| Adjutor Rivard - 1901 - 320 pages
...on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avait passé : fracas effroyable, inévivitable ruine ! On se console, parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains, du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les goûtant. Enchantement! toujours entraîné, tu approches du gouffre... | |
| Blaise Pascal - 1904 - 452 pages
...temps [on rencontre det] objets qui nous diverliuent, des eanx courantes, des fleurs qui passent... On se console parce qu'on emporte quelques fleurs cueillies en passant, qu'on vnit *e faner entre ses mains do matin au soir, quelques fruits qu'on perd en le» goûtant. » 5.... | |
| Léo Claretie - 1905 - 688 pages
...on voit tombe.r derrière soi tout ce qu'on avait passé : fracas effroyable ! inévitable ruine ! On se console parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les goûtant. Enchantement ! Toujours entraîné, tu approches du gouffre... | |
| Alphonse de Lamartine - 1915 - 468 pages
...[on rencontre des] objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des flears qui passent, etc... On se console parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir » (Abrégé d'un sermon prêché à Meaux le jour de Pâques ; Œuvres de Bossuet, Versailles, i8i6,... | |
| Louis Dimier - 1917 - 336 pages
...cependant on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avait passé. Fracas effroyable, inévitable ruine. On se console, parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les goûtant. Enchantement. Toujours entraîné, déjà tu approches... | |
| Blaise Pascal - 1921 - 458 pages
...temps [on rencontre des] objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent... On se console parce qu'on emporte quelques fleurs cueillies en passant, qu'on voit ae faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les goutant. a - • SECTION... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1923 - 732 pages
...cependant on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avait passé ; fracas effroyable, inévitable ruine. On se console, parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les goûtant. Enchantement. Toujours entraîné, tu approches du 1. PS.... | |
| Édouard Herriot - 1928 - 260 pages
...semblable à un chemin... il faut avancer toujours. Je voudrais retourner sur mes pas : Marche, marche.... On se console, parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les goûtant. Enchantement. Toujours entraîné, tu approches du gouffre... | |
| Robert Aris Willmott - 1928 - 244 pages
...faner entre ses mains ; du matin au soir ; quelques fruits qu'on perd en les goûtant ; enchantement ! Toujours entraîné, tu approches du gouffre affreux ; déjà tout commence à s'effacer ; les jardins sont moins fleuris, les fleurs moins brillantes, leurs couleurs moins vives, les prairies... | |
| 1886 - 972 pages
...on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avait passé : fracas effroyable, inévitable ruine. «H On se console, parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les goûtant : enchantement ! Toujours entraîné, tu approches du gouffre... | |
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