L'Ouvrier, Volume 11862 |
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âme Angers avaient Bastille BOUGON Bourney bras c'était centimes Chaulat cher chose chrétien ciel Claude Chopin cœur Compagnonnage Compagnons noirs Conseil des prud'hommes coup croix Croix-d'Argent Crosnes curé demanda devant Dieu dire docteur Guillotin donner Dubuisson ÉGYPTE enfants êtes femme Finette Gerbeau guano hebdomadaire illustré paraissant Henri Lacordaire heures homme j'ai jamais Jean-Louis jeune fille jour Jourdain l'Américain l'atelier l'auberge l'église l'Éveillé l'Ouvrier laisser librairie de BLÉRIOT LOUIS VEUILLOT Louison Maclovie main maison maître Louis malade malheureux Marie ment mère MÈRE NOIRE Miette Miraflorès monde monsieur mort n'avait nuit ouvriers Pancrazio parler paroles passer patron pauvre PAYS D'OUTRE-MER peine pensée père Brulot Perret Perrichon petite peuple porte premier prêtre prochain numéro Ragot regard répondit reste Ribou rien Rubigny s'était saint Saint-Laud sais SALOMON DE CAUS savez sentiment serait seul sœur soir sorte suite au prochain tête tout-à-coup travail trouver venait voilà voix voulait yeux
Popular passages
Page 267 - La calomnie, Monsieur? Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés. Croyez qu'il n'ya pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville en s'y prenant bien ; et nous avons ici des gens d'une adresse!...
Page 230 - Rhin jusqu'au-delà des Pyrénées, on ne rencontrait que des troupes d'hommes revêtus de la croix, jurant d'exterminer les Sarrasins, et d'avance célébrant leurs conquêtes ; de toutes parts retentissait le cri de guerre des croisés : Dieu le veut ! Dieu le veut ! Les pères conduisaient leurs enfants et leur IVu-uiciit jurer de vaincre ou de mourir pour Jésus-Christ.
Page 230 - Les guerriers s'arrachaient des bras de leurs épouses et de leur» familles , et promettaient de revenir victorieux. Les femmes, les vieillards, dont la . faiblesse restait sans appui, accompagnaient leurs fils ou leurs époux dans la ville la plus voisine, et, ne pouvant se séparer des objets de leur affection , prenaient le parti de les suivre jusqu'à Jérusalem. Ceux qui...
Page 8 - Venez à moi , vous tous qui êtes chargés , et je vous soulagerai. Prenez mon joug sur vous , et apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos de vos âmes , car mon joug est doux, et mon fardeau léger.
Page 196 - Car j'ai eu faim, et vous ne m'avez pas donné à manger; j'ai eu soif, et vous ne m'avez pas donné à boire; j'étais étranger, et vous ne m'avez pas recueilli; j'étais nu, et vous ne m'avez pas vêtu; j'étais malade et en prison, et vous ne m'avez pas visité.
Page 267 - Le mal est fait; il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ; puis tout ^ <( à coup, ne sais comment , vous voyez calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue d'œil.
Page 207 - Il rappelait la profanation des saints lieux et le sang des chrétiens versé par torrents dans les rues de Jérusalem ; il invoquait tour à tour le ciel, les saints, les anges qu'il prenait à témoin" de la vérité de ses récits ; il s'adressait à la montagne de Sion, à la roche du Calvaire, au mont des Oliviers, qu'il faisait retentir de sanglots et de gémissements.
Page 207 - Sommes-nous donc venus dans ce siècle «pour voir la désolation de la chrétienté, et pour « rester en paix lorsqu'elle est livrée entre les mains «de ses oppresseurs? Guerriers qui m'écoutez, « vous qui cherchez sans cesse de vains prétextes «de guerre, réjouissez-vous, car voici une guerre « légitime ! » Que de cœurs un pareil langage, une pareille politique, n'auroient-ils pas ramenés à la religion!
Page 267 - D'abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l'orage, pianissimo, murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et •piano, piano, vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait ; il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando...
Page 297 - Pendant ces horribles tortures , il ne lui arriva pas de pousser un soupir ou de proférer la moindre plainte. Le mandarin , attribuant un silence si extraordinaire à quelque art magique, fit à l'instant égorger un chien , et ordonna que de son sang on aspergeât le corps du martyr; puis on continua de le frapper sans compter les coups, jusqu'à ce qu'on le vit incapable de se remuer ; alors on le transporta dans la prison.