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qui l'avais aperçu le premier, c'est moi qu'on a chargé de son avancement.

Napoléon considéra un moment le grenadier, qui continuait à donner à Jacquot une leçon d'équitation sur son pied, puis il lui dit :

- Je te dois quelque chose, Jacques.

-A moi, mon Empereur? Vous m'avez donné la croix pour cette balafre, c'est moi qui vous dois du retour.

- C'est, reprit Napoléon, pour ce que tu as dit à l'empereur Alexandre.

-Je ne lui ai pas fait de sottise à cet empereur, est-ce qu'il s'est plaint de moi à mes chefs, par hasard?

-Non assurément, dit Napoléon, car je veux te récompenser. Voyons, que désires-tu?

- Ma foi, répondit Jacques, je n'ai besoin de rien; mais puisque vous voulez me faire une politesse, donnez quelque chose à ce petit; ça lui portera bonheur.

-Bien volontiers, dit l'Empereur.

Et Jacques s'étant levé, il mit l'enfant sur son bras, et s'approcha tandis que Napoléon cherchait dans ses poches un objet à donner au marmot. Il n'y trouva que quelques pièces d'or, qu'il y remit bien vite, car ce n'était pas avec cette monnaie-là qu'il avait gagné le cœur de ses soldats. Il chercha de nouveau, et ne trouva rien que des papiers. Enfin, il ne savait trop que faire, lorsqu'il découvrit sa tabatière dans un coin de son gilet, et il la tendit au petit Jacquot. Jacques se mit à rire en regardant la boite et dit :

- Cette bêtise! donner une tabatière à un enfant qui ne fume pas encore !

L'Empereur allait répliquer, lorsqu'il sentit que l'on touchait à son chapeau. En effet l'enfant, qui était sur les bras du grenadier, avait glissé sa main dans la gance, et jouait avec la cocarde.

-Tenez, mon Empereur, dit le grenadier, le petit mioche est plus fin que nous deux, il fait comme vous: il prend ce qui lui convient.

-Eh bien! reprit Napoléon, qu'il le garde; et luimême ayant ôté la cocarde de son chapeau, la remit à l'enfant, à qui Jacques dit en le faisant danser dans ses bras:

Allons, fais voir à l'Empereur que tu sais parler. Et l'enfant riant, et frappant ses mains l'une contre l'autre, bégaya doucement ce mot: Vie... l'apereur !...

Depuis ce jour, Jacques fit beaucoup de voyages. Il revint à Paris, alla à Madrid, retourna à Vienne, poussa jusqu'à Moscou et accompagna Napoléon à l'île d'Elbe. Jacquot était de toutes les campagnes, tantôt mesurant ses petits pas sur les grandes enjambées des grenadiers de la garde, tantôt porté avec les bagages, quelquefois à califourchon sur le sac du grognard. Il avait un petit sabre, un bonnet de police qu'il mettait déjà sur l'oreille, et jouait du fifre comme un rossignol. Et Jacques, qui aimait et honorait son Empereur comme sa mère et son pays, avait appris à Jacquot à l'aimer et à l'honorer de même.

Cependant le grenadier était bien embarrassé de la façon dont il ferait porter la cocarde à l'enfant. Mais l'idée lui vint de l'enfermer dans un médaillon, qu'il lui suspendit au cou en lui disant:

- Ecoute, Jacquot, tu feras ta prière tous les jours sur cette relique, ou je te fais manger ta soupe sans souffler dessus.

Ce qui fut dit fut fait, et, chaque jour, pendant huit ans, Jacquot s'agenouillait devant sa cocarde, priant pour son père Jacques et pour l'Empereur.

