Journal des demoisellesBureau du journal, 1857 |
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ADELE AGATHE âme beau belle blanche bonheur bord bouillon broder c'était centimètres chant charmante chère chose Cistac Cluny cœur comte cordonnet corsage Corseul couleur croquis dame dentelle dessin devant Dieu DURCOURT Écusson enfant entre-deux femme feston fils fleurs François Villon FRANVAL Frédérick garniture GERTRUDE GRAND-DUC Haendel HERMANN homme Isaure j'ai jeune fille joli jour jupe Kernevel laisser larmes lithophanies madame madame de Maintenon mademoiselle Mailloche main maison manches manchette ment mère monde monsieur mort mouchoir mousseline MUSICAL musique noble Parmentier passé pauvre pensée père petit petite pleurs plumetis Pont-Lieu porte première Quentin Matsys Régine reste rétrécie surjetée rien robe rose ruban rue Amelot Sahara sainte salon scène semble sentiment sera seul simple sœur soir sorte soutache taffetas talent Théodose tion toilette TOUR à l'endroit TOUR à l'envers trécie triste trouve tulle unies 1 jetée unies X velours visite voilà voix yeux Zizim
Popular passages
Page 323 - Semblablement où est la reine Qui commanda que Buridan Fût jeté en un sac en Seine...
Page 226 - On doit le temps ainsi prendre qu'il vient: Tout dit que pas ne dure la fortune. Un temps se part, et puis l'autre revient: On doit le temps ainsi prendre qu'il vient. Je me comforte en ce qu'il me souvient Que tous les mois avons nouvelle lune: On doit le temps ainsi prendre qu'il vient: Tout dit que pas ne dure la fortune.
Page 65 - Il se laisse faire. Il se laisse aller. Sa pensée, comme sa vie, ressemble au nuage qui change de forme et de route, selon le vent qui le pousse. Voilà le premier homme, voilà le premier poète. Il est jeune, il est lyrique.
Page 35 - QUELQUE chose que je dise contre le mariage, mon dessein n'est pas d'en détourner ceux qui y sont portés par une inclination naturelle, mais seulement de faire voir que les dégoûts et les chagrins qui en sont presque inséparables viennent pour l'ordinaire plutôt du côté des maris que de celui des femmes, contre le sentiment de M. Despréaux. J'espère qu'en faveur de la cause que j'entreprends, on...
Page 323 - Hélène, Quiconque meurt, meurt à douleur. Celui qui perd vent et haleine, Son fiel se crève sur son cœur : Puis...
Page 65 - Aux temps primitifs, quand l'homme s'éveille dans un monde qui vient de naître, la poésie s'éveille avec lui. En présence des merveilles qui l'éblouissent et qui l'enivrent, sa première parole n'est qu'un hymne. Il touche encore de si près à Dieu que toutes ses méditations sont des extases, tous ses rêves des visions. Il s'épanche, il chante comme il respire.
Page 325 - Qu'elle est hideuse à voir, la misère des villes ! De quels affreux haillons ses membres sont vêtus! Que d'opprobres en elle et de passions viles ! La pauvreté rustique est mère des vertus. Elle a sa dignité; sans envie et sans haine, Elle va poursuivant le travail de ses bras. Virile et bienfaisante, elle ressemble au chêne, D'autant plus généreux sur des sols plus ingrats. C'est elle qui revêt d'une indomptable force Vos fils durs...
Page 325 - ... La pauvreté rustique est mère des vertus. Elle a sa dignité; sans envie et sans haine, Elle va poursuivant le travail de ses bras. Virile et bienfaisante, elle ressemble au chêne, D'autant plus généreux sur des sols plus ingrats. C'est elle qui revêt d'une indomptable force Vos fils durs à la neige, insensibles au feu; Par elle, vous gardez, sous une rude écorce, Les tendresses du cœur et la croyance en Dieu. Si la France un matin vous aligne en phalange, Vous savez faire honneur à...
Page 224 - A vos haineux, aux siens, par sa dextérité. Courtisans, qui jetez vos dédaigneuses vues Sur ce chien délaissé, mort de faim par les rues, Attendez ce loyer de la fidélité.
Page 192 - Personne néanmoins n'ignore que les bons livres sont l'essence des meilleurs esprits, le précis de leurs connaissances et le fruit de leurs longues veilles.