L'évéque Gozlin; ou, Le siege de Paris, Volume 1Chez Duféy et Vezard, 1832 |
Common terms and phrases
Abbon Adal Adalbert Adelinde amants assez avaient baiser Barbara barque bientôt Bougival bras C'était camp chanter chapelle Charles-le-Chauve Charlevanne château chefs ciel Clodoald comte Eudes couverte couvrait croix d'Adalbert d'Adelinde Dieu dit-il douce doute église ensuite époux fabliau femmes fille fleuve forêt Gertrude Godiva guerriers gynécée habitants histoire homme hydromel j'ai jeta jeune jour Judith l'abbaye l'abbé Ebles l'église l'ermitage l'ermite l'évêque Gozlin l'île laisser larmes long-temps Lutèce main Marc-Loup Marcoul Marie l'Égyptienne ment mère milieu monastère Mont-de-Mars Mont-Valérien murs n'avait Neustrie Nitard Normands nuit Odille Odin palais Pappula paraissait Parisiens passer pêcheur peine pélerins père peuple plaine de Saint-Denis pont porte presque prêtres Radegonde regardait reliquaire reliques reste rive Rollon Romains s'écria s'élevait s'était saint Germain Saint-Denis sais scalde Egill semblait sentit sera seul Sigefroi sorcière sort statue terre tête tour triste trouver venait vieille Vierge voix voulait Voyez la note Windal yeux
Popular passages
Page 88 - II est difficile que les hommes accordent aux femmes de telles choses. Cependant, si tu fais en sorte que nous demeurions sans tache dans ce monde, je te donnerai une part de la dot qui m'a été promise par mon époux, mon Seigneur Jésus-Christ, à qui je me suis consacrée comme épouse et servante.
Page 87 - A ces paroles, prononcées avec des torrents de larmes, le jeune homme, touché de pitié, lui dit : « — Nous sommes les enfants uniques des parents les plus nobles de l'Arvernie, et ils ont voulu nous unir pour propager leur race, de peur qu'à leur sortie du monde un héritier étranger ne vint à leur succéder. « Elle lui dit : — Le monde n'est rien, les richesses ne sont rien, la pompe de cette terre n'est rien, la vie même dont nous jouissons n'est rien.
Page 86 - Comme elle gardait le silence : Je te conjure par Jésus-Christ, Fils de Dieu, reprit-il, de me faire part de ce qui t'afflige. « S'étant alors retournée vers lui, elle répondit : Dusse-je 1.
Page 132 - Tacite a dit en parlant des Germains : « ils pensent que » par respect pour la majesté des Dieux , on ne doit ni les » renfermer dans des murs, ni les représenter sous aucune » espèce de forme humaine ; ils leur consacrent des bois » et des forêts entières ; et ils appellent du nom de leurs » dieux ces profondeurs mystérieuses qu'ils ne connais» sent que par le respect religieux qu'elles leur inspi
Page 86 - Voilà que délaissée par le Christ « immortel, qui me promettait le Paradis pour dot, « je suis liée à un mari mortel ; et au lieu d'être parée « d'une couronne de roses incorruptibles, je recevrai « du mariage la triste parure d'une couronne de roses K flétries.
Page 405 - ... plus grands, et ajouté des royaumes à ton « empire? Le vice et un triple péché te tiennent engourdie. « Tu te laisses emporter à l'orgueil , à un honteux amour « pour les plaisirs de Vénus , et à un goût effréné pour les « habits précieux. N'as-tu donc pas la force de repousser « au moins de ton lit voluptueux tes propres parentes et « les religieuses consacrées au Seigneur! Pourquoi te livres« tu à des goûts contre nature , lorsque tant de femmes « courent au-devant de...
Page 394 - Paris , une des plns anciennes confréries de cette ville. On y remarquait la peinture d'un de ses vitraux, où sainte Marie l'Égyptienne était représentée sur un bateau, troussée jusqu'aux genoux, devant le batelier; au-dessous de cette peinture, on lisait ces mots : Comment la sainte offrit son corps au batelier pour son passage. Dans la Vie de cette sainte on lui fait ainsi confesser cette action : « N'ayant pas de quoi payer mon passage , il me « vint en l'idée d'exposer ma personne à...
Page 87 - Je ne puis voir les diadèmes rayonnants de pierreries, lorsque je porte le regard de ma pensée sur sa couronne d'épines. Je méprise les vastes espaces de la terre, car je souhaite ardemment les douceurs du paradis. Les palais élevés me font pitié lorsque je regarde le Seigneur élevé au-dessus des astres ! » e A ces paroles, prononcées avec des torrents de larmes, le jeune homme, touché...
Page 413 - l'Edda ) qui sont reçus dans le palais d'Odin , ont » tous les jours le plaisir de s'armer , de se ranger en » bataille , et de se tailler en pièces les uns les autres ; » mais , dès que l'heure du repas approche , ils re» tournent à cheval, tous sains et saufs, dans la salle » d'Odin , et se mettent à boire et à manger.
Page 405 - Malheureux, nous nous permettons ce qui est défendu comme ce qui ne l'est pas. France, il te faut des agrafes d'or pour relever tes magnifiques vêtements, et de la pourpre de Tyr pour donner à ta peau un vif incarnat ; tu ne veux pour tes épaules que des manteaux enrichis d'or ; une ceinture ne plaît à tes reins que si elle est garnie de pierres précieuses, et tes pieds ne s'accommodent que de courroies dorées ; des vêtements modestes ne suffisent pas à te couvrir.