Ce temps, ces huit années suffirent pour faire monter la France au comble de la gloire et de la puissance, et

pour la plonger dans les revers. Napoléon fut exilé à Sainte-Hélène, et l'armée fut licenciée; le pauvre Jacques fut renvoyé comme les autres, avec ses trois chevrons, sa croix et son pauvre Jacquot. Louis, qui avait alors neuf ans, et qui commençait à comprendre le malheur, m'a bien souvent raconté que ce qui le frappait le plus, c'était de voir son pauvre père, qui avait fait quelques mois avant des marches forcées de quinze à vingt lieues par jour, le fusil, la giberne et le sac sur le dos, tomber, presque mourant de fatigue, au bout de quelques heures de route, alors qu'il ne portait plus qu'un petit paquet de hardes et un misérable bâton. Il s'affaiblissait chaque jour; souvent tous deux passaient les nuits dans de pauvres étables. Jacquot ramassait les débris de paille que laissaient traîner les garçons d'écurie pour en couvrir le vieux grenadier. Il le veillait chaque nuit, et lui donnait la moitié des croûtes de pain qu'il obtenait de la charité des maîtres d'auberges; mais enfin la faiblesse de Jacques devint si grande, qu'il fut forcé de s'arrêter dans une hutte abandonnée, où le pauvre soldat, vaincu par la douleur, s'écria:

Jacquot, un peu d'eau-de-vie, ou je me meurs! Le pauvre enfant se prit à pleurer de toutes ses forces; puis il alla se mettre sur le bord du chemin et essaya de demander l'aumône, mais il n'obtint rien. Il se désespérait tout à fait, lorsqu'une idée lui vient tout à coup, une idée comme le malheur en inspire. Il se mit à genoux, tira son médaillon de sa poitrine, et se mit à crier en sanglotant:

Mon Dieu! mon Dieu! donnez-moi un peu d'eaude-vie pour le père Jacques!

En ce moment, un monsieur s'approcha de Jacquot; il interrogea l'enfant, qui, à travers ses larmes, lui raconta son histoire, et qui finit par lui dire :

Le père Jacques m'a défendu de jamais me séparer de cette cocarde; il m'a dit qu'elle me protégerait, que c'était mon bien; et je me ferais couper un bras plutôt que de la perdre. Cependant si vous voulez m'en donner un sou, prenez-la, parce que je pourrai acheter de l'eaude-vie au père Jacques.

L'étranger attendri répondit à l'enfant :

Celui que tu as imploré a laissé en France quelques vieux soldats qui partageront ses bienfaits avec leur vieux compagnon; mène-moi près de Jacques. Et cet homme...

Cet homme bienfaisant, s'écria le jeune officier de marine, en interrompant la femme du général, cet homme bienfaisant me prit dans ses bras, moi, pauvre mendiant; il fit transporter Jacques dans son château, il le rendit à la vie, il lui assura une existence, puis il me fit élever, moi, orphelin, comme son fils; et chaque jour, il m'accable de bienfaits.

Et le jeune marin se prit à pleurer en disant ces paroles; et, comme le général et sa femme lui tenaient les mains, ses larmes roulèrent sur sa belle figure, et le général s'écria à son tour:

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Tu ne finis pas l'histoire, Louis, tu oublies de dire que je te promis de te rendre la cocarde le jour où tu reviendrais avec une épaulette gagnée comme nous gagnions les nôtres. Et, vous le voyez, la cocarde est à son chapeau; car Louis était à la prise d'Alger, et son capitaine, qui l'avait pris aspirant, me l'a renvoyé enseigne.

A ces mots, le brave général embrassa son fils adoptif. Nous étions tous attendris.

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Un jeune et beau serin, doué par la nature
Du plus mélodieux gosier,

Etait né sous le toit d'une taverne obscure,
Où chantaient nuit et jour et buvaient sans mesure
Tous les ivrognes du quartier.

Dieu sait ce qu'il apprit à cette belle école,
De quels jolis refrains il meubla son cerveau :
La Ça ira, la Carmagnole,

Et tous les airs grivois que, depuis Ramponeau,
Chantent les porcherons, la guinguette et la geôle.

