjou d'autre dauphin devant duc d'Orléans duc de Bedford duc de Berri duc de Bourgogne duc de Bretagne duc de Glocester duc de Guienne duchesse ennemis ensuite Fèvre Saint-Remi frère Froissart fût gogne gouvernement guerre Harfleur Henri Hist hommes d'armes Ibid janvier Jean Journal d'un bourgeois juillet Juvénal des Ursins l'armée l'Église l'évêque laissé Languedoc Louis II d'Anjou maréchal Melun mois Monstrelet n'avait n'était négociations oncles Ordonn paix pape peuple pouvait prévôt princes du sang prisonniers provinces Pucelle rassembler réconcilier reine Religieux de Saint-Denis Richard Richemont royaume Rymer s'était Saint-Pol schisme seigneurs septembre seulement Sicile siége sire soldats Tannegui du Châtel traité traité de Troyes Trémouille trêve Troyes voulait Walsingham
Popular passages
Page 471 - Elle, étant dans les flammes, dit « ensuite ce prêtre, oncques ne cessa de résonner jusqu'à la fin, et « confesser à haute voix le nom de Jésus, en implorant et invoquant » sans cesse l'aide des saints et saintes du paradis ; et en rendant son » esprit à Dieu et inclinant sa tête, elle proféra le nom de Jésus, en » signe qu'elle était fervente en la foi de Dieu a.
Page 309 - ... au lieu de bourlées, deux grandes oreilles si larges que quand elles vouloient passer l'huis d'une chambre, il falloit qu'elles se tournassent de côté et baissassent.
Page 52 - ... voit être d'accord. Finalement avisé fut et « conseillé , pour cause de ce que le duc d'Or« léans étoit trop jeune pour entreprendre un si « grand fait , que les deux oncles du roi , le duc « de Berri et le duc de Bourgogne en auroient « le gouvernement , et principalement le duc de « Bourgogne ; et que madame de Bourgogne se « tiendroit tout coi , lez la reine , et seroit la cf seconde après elle.
Page 433 - Gentil dauphin, lui dit-elle, pourquoi ne me croyez-vous ? Je vous dis que Dieu a pitié de vous, de votre royaume et de votre peuple; car saint Louis et Charlemagne sont à genoux devant lui, en faisant prières pour vous.
Page 194 - ... qu'il ne craignait aucun homme vivant , tant qu'il serait en la grâce du roi '. Cependant la reine émue de crainte , et se sentant à la gène au milieu de cet absolu pouvoir du duc de Bourgogne, partit secrètement pour Melun avec ses enfans; puis commença à munir cette ville d'armes et de vivres. Le roi de Sicile, le duc de Berri, le duc de Bretagne, le sire de Montaigu allèrent l'y rejoindre. Ce fut un grand sujet de mécontentement pour le duc Jean, qui s'employa de son mieux à apaiser...
Page 205 - ... d'Orléans, votre frère, pour le bien de votre royaume et de votre personne, comme il est prêt de vous dire, et faire véritablement savoir quand il vous plaira; et pourtant...
Page 52 - Paris de-lez le duc d'Orléans et les oncles du roi; car pour lors les cons.aux de France des nobles, des prélats et des bonnes villes étoient à Paris pour voir et conseiller lesquels ou lequel auroient le gouvernement du royaume, tant que le roi seroit retourné en bon état si retourner y devoit, son frère le duc d'Orléans, ses oncles, ou l'un d'eux, tout par lui; et fut-on sur cet état et conseil plus de quinze jours que on ne pouvoit être d'accord. Finalement, avisé fut et conseillé,...
Page 67 - ... que les deux papes fussent invités à abdiquer en même temps leur dignité, pour laisser à l'Église la liberté d'en élire un nouveau : c'est ce qu'on nomma la voie de cession mutuelle. S'ils s'y refusaient, il leur proposait encore de nommer des arbitres, qui examineraient leurs droits, qui décideraient lequel des deux était le pape véritable ; et comme ils devaient promettre d'avance de se soumettre à leur décision, ce second expédient fat nommé la voie de compromis.
Page 32 - Bourgogne; cil l'a voit grandement contre courage (cœur) ; et la haine parfaite venoit de par la duchesse de Bourgogne sa femme^ laquelle étoit et fut dame de haut courage, et ne pouvoit aimer ce connétable de France, car le duc de Bretagne lui étoit trop prochain de lignage; et tout ce que son père le comte de Flandre avoit aimé elle aimoit, et qu'il avoit haï elle haïssoit, et de cette condition fut-elle.
Page 461 - Sur quoi le chapelain lui bailla absolution telle quelle, et lors La Hire fit sa prière à Dieu, en disant en son gascon, les mains jointes ^« Dieu, je te prie que tu fasses aujourd'hui » pour La Hire autant que tu voudrois que La Hire « fist pour toi, si il estoit Dieu et tu fusses La Hire.