| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 370 pages
...force de se tenir assis, il traçait au crayon, le 1" décembre 1832, ce billet à son frère : « Ma fin , si c'est elle qui s'approche , est douce...tranquille. Si tu étais là assis sur le bord de » mon lit, avec notre père et Frédéric, j'aurais » l'âme brisée et ne verrais pas venir la mort avec... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 420 pages
...force de se tenir assis , il traçait au crayon , le 1er décembre 1832 , ce billet à son frère : « Ma fin , si c'est elle qui s'approche , est » douce...tranquille. Si tu étais là , assis sur » le bord de mon lit, avec notre père et Frédé» rie, j'aurais l'ame brisée et ne verrais pas * venir la mort avec... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 424 pages
...force de se tenir assis, il traçait au crayon, le 1" décembre 1832, ce billet à son frère : <i Ma fin , si c'est elle qui s'approche , est douce...tranquille. Si tu étais là assis sur le bord de » mon lit, avec notre père et Frédéric, j'aurais » l'ame brisée et ne verrais pas venir la mort avec... | |
| François-René de Chateaubriand - 1837 - 382 pages
...force de se tenir assis, il traçait au crayon, le 1" décembre 1832, ce billet à son frère : « Ma fin , si c'est elle qui s'approche , est douce...tranquille. Si tu étais là assis sur le bord de » mon lit, avec notre père et Frédéric, j'aurais » l'ame brisée et ne verrais pas venir la mort avec... | |
| Victor Jacquemont - 1841 - 384 pages
...passagèrement confuses dans quelques paroxismes violents de douleur, au commencement de ma maladie. .l'ai généralement calculé sur le pire, et cela ne les...tranquille. Si tu étais là, assis sur le bord de mon lit, avec notre père et Frédéric, j'aurais l'âme brisée , et ne verrais pas venir la mort avec... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1843 - 592 pages
...force de se tenir assis , il tracoit au crayon , le Гг décembre 1 832 , ce billet à son frère : « Ma fin, si c'est elle qui s'approche, est douce « et tranquille. Si tu élois la assis sur le bord de « mon lit, avec notre père et Frédéric, j'aurois « l'âme brisée... | |
| François-René de Chateaubriand - 1849 - 524 pages
...force de se tenir assis, il traçait au crayon, le 1er décembre 1832, ce billet à son frère : « Ma fin, si c'est elle qui s'approche, est douce et...tranquille. Si « tu étais là assis sur le bord de mon lit, avec notre père et Fré« déric, j'aurais l'âme orisée et ne verrais pas venir la mort avec... | |
| 1851 - 642 pages
...elles n'ont été que bien rarement et bien passagèrement confuses dans quelques paroxismes violents de douleur, au commencement de ma maladie. J'ai généralement...pire, et cela ne les a jamais rendues noires. — Ma lin, si c'est elle qui s'approche, est douce et tranquille. — Si tu étais là, assise sur le bord... | |
| Académie de Stanislas (Nancy, France) - 1853 - 660 pages
...elles n'ont été que bien rarement et bien passagérement confuses dans quelques paroxysmes violents de douleur, au commencement de ma maladie. J'ai généralement...tranquille. Si tu étais là, assis sur le bord de mon lit avec notre pére et Frédéric, j'aurais l'âme triste, et ne verrais pas venir la mort avec (29... | |
| 1853 - 652 pages
...elles n'ont été que bien rarement et bien passagèrement confuses dans quelques paroxysmes violents de douleur, au commencement de ma maladie. J'ai généralement...et tranquille. Si tu étais là, assis sur le bord démon lit avec notre père et Frédéric, j'aurais l'âme triste, et ne verrais pas venir la mort... | |
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