Un cocher de bonne maison,

Mais qui, dans ses loisirs, fréquentait le bouchon,
Des talents du serin, qu'il admirait sans cesse,
Entretint un jour sa maîtresse.
Elle voulut l'avoir, le paya chèrement;

Et le voilà dans un salon charmant,
Sous les barreaux vernis d'une cage dorée,
Au milieu d'une grave et brillante soirée.
La surprise d'abord le tient silencieux;
Mais, à la fin d'une sonate,

Mon serin se redresse, il prélude, il éclate;
Et, par les sons les plus harmonieux,

Le drôle entonne un air à boire,
Le plus gaillard, le plus séditieux,
Le meilleur de son répertoire.
De jeunes étourdis, la fleur de ce salon,

Répondent à cet air par un rire homérique; Et la dame étonnée exige qu'on explique Les paroles de la chanson. C'était le difficile, et chacun se récuse, Hors un vieux libertin (il en est de bon ton), Qui, tout en se couvrant de mainte et mainte excuse, De ce rire fatal lui donne la raison. «Quelle horreur ! dit la dame, et quelle impertinence! « Qu'on apporte à mes chats cet oiseau mal appris! - «Grâce, grâce! ont crié mes jeunes étourdis; « Du criminel révoquez la sentence; « C'est merveilleux! c'est un oiseau de prix; « C'est le plus beau gosier des bocages de France.» Mais la dame en ces mots leur impose silence: « Apprenez de moi, jeunes gens, «Que l'homme honnête, l'homme sage, «Ne doit que du mépris aux plus rares talents, « Quand on en fait mauvais usage. »

L'arrêt est dur, mais juste, et je ne voudrais pas
Que cette prude, un peu sauvage,
Près de certains palais voués au bavardage,
Se promenât avec ses chats.

VIENNET, de l'Académie française.

CHRONIQUE DU MOIS.

LE SCHLESWIG-HOLSTEIN. - A M. PITRE-CHEVALIER.

Vous me demandez, cher ami, quelques détails caractéristiques sur ces duchés de Holstein et de Schleswig, qui depuis deux ans passionnent l'Allemagne et intéressent l'Europe. Je reconnais là votre attention continuelle à tenir les lecteurs du Musée des Familles au courant de tout ce qui peut les instruire et leur plaire dans l'histoire contemporaine.

Je définirai d'un mot la guerre du SchleswigHolstein. C'est une lutte allemande contre l'unité danoise, comme ces luttes bretonnes contre l'unité française, dont vous avez été l'impartial historien. Quelque héroïsme que les duchés déploient, je crois que Frédéric VII l'emportera dans le Nord comme Charles VIII l'emporta dans l'Ouest. Telle est la marche de la centralisation moderne.Combien de temps les Allemands du Danemarck garderont-ils leurs franchises locales? - Voilà toute la question, et la bataille d'Isted a prouvé aux Schleswig-Holsteinois,— comme celle de Saint-Aubin aux Bretons de François II, que les armes sont moins favorables aux provinces que les négociations. La raison du plus fort est toujours la meilleure. Tel est le rude axiome du canon.

Le Holstein marquait autrefois la limite septentrionale du Saint-Empire. Il touche le Schleswig au nord, l'Elbe et le Hanovre au sud et à l'ouest. Il est baigné, de ce côté, par la mer d'Allemagne, et du côté opposé par la Baltique. Il a 154 milles car

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SEPTEMBRE 1850.

pays. Il fait un grand commerce sur les deux mers qui l'avoisinent. Il s'enrichit encore de la pêche des phoques et de la baleine sur les côtes du Groenland.

Charlemagne fut un des premiers conquérants du Holstein. Il en enleva dix mille familles saxonnes, qu'il jeta dans la Flandre et la Hollande. En 1460, le Holstein s'unit au Schleswig, pour élire comte-souverain Christian Ier, roi de Danemarck. Ses successeurs y gagnèrent du terrain, de règne en règne, et ils achevèrent d'absorber le Holstein en 1806. Après la paix de Kiel, le roi de Danemarck entra, comme duc de Holstein, dans la Confédération germanique, avec une dixième voix à la Diète et trois voix dans le plenum. Ce duché rapportait alors deux millions cent vingt mille florins, et son contingent fédéral était de 3,900 hommes.

