| Alfred Fouillée - 1877 - 620 pages
...également en quelque coin de l'univers qu'on soit caché. Un homme n'a jamais besoin de dire à un autre : Retirez-vous, pour me laisser voir ce soleil ; vous me dérobez ses rayons, vous enlevez la part qui m'est due. Ce soleil ne se couche jamais, et ne souffre aucun nuage que ceux qui sont formés... | |
| François de Salignac de la Mothe Fénelon (abp. of Cambrai.) - 1878 - 738 pages
...également en quelque coin de l'univers qu'on soit caché. Un homme n'a jamais besoin de dire à un autre : Retirez-vous, pour me laisser voir ce soleil ; vous...qui se ferment à sa lumière; et encore même n'y at-il point d'homme si malade et si aveugle qui ne marche encore à la lueur de quelque lumière som«a... | |
| François de Salignac de La Mothe Fénelon - 1880 - 266 pages
...deux hémisphères, qui 4. Première partie, chap. H, p. 48 5. Idem, chap. m, p. -'00. ne se coucne jamais, et ne souffre aucun nuage que ceux qui sont formés par nos passions 1. » II nous reste quelques mots à dire, non plus de Fénelon, mais de notre travail d'éditeur.... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1882 - 710 pages
...également en quelque coin de l'univers qu'on soit caché. Un homme n'a jamais besoin de dire à un autre : Retirez-vous, pour me laisser voir ce soleil ; vous...qui se ferment à sa lumière ; et encore même n'y at-il point d'homme si malade et si aveugle qui ne marche encore à la lueur de quelque lumière som'... | |
| Paul Rousselot - 1883 - 560 pages
...également, en quelque coin de l'univers qu'on soit caché. Un homme n'a jamais besoin de dire à un autre : Retirez-vous, pour me laisser voir ce soleil; vous...qui se ferment à sa lumière, et encore même n'y at-il point d'homme si malade et si aveugle qu'il ne marche encore à la lueur de quelque lumière... | |
| Jean-Félix Nourrisson - 1886 - 628 pages
...en quelque coin de l'univers que l'on soit caché. Un homme n'a jamais besoin de dire à un autre : Retirezvous pour me laisser voir ce soleil ; vous me dérobez ses rayons, vous entevez la portion qui m'est due... C'est le seul véritable maître qui enseigne tout et sans lequel... | |
| Alfred Fouillée - 1899 - 616 pages
...également en quelque coin de l'univers qu'on soit caché. Un homme n'a jamais besoin de dire à un autre : Retirez-vous, pour me laisser voir ce soleil ; vous me dérobez ses rayons, vous enlevez la part qui m'est due. Ce soleil ne se couche jamais, et ne souffre aucun nuage que ceux qui sont formés... | |
| Félix Hémon - 1899 - 892 pages
...en quelque coin de l'univers qu'on soit caché. Un homme n'a jamais besoin de dire à un autre : « Retirez-vous, pour me laisser voir ce soleil ; vous me dérobez ses rayons, vous eulevez la portion qui m'est due. » Ce soleil ne se couche jamais, et ne souffre aucun nuage que ceux... | |
| 1865 - 1086 pages
...peut jamais dérober ses rayons à un autre homme. Un homme n'a jamais besoin de dire à un autre : Retirez-vous, pour me laisser voir ce soleil ; vous...jamais, et ne souffre aucun nuage que ceux qui sont formes par nos passions : c'est un jour sans ornbre ; il éclaire les sauvages mêmes dans les antres... | |
| Delacouture - 1851 - 398 pages
...couche jamais , qui éclaire les sauvages même dans les antres les plus profonds et les plus obscurs , et ne souffre aucun nuage , que ceux qui sont formés par nos passions, etc... (V. Exist. de Dieu, lre part. , ch. 2.). — C'est la lumière dont parle saint Jean, qui éclaire... | |
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