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ceau, qui était un Agnus Dei, que le père Surin n'y put pas tenir; il sauta au cou de l'enfant et l'embrassa en s'écriant :

— Tu es un vrai chérubin !

Puis il dit tout bas aux personnes qui l'entouraient :

—J'en demande bien pardon à M. le curé, mais on ne chante pas mieux que cela dans le ciel, c'est impossible !... Et, il y a une chose qui me confond : une belle voix, c'est un don de la nature ; mais qu'un enfant sache chanter, presque sans avoir appris, comme on ne chanterait pas après quinze ans d'étude, avec une pureté, une suavité, une perfection enfin que personne n'a jamais atteinte... c'est miraculeux !

Il y avait, après la messe, un grand dîner chez M. Surin. Il emmenait d'abord les mariés et le père de Pierrot, puis la voiture devait revenir pour chercher M. le curé, sa sœur et Joas. M. le curé, qui savait cela, se déshabilla promptement à la sacristie ; il fut étonné de n'y pas voir Joas, mais il supposa qu'il était au presbytère pour faire sa toilette. Arrivé chez lui, il dit à sa sœur : – Joas est donc ici ? — Mais non, répondit Geneviève, je ne l'ai point vu. — Vous vous trompez; appelez-le donc ? On appela; point de réponse. — Allez voir dans le jardin, dit le curé.

M. le curé expliquant le dénoûment. Dessin de M. E. Forest.

— Geneviève sortit et revint en disant qu'elle ne l'avait pas trouvé. — Il sera donc resté à la sacristie, dit le curé ; il sait pourtant que nous devons partir. Le curé et sa sœur allèrent à la sacristie, personne; ils appelèrent dans l'église, cherchèrent partout, mais inutilement. Ils allèrent à tout hasard chez Pierrot; pas besoin de dire que Joas n'y était pas. Ils retournèrent au presbytère, et ils virent que les habits de ville de Joas étaient dans sa chambre, que, par conséquent, il n'était pas revenu après la messe, SEPTEMBRE 1852,

Alors, avec une inquiétude toujours croissante, ils visitèrent de nouveau l'église, puis ils parcoururent le village, de porte en porte, demandant si l'on n'avait point vu Joas.

Cette visite, partout infructueuse, jeta de l'émotion parmi les habitants. lls sortaient tous pour aider M. le curé et sa sœur dans leurs recherches, et l'on fit pour ainsi dire une battue dans le village et dans les environs. On alla jusque chez M. Surin ; mais comment supposer que Joas s'y était rendu avec ses habits d'enfant de chœur ? aussi n'y était-il point.

La bonne Geneviève pleurait.

• 48 - Dlx-NEUVIÈME voLUME.