Le Schleswig a 164 milles carrés, et 348,500 âmes. Il forme la partie sud du Jutland. Son sol, peu accidenté, n'est dominé que par des collines, et ses marais de l'ouest sont protégés contre la mer par des digues de 20 pieds de haut, et des écluses de 30 à 60 pieds. Il exporte, par an, 150,000 tonnes de céréales, 3,000 chevaux, des bestiaux de toute sorte, une masse de poissons, et des dentelles célèbres. Incorporé au Danemarck de temps immémorial, il a toujours été l'apanage des enfants de ses rois. Mais il conservait des priviléges, que ceux-ci juraient à leur avénement. Il avait la même administration, la même justice, les mêmes Etats provinciaux que le Holstein. Le siége du gouvernement était la ville de Schleswig. La Cour d'appel supérieure résidait à Kiel.

L'insurrection des duchés-unis a été l'un des contrecoups de la révolution de Février. Le roi de Danemarck, Frédéric VII, y a répondu par la suppression des anciennes franchises, et les princes allemands, déclarés d'abord pour les duchés, au nom de la Confédération germanique, hésitent aujourd'hui à soutenir une guerre exploitée par leurs ennemis intérieurs. Ils ne peuvent, d'ailleurs, invoquer l'acte fédéral qu'en faveur du Holstein. Enfin l'escadre russe, mouillée à Kiel, est prête à appuyer Frédéric VII, à qui la victoire d'Isted a déjà rendu le Schleswig.

Telle est, mon cher ami, l'histoire des duchés, dégagée de toutes les phrases du journalisme.

J'y joins six costumes dessinés pour vous au cœur du Schleswig-Holstein, dans un de ces recoins obscurs où se réfugient les vieilles mœurs nationales. Les trois premiers vous représentent la ville; et les trois autres, la cam

pagne. Les uns et les autres sont fort rares et disparaissent de jour en jour.

Tandis que je les croquais, mes modèles ont absorbé dix litres de bière et fumé un kilogramme de tabac, avec le flegme germanique qui les caractérise. Puis ils m'ont conduit à une fête populaire, pù ils se sont livrés à des ébats que dédaigneraient fort les habitués du Ranelag et du Château-Rouge. Le grand plaisir y consiste à sauter deux à deux, et à changer de dansense, dans une espèce de jeu des Quatre-Coins. O fortunatos nimium!

Comme je demandais au chef de famille, riche commerçant, quand il se retirerait des affaires : - Jamais, me répondit-il avec étonnement. Le travail n'est-il pas la loi humaine? Mon père a travaillé jusqu'à son dernier jour, et je laisserai le même exemple à mes fils, qui le donneront ensuite à mes petits-enfants.

Cette morale ne vaut-elle pas le port de ma lettre? Schleswig, 2 septembre 1850. UN TOURISTE FRANÇAIS.

M. DE BALZAC.

Si l'on ne trouve pas dans cette livraison la vie et le portrait de M. de Balzac, l'un des plus anciens et des plus illustres collaborateurs du Musée des Familles, qui vient de mourir dans la force de l'âge et du talent, et dont le ministre de l'intérieur a commandé le buste en matbre pour le Musée de Versailles, c'est que notre recueil les avait déjà publiés en 1841 (Voy. notre tome IX, p. 32; Vous y trouverez la curieuse biographie du célèbre romancier, et son image frappante, d'après le beau tableau de Louis Boulanger). M. de Balzac a publié, dans le Musée des Familles : la Vie de Château. t. I, p. 127; les Mechancetés d'un Saint, t. IX, p. 353; Mme de la Chanterie, t. X, p. 361, et t. XI, p. 1re et 33. L'auteur de ces œuvres, aussi morales que profondes, n'a malheureusement pas toujours gardé depuis la réserve que lui imposait alors le Musée des Familles.

