 | Jean Marie Prat - 1843 - 428 pages
...ténèbres de mon âme offusquaient ma contemplation ; j'étais certain que vous êtes, et que vous êtes infini , sans cependant vous répandre par les...j'étais néanmoins trop faible pour vous posséder. cherché la voie dans le Christ Sauveur , cette science n'allait qu'à ma perte. Je voulais déjà... | |
 | Adolphe Hatzfeld - 1906 - 532 pages
...ténèbres de mon âme ne me permettaient pas de contempler. J'étais certain que vous existez; que vous êtes infini, sans cependant vous répandre par les espaces finis ou infinis; (1) De doctrina christiana, II, ix, n° 60. — Cf. Conf., VII, ix, n° 15. que vous êtes véritablement... | |
 | Augustin ((saint ;) - 1925 - 440 pages
...ténèbres de mon âme ne me permettaient pas de contempler. J'étais certain que vous existez ; que vous êtes infini, sans cependant vous répandre par les espaces finis ou infinis ; que vous êtes humano remaneret. Quia itaque uera scripta sunt, totum hominem in Christo agnoscebam,... | |
 | Régis Jolivet - 1932 - 306 pages
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 | 1955 - 1026 pages
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... des corps, j'aperçus vos perfections invisibles devenues intelligibles à travers les choses créées, et, quoique refoulé dans ma tentative, je compris ce qu'était cette vérité que les ténèbres de mon âme ne me permettaient pas de contempler.... 