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A la fin, le curé retourna à l'église, et y fit venir tous les enfants de chœur. ll leur dit : — Joas est-il venu à la sacristie ôter ses habits comme vous ? — Non, monsieur. — Où l'avez-vous vu pour la dernière fois ? — Moi, dit l'un d'eux, je l'ai vu près de l'orgue, lorsque M. Surin l'a embrassé. — Oui; mais après cela, dit un autre, quand la messe a été finie, il est allé se mettre à genoux derrière l'autel, et... L'enfant hésitait. — Et... dit le curé. — Et il m'a semblé voir au-dessus de sa tête une petite flamme bleue. — Non, dit un troisième, ça n'était pas bleu. Je l'ai vu aussi dans ce moment-là, c'était comme une lumière qui entourait sa tête... comme celle qui est, dans le tableau du chœur, sur le saint Jean-Baptiste. Le curé joignit les mains et leva les yeux au ciel... — Et après?... dit-il. - Après, disent les enfants, nous sommes rentrés à la sacristie ; mais il n'y est pas venu. — Et, en sortant?... - Quand nous sommes sortis, il n'était plus derrière l'autel..., et nous ne l'avons pas revu. M. le curé congédia les enfants de chœur. Resté seul, il s'écria : - Mon Dieu! je ne m'étais donc pas trompé !... 1 Puis, après avoir fait une longue prière, il rentra chez lll. ' Dès que sa sœur l'aperçut : — Eh bien !... dit-elle avec anxiété. — Nous ne le trouverons pas ! dit gravement le curé. — Comment ! nous ne le trouverons pas ! dit Geneviève en pleurant; mon petit Joas ! mon cher enfant !... Mais non, non, il ne peut pas être perdu ! c'est impossible !... — Nous ne le trouverons pas, répéta le curé; venez dV0C II]0l. Et il fit monter sa sœur dans la voiture qui devait le conduire chez le père Surin. Pendant la route, il laissa la pauvre femme exhaler sa douleur en plaintes et en sanglots, et il demeura silencieux. Aussitôt que le curé et sa sœur furent arrivés dans la salle où l'on était réuni : - Et Joas ! Joas ! leur cria-t-on de toutes parts. — Joas n'est pas avec nous ! répondit le curé. — Mais où est-il ? où est-il ? s'écria Pierrot. — Il est... dit le curé, il est retourné d'où il était venu. — Comment ! que voulez-vous dire ? — Mes amis, dit le curé, en prenant un siége au milieu de l'assemblée, mes amis, écoutez-moi... Il y a un passage de saint Paul, où il est dit : « N'oubliez pas l'hos« pitalité, car, par elle, quelques-uns ont logé des anges, « n'en sachant rien. » Vous voyez par là que les anges descendent quelquefois sur la terre. Quelquefois ils restent invisibles. Quelle mère peut douter que son enfant ait un ange gardien, quoiqu'elle ne l'ait jamais vu? D'autres fois ils se manifestent visiblement, sous la forme d'un voyageur ou d'un mendiant, comme saint Paul nous le dit encore, ou sous d'autres formes ; tout cela selon les desseins de Dieu. Croyez-vous qu'il n'y en ait point parmi les sœurs de charité, parmi les enfants, parmi ces jeunes filles qui disparaissent à la fleur de l'âge, n'ayant jamais

aimé que leur mère et Dieu? Le petit Joas! notre enfant chéri! que Dieume permette de lui donner encore cenom! rappelez-vous comment il est apparu en ce monde! cette préservation miraculeuse ! ce nid, qui ne peut avoir été fait ni par un homme, ni par un oiseau !... Rappelez-vous sa beauté, son intelligence, sa candeur, sa sagesse..., cette voix qui ne pouvait avoir d'égale, comme nous l'avons dit bien souvent, que celle des chérubins dans le ciel !... Est-ce que tout cela peut s'expliquer humainement?... Ah ! mes amis! nous voulons toujours trouver les causes naturelles des choses, mais il y en a beaucoup de surnaturelles. Dieu est avec nous bien plus que nous ne croyons, et s'il cache le plus souvent sa main toute-puissante, il lui plaît quelquefois de la laisser voir. Reconnaissons-la, adorons-la quand elle se montre à nous... Mais pourquoi cet ange est-il descendu sur la terre?... Ne le voyez-vous pas?... Dieu voulait du bien à ce brave garçon que voilà (montrant Pierrot), et ne vous en étonnez pas, parce qu'il est parmi les humbles de la terre ; car Dieu s'occupe des petits comme des grands, et, notre Seigneur Jésus-Christ l'a dit, il n'y a pas un seul de nos cheveux, à chacun de nous, qui ne soit compté... Oui, Dieu voyait avec faveur ce jeune homme qui était d'une bonne et riche nature, mais ardente, et par conséquent exposée à bien des dangers. Alors il lui a envoyé cet enfant, qui devait lui être comme un frère, pour adoucir sa rudesse, pour exercer et élever son intelligence, pour le garder contre la violence et les mauvaises passions, pour le faire entrer et le maintenir dans la bonne voie, et enfin, pour accomplir ce mariage qui était selon la volonté de Dieu ; car, vous le savez, mes amis, les bons mariages sont écrits dans le ciel... Aussi, quand les époux ont été unis devant l'autel, et après que le saint sacrifice a été célébré, l'ange avait fait son œuvre ; la mission que Dieu lui avait donnée était remplie..., il est retourné à Dieu... Ne soyons donc pas trop affligés de son absence, car, si nous avons perdu un ami sur la terre, nous avons un protecteur dans le ciel ; et il veut que nous ayons de la joie, lui qui est remonté à la source de toutes joies. Et puis, sachons tirer une leçon de cet événement miraculeux : c'est que nonseulement il nous faut pratiquer l'hospitalité, par la raison que donne saint Paul, mais que nous devons entourerd'égards et de respects les personnes qui se distinguent en ce monde par leur piété, par leur charité, par leurs vertus; car elles peuvent être, à notre insu, des anges envoyés de Dieu. Malgré ses sentiments religieux et toute la confiance qu'il devait avoir dans la parole de M. le curé, Pierrot ne put supporter l'idée d'avoir perdu son petit Joas... Il eut une explosion de larmes, et il s'élança hors de la chambre, en disant : Je vais encore le chercher ! Mais il revint seul quelque temps après. Le lendemain on fit encore, et la justice, qui n'était pas obligée de croire à un miracle, fit elle-même des recherches; mais elles furent sans résultat. La disparition du petit Joas resta mystérieuse, comme l'avait été sa venue dans le monde, et on n'en put trouver d'autre explication que celle donnée par le bon curé.