N. B. Notre prochaine livraison contiendra, entre autres articles:

Michel-Ange et François Ier, par M. ALEXANDRE DUMAS; L'Angleterre et les Anglais, voyage en train de plaisir, par M. FRANCIS WEY;

La Jeunesse et les Voyages de Louis-Philippe, avec son portrait à vingt ans (sans politique);

La Biographie et le Portrait du général espagnol SanMartin, le Washington du Chili et du Pérou, qui vient de mourir à Boulogne-sur-Mer, etc., etc.

AVIS A NOS ABONNÉS.

Nous rappelons à nos souscripteurs que leur abonnement à 1849-50 expire avec la livraison présente de septembre, qui complète leur dix-septième volume.

La livraison d'octobre prochain, 1re du dix-huitième volume (1850-51), ne sera donc envoyée exactement qu'aux personnes qui, d'ici au 20 octobre, auront renouvelé leur abonnement pour 1850-51, soit en versant 6 fr. à nos bureaux pour continuer de recevoir le Musée à Paris, soit en adressant directement à l'administration, rue Neuve-Saint-Roch, 37, une lettre affranchie, avec un bon de poste de 7 fr. 50 (ou un mandat à vue sur Paris), pour continuer de recevoir le Musée dans les départements, franco, le 25 de chaque mois. Nous prions nos abonnés de faire ce renouvellement le plus tôt possible, pour nous mettre en mesure de leur épargner tout retard.

Nous répétons à nos souscripteurs des départements que nous ne pouvons répondre que des abonnements et renouvellements faits ainsi directement par lettres affranchies. N'ayant pas même les noms de ceux qui s'abonnent par toutes voies indirectes, nous ne saurions admettre feurs réclamations ni être responsables des retards ou des pertes qu'ils éprouvent.

Tout abonné direct est sûr de recevoir le Musée régulièrement, le 25 de chaque mois, et peut, jusqu'au mois

suivant, nous adresser ses réclamations et les voir immédiatement satisfaites.

On sait, d'ailleurs, que, grâce à la réduction de la taxe des lettres à 25 c. pour toute la France, la poste est la voie d'abonnement la plus prompte, la plus sûre et la plus économique.

Voici un modèle de souscription qu'il suffit de transcrire et d'adresser au Musée des Familles, rue NeuveSaint-Roch, 37, à Paris.

« Je m'abonne (ou je renouvelle mon abonnement) au Musée des Familles, que je recevrai franco, par la poste, pour la somme ci-jointe de 7 fr. 50, le 25 de chaque mois, du 25 octobre 1850 au 25 septembre 1851.

(Signer) demeurant à... (ajouter son adresse.) Remettre cette lettre affranchie au premier bureau de poste, avec 7 fr. 50,-contre lesquels tout directeur des postes doit expédier un bon de même somme.

Nota. Si l'on veut recevoir en même temps les publi cations en vente au Musée des Familles, on en joindra à la lettre la désignation et le prix.

N. B. Voyez l'avis détaillé ci-contre sur la couverture, pour la collection, les loteries, l'Almanach de France, les œuvres de M. Pitre-Chevalier, le programme du prochain volume et ses améliorations et additions.

TABLE MÉTHODIQUE DES MATIÈRES.

POESIES. FABLES. MUSIQUE.

Le Tribun et le Fourmillier. Viennet. 22.

Chanson du Calfat. Ortolan. Poncy. 91.

L'Herbe qui guérit tout. Houssaye. 111.

Milanaise. Redowa. Aulagnier, 112.

Prière du matin. E. Ortolan. 113.

Les deux Montres, etc. Sainte-Marie. 126.

Le Grilion. Lamartine. 156.

Le Rossignol et le Corbeau. Sainte-Marie. 158.

Chanson de Jellachich. P. C. 179.

Le Fouet du Postillon. Viennet. 218.

