Le Correspondant, Volume 115Charles Douniol, 1879 |
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André années appelle arriver assez aujourd'hui aurait avaient avant avons c'était cause Chambre chose clergé cœur commun compte congrégations conseil côté coup cours d'autres d'être demande dernier devant Dieu dire disait donner doute écoles effet élèves enfants enfin esprit établissements évêques faisait famille femme Ferry fille fils fond force forme garde général gens gouvernement haut heures hommes idées j'ai Jésuites jeune jour Jules jusqu'à l'Eglise l'enseignement l'Etat l'un laisser lettre liberté livre loin lui-même main maîtres marquis ment mère mieux ministre monde moyen n'avait n'en n'était nouveau nouvelle parler passé pays pendant pensée père personne petits peut-être place porte pouvait premier présent presque pris publique qu'à qu'un question raison regard religieux religion République reste révolution rien Russie s'en s'était s'il saint semble sentiment serait seulement siècle société sorte suivant surtout tenir tête tion trait trouver venait vérité voie vrai yeux
Popular passages
Page 628 - ... descendue du ciel. Mais cette vie d'érudit ou de dilettante chrétien ne pouvait longtemps suffire à une nature aussi militante. Ce n'était pas seulement dans l'histoire, c'était dans les luttes présentes et quotidiennes de la vie publique qu'il voulait relever le nom catholique. Quand, au lendemain de la révolution de Juillet, il avait vu « la croix arrachée du fronton des églises de Paris, traînée dans les rues et précipitée dans la Seine, aux applaudissements d'une foule égarée...
Page 828 - Je vous remercie de proscrire l'étude chez les laboureurs. Moi qui cultive la terre, je vous présente requête pour avoir des manœuvres, et non des clercs tonsurés.
Page 417 - Non, lorsque nous avons, avec la Constitution, exigé des preuves de moralité et de capacité, nous ne pouvions pas en exiger d'autres, sous peine d'inconséquence. Il en est résulté que nous ne pouvions pas, dans la loi, déclarer en vigueur les ordonnances de 1828; nous ne le pouvions pas, et c'est pour cela que nous nous taisons.
Page 86 - ... c'est un compliment fait à quelque jolie femme, ou bien c'est une des cent mille et mille sottises qu'il a dites dans sa vie. La vérité est précisément le contraire. Les femmes n'ont fait aucun chef-d'œuvre dans aucun genre.
Page 450 - A dater de la même époque, nul ne pourra être ou demeurer chargé, soit de la direction, soit de l'enseignement, dans une des maisons d'éducation dépendantes de l'Université, ou dans une des écoles secondaires ecclésiastiques , s'il n'a affirmé par écrit qu'il n'appartient à aucune congrégation religieuse non légalement établie en France.
Page 967 - Aucune cérémonie religieuse n'aura lieu hors des édifices consacrés au culte catholique dans les villes où il ya des temples destinés à différents cultes.
Page 568 - ... dans ses intérêts bien entendus; car si la liberté qui convient aux modernes est différente de celle qui convenait aux anciens, le despotisme qui était possible chez les anciens n'est plus possible chez les modernes. De ce que nous sommes souvent plus distraits de la liberté politique qu'ils ne pouvaient l'être, et dans notre état ordinaire, moins passionnés pour elle, il peut s'ensuivre que nous négligions quelquefois trop, et toujours à tort, les garanties qu'elle nous assure; mais...
Page 19 - ... et au moins cent écoles ecclésiastiques préparatoires ou petits séminaires. Eh bien '. il n'est pas un seul collège royal , pas un seul collège communal, pas une seule pension particulière qui soit dans les mains de ces hommes si redoutables connus sous le nom de Jésuites.
Page 787 - La religion , la religion! c'est le cri de l'humanité en tous lieux, en tout temps, sauf quelques jours de crise terrible ou de décadence honteuse. La religion, pour contenir ou combler l'ambition humaine! La religion, pour nous soutenir ou nous apaiser dans nos douleurs, celles de notre condition ou celles de notre âme! Que la politique, la politique la plus juste, la plus forte, ne se flatte pas d'accomplir, sans la religion, une telle œuvre. Plus le mouvement social sera vif et étendu, moins...
Page 828 - Ignorantins sont survenus pour achever de tout perdre ; ils apprennent à lire et à écrire à des gens qui n'eussent dû apprendre qu'à dessiner et à manier le rabot et la lime, mais qui ne le veulent plus faire... le bien de la société demande que les connaissances du peuple ne s'étendent pas plus loin que ses occupations.