L'AUTEUR DE Madeleine (1).

(1) Nous ne pouvons livrer autrement le nom de notre collaborateur. Ses graves et hautes fonctions ne nous le permettent pas. Nos lecteurs reconnaîtront du moins, dans l'auteur du Petit Joas, un des plus ingénieux et des plus charmants conteurs de la jeunesse. Cette perle, nous l'espérons, ne sera pas la dernière que nous obtiendrons de son écrin.

TRIELE IIÉTEIODIQUE DES VIRTIÈRES.

PoÉsIE, FABLES, MUSIQUE.

Le gondolier de Venise. Romance de Colet. 15.
Petits vers d'un grand chanteur. 98.
Une bataille de chiens. Fable. Viennet. 150.
Le chat philanthrope. Id. 150.
Le retour, romance. Bessems. 156.
Le dahlia bleu. Id. Pierre Dupont. 220.
Pourquoi. Id. 277.

ETUDES RELIGIEUSES.

Le pêre Ventura et l'abbé Combalot. Pitre-Che-
valier. 189,

Histoire d'un palais et d'une fleur. Baldus. 207.

l'hysique. Le baromêtre. Grolier. 211.

Stéréoscope et pseudoscope.278.
Navire aérien. 311.
Tissus incombustibles. 314,
Machine à labourer. 315.
BEAUX-ARTs, ACTUALITÉS.
Exposition de Londres. Chatouville. 30, 63.
Salon de Bruxelles. Id. 31.
l'hilippe Roos, peintre. Michiels. 57.
Sainte-Clotilde et Saint9-Geneviève, 104.
Salvator Rosa. E. Breton. 105.
Le bouquet de Pie IX. 128.
Salon de 1852. 160, 242, 273. -
Mozart et Marie-Antoinette. Pitre-Chevalier.

Ablon (Carrefour d'), 1652. 1.

Abel tombé de l'échafaudage. 185.

Amalby (Comtesse d'). 9.

Avisseau (Ouvrages d'). 169.

Baromètre à tableau. 213.

Bastion de la porte Saint-Antoine. 112.

Bassompierre buvant dans sa botte. 144.

Bulles de savon, de Forster. 152.

Beaucourt (Le marquis de) et sa famille. 4 grav.

353, 356, 357, 360.

Bouquet d'étrennes à Pie IX. 128.

Chambre d'étudiant. 361.

Château de Montsabrey. Frédéric voit Lucile.289

Fréderic à l'Aigle-d'Or. 292.

Lucile enfant. Adolescente. 293, 296.

Frédéric peignant Lucile.297.

Fréderic allant à Montsabrey. 300.

Lucile écoutant Frédéric, 340,

Frédéric, le docteur et Lucile. 341.

Mme de Montsabrey et le portrait de Lu-

cile. 344.

Mme de Montsabrey. 345.

Id. retrouvant sa fille. 348.

Id. Dénoûment. 349.