Pleurs et Fleurs. Desbordes. 238.

Les vieilles Fourmis. Sainte-Marie. 274.

Boules de neige. Polka. Aulagnier. 285.
L'Arbre et l'Ecorce. Sainte-Marie. 312.
Lo Chien du quaker. L. Halévy. 334.
Sous le roi Dagobert. 370.

Le serin mal elevé. Viennet. 376.

ÉTUDES RELIGIEUSES.

Fêtes chrétiennes. Les Innocents. Desbordes.
67,99.

Adieux des missionnaires. Touzė. 109.
N. B. Voyez ETUDES MORALES.
ÉTUDES MORALES.

Le vrai Robinson. Saintine. 25, 50, 117, 133, 161.
La Roquette, prison. Touzė. 200, 227, 279, 298.
Pensees et Maximes. Charnage. 335.

N. B. Voyez ETODES RELIGIEUSES, ÉTUDES
DRAMATIQUES el NOUVELLES.

ÉTUDES SCIENTIFIQUES.

La Science en famille. Duteil. 275.

Histoire du paratonnerre. Gaspard. 276.

Id. 357.

de l'aérostat.

N. B. Voyez ÉTUDES BIOGRAPHIQUES, ÉTU-
DES INDUSTRIELLES, ÉTUDES D'HISTOIRE NA-
TURELLE et ACTUALITÉS.

ETUDES HISTORIQUES.

Napoléon prophète. Napoléon. 4.
Revolutions d'autrefois. Le Médaillon d'argent.
Pitre-Chevalier, 5, 35, 82.

Le Pain de Gonesse, Id. 242, 259.
- Le Bouquet de noces. Id. 353.
Coup d'œil sur la table, en France. Mazas. 22.
Conquête du Pérou. W. Prescoll. 189. 271.
N. B. Voyez GEOGRAPHIE, VOYAGES, el ETU-
DES BIOGRAPHIQUES.

ETUDES BIOGRAPHIQUES.

Gotenberg à Mayence, 132.

L'abbe Bautain. P. C. 221.

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Bretagne. Le Finistère. La Folle de Douarne-

nez. La Pêche de la sardine. Pitre-Ch. 321,

349.

Angleterre. Ermitage de Warkwork, P. C. 49.
Inde. Allahabad. Madura, elc. Lavallee.97,195.

N. B. Voyez ETUDES BIOGRAPHIQUES ET AC- Californie. Un Chercheur d'or. De C. 158.

TUALITÉS.

ETUDES D'HISTOIRE NATURELLE.
L'Esprit des Bêtes, les Crapauds méconnus. 16.
-Art militaire chez les chiens, Chatouville. 65.
Réveil des oiseaux. P. Tourneux. 273.

-Réhabilitation de l'ours, de Ch. 361.

-Hamdani-Blanc. 31.

Etudes sur mon jardin. Jardineur. 239.
-Monographie de la clématite. id. 239.
Id. de la Rose. id. 289.

-Marguerite et Epi de blé. id. 335.

ETUDES LITTERAIRES.

Originaux. P. Scarron. Un Académicien. 167.
-Jules César Croce. id. 309.

N. B. Voyez ACTUALITÉS.

ETUDES DRAMATIQUES.

Le Spectacle en famille. P. C. 145.

-A quelque chose malheur est bon. Pitre-
Chevalier. 145, 179.

-Une Journée de vacances, l'habit ne fait pas
le moine. Pitre-Chevalier et Ch. Wallut. 338.
ETUDES INDUSTRIELLES.

Histoire d'un livre. Mary-Lafon. 1, 114, 129,
170, 210.

N. B. Voyez ETUDES SCIENTIFIQUES.

NOUVELLES, CONTES, PROVERBES.

Les Hommes égaux. Conte. 144.

L'Aveuge du Perigord. Pongerville. 197.

Proverbes en action. 232, 272.

Anecdotes. 284.

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TABLE ALPHABÉTIQUE DES ILLUSTRATIONS.

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