Charlemagne et le serpent.97.
Chat puni, de Lenain. 65.
Cerf forcé, d'Oudry. 52.
Clotilde (Sainte), statue de Feugères des Forts.
104.
Coq distribuant la soupe. 53.
Chiliens combattant au lazo. 165.
Couronne russe (Sibérie). 24.
Coup de main (Afrique). 176.
Cervantes et le comte de Lemos. 181.
Consultation (La). 228.
Chateix (Paysanne de).233.
Châteaux en Californie. Retour. 257.
- Alexis et Henri. 261 .
- Henriette et Clara. 264.
- Dubourg transformé. 265.
- Catherine. 269.

Curé expliquant Joas. 377,

Dames de Lima. 305.

Danse liménienne. 333.

Deboile aux Cordeliers de Quimper. 113.

Deboile déguisé, en Normandie. 121.

Denier de la veuve (statue). 256.

Douanier emporté par le diable. 68.

Duels de l'évêque. Breteuil et Bonrepos. 280.

- Lacaze et Marie. 281.

— Duel à l'épée. 284,

- Duel aux échecs. 285,

- Breteuil mort et Lacaze, 288,

161 .

Sophie Cruvelli. Ch. 167.

Ouvrage d'Avisseau. 169.

La Malibran noire. Pitre-Chevalier. 214.

La tourelle de la place de Grève. 215.

Petit pont de l' Hôtel-Dieu. 218.

La galerie d'Apollon, Louvre. 240.

Débuts de Mathews. P. C. 254.

Tableaux du maréchal Soult. 271.

J. Merino, de Lima. 301.

Horloge du Palais de Justice. 319.

Ancien Musée des Petits-Augustins, E. de Kéra-

try. 335.

IIISTOIRE NATURELLE.

Esprit des bêtes. Histoire du chien Galimafré.

Chatouville. 49.

Les chats à quatre pattes et à

deux pieds. Id. 65.
Défense des chiens. 350.

CRITIQUE, THÉATREs, sALoNs.
Livres nouveaux. Théâtres, Concerts. 32, 63,
158, 192, 199, 218, 239, 273, 318, 319.
Cours de M. Chasles. 158.
Eloges de M. Flourens. 221.

Enfant déniché (L'). 369.
Episode de la Haye-Sainte. Duvaux. 80.
Expérience de Magendie. 365.
de Lenning. 368.

Fête des Amancaës à Lima. 321.

Franklin , Episodes. 201.

Gage du docteur. 145.

Galerie d'Apollon. Louvre. 240,

Grandpré cherchant à maigrir. 56,

Gulliver chez les géants. 352.

Halte de Bohémiens. Tourneux. 273.

Hospitalité sous la tente. 173.

Horloge du Palais de Justice.320.

Inondation en Italie. Schnetz.25.

Indiens et Négres, etc. Lima. 328.

Klaus montrant le diable. 101,

Lettres ornées. 37, 88, 120, 124.

Loge aux Italiens. 64.

Mancini (Le capitaine). 13.

Martingale (Baron de). 125.

Meubles de Grohé. 29.

Miroir du fiancé russe. 136.

Mouton et loup. Roos. 57.

Musée des Petits Augustins. 336, 337.

Noce de village. 248.

Ornements. 4, 61.

Orage dans la famille Dupenne. 225.

Portraits de Mlles Mancini et Martinozzi. 5,

Mlle de Chevreuse. 8.

Général Echénique.28.

Infante d'Espagne, à quatorze ans. 33.

Henriette d'Angleterre. 36.

Pierre Seguier. 40.

Comte d'Harcourt. 41,

Turenne. 45.

Mathieu Molé. 48.

Cooper (Fénimore) 76.

Marie-Thérèse de France, 77,

Charles de Lorraine. 85.

Duc de Chaulnes. 89.

Sebastiani, Lingard, Audubon, Spontini,

Daguerre, Perlet, Dode de la Brunerie,

Bastiat, Drolling. 96.

Salvator Rosa. 108.

Montalembert. 153.

Wolfrang Mozart. 164.

Sophie et Marie Cruvelli. 168.

Miguel Cervantes. 177.

T. R. P. Ventura. 189.

Abbé Combalot. 192.

Marie Stuart et Darnley. 193.

Famille et contemporains de Marie Stuart.

1

9

7,

William (Le commodore). 184,

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A NOS LECTEURS. RENOUVELLEMENT DE L'ABONNEMENT.

Nous rappelons à nos souscripteurs (soit du Musée seul, soit du Musée et des Modes vraies), qui n'auraient pas encore renouvelé leur souscription, que leur abonnement pour 1851-52 expire avec la présente livraison de septembre, qui complète notre dix-neuvième volume.

La livraison d'octobre 1852, première du vingtième volume ( 1852-53), ne pourra donc être envoyée exactement qu'aux personnes qui, d'aujourd'hui au 10 octobre, auront renouvelé leur abonnement pour 1852-53, en versant ou en envoyant à nos bureaux, soit : Pour le Musée seul, 6 fr. par an pour Paris, 7 fr. 50 c. pour les départements; — pour le Musée et les Modes vraies réunis, 11 fr. par an pour Paris, 13 fr. 70 c. pour les départements.

On ne peut s'abonner aux Modes vraies sans s'abonner au Musée; mais on peut toujours s'abonner au Musée seul, auquel rien n'est changé.

N. B. Les abonnés qui pourront renouveler immédiatement leur abonnement, outre qu'ils s'épargneront un retard fâcheux dans la réception du numéro d'octobre, nous permettront ainsi d'accélérer, dans leur intérêt et dans celui de tous, notre † 'et notre service de plus en plus considérables.

M0DES PRÉFÉRABLES D'AB0NNEMENT P0UR LES DÉPARTEMENTS.

Nous ne répondons personnellement de l'exactitude du service qu'envers les abonnés qui s'adressent directement et franco à mos bureaux, comme il est dit ci-dessous.A ceux-là seulement nous garantissons la réception exacte et franco du Musée le

25 ou le 26 de chaque mois. En cas d'erreur, ils peuvent réclamer dans le mois courant. Ceux qui s'abonnent chez des intermédiaires ne doivent demander compte qu'à ceux-ci des retards ou des pertes éprouvées. Leurs réclamations près de nous resteraient sans réponse. On sait d'ailleurs que, grâce à la réduction de la taxe des lettres, la poste est désormais la voie d'abonnement la plus prompte, la plus sûre et la plus économique à la fois. Voici un modèle de souscription qu'il suffit de transcrire et d'adresser au Musée des Familles, rue Saint-Roch, 37, à Paris : « Je m'abonne (ou je renouvelle mon abonnement) au Musée des Familles (1), que je recevrai franco par la poste, pour la somme ci-jointe de 7 fr. 50 c. (2), le 25 de chaque mois, du 25 octobre 1852 au 25 septembre 1853 inclus. Pour l'Etranger, voyez les prix à la première page de la couverture, ou au verso du titre. On peut aussi s'abonner directement par tous les bureaux des Messageries Nationales et Générales. Voyez, à la quatrième page de la couverture, le programme du prochain volume du Musée, celui des Modes vraies, celui de la collection et des volumes détachés, etc.

(1) N. B. Ajouter: « et aux Modes vraies », si on veut les rece. Voir avec le Musée.-(2) Inscrire, en ce cas, « 15fr.70 c » Ecrire lisiblement son nom et son adresse, et remettre cette lettre affranchie au premier bureau de poste, avec le prix de l'abonnement, contre lequel tout directeur des postes doit expédier un bon de ladite somme.

RÉBUS SUR LOUIS VI (LE GROS)

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N.-B. Ce rébus important avait été omis dans son ordre chronologique. Notre numéro d'octobre prochain en donnera l'explication

Typographie IIENNUYER, rue du Boulevard, 7. Datignollcs.
( Loulevard exterieur de Paris, j

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LES NOUVELLES GALERIES DU LOUVRE.

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Cheminée du Palais de Justice de Bruges, moulée en plâtre au Louvre. Dessin de M. II. Catenacci. OCTOBRE 1852.

-1 - VINGTIÈME VOLUNE,

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