| Jean Edme Auguste Gosselin - 1867 - 514 pages
...par le fond de nos entrailles! Si о je t'oublie, Église Romaine, puisse-je m'ou« blier moi même ! Que ma langue se sèche « et demeure immobile dans...première dans mon « souvenir , si je ne te mets pas au commen« cément de tous mes cantiques de réjouis« sanee ! » 11 seroit aisé de recueillir des écrits... | |
| Alexandre Réaume - 1869 - 586 pages
...toujours à ton unité par le fond de nos entrailles. « Si je t'oublie, Eglise romaine, puissé-je m'oublier moimême ! que ma langue se sèche et demeure...souvenir, si je ne te mets pas au commencement de tous mes cantiques de réjouissances : » Adhœrat lingua mea faucibus meis, si non meminero tui, si non proposuero... | |
| Alexandre Réaume - 1869 - 564 pages
...toujours à ton unité par le fond de nos entrailles. « Si je t'oublie, Eglise romaine, puisse-je m'oublier moimême ! que ma langue se sèche et demeure...souvenir, si je ne te mets pas au commencement de tous mes cantiques de réjouissances : » Adhœrat lingua mea faucil'us meis, si non meminero tui, si non proposuero... | |
| Adolphe Auguste Roüet - 1869 - 532 pages
...Bossuet : « Si je t'oublie, Eglise Romaine, puissé-je m'oublier moi-même ! Que ma langue se dessèche et demeure immobile dans ma bouche, si tu n'es pas toujours la première dans mon souvenir... » (Sermon sur l'unité de l'Église.) saisi ; mais mon Ultramontanisme est de plus vieille date. M.... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1878 - 500 pages
...ton unité par le fond de nos entrailles. « Si je t'oublie, Église romaine, puissé-je m'ou« blier moi-même! que ma langue se sèche et demeure « immobile...si je ne te mets pas au « commencement de tous mes cantiques de réjouis« sance : » Adhœreat lingua mea faucibus meis, si non meminero tut, si non... | |
| Gustave François Xavier de Lacroix de Ravignan - 1879 - 192 pages
...toujours à ton » unité parle fond de nos entrailles. Si je t'oublie, » Église romaine, puissé-je m'oublier moi-même ! » Que ma langue se sèche et...immobile » dans ma bouche si tu n'es pas toujours la pre» mière dans mon souvenir, si je ne te mets pas » au commencement de tous mes cantiques de ré»... | |
| Francisque Bouillier - 1879 - 414 pages
...pleurant Jérusalem nous serions tenté de nous écrier : « Si je t'oublie, Jérusalem, puisse-je m'oublier moi-même ! Que ma langue se sèche et demeure immobile dans ma bouche si tu n'es pas la première dans mon souvenir ! » dont elle était le centre intellectuel, pour la langue, pour l'histoire,... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1880 - 556 pages
...toujours à ton unité par le fond de nos entrailles. « Si je t'oublie, Église romaine, puisse-je m'oublier moi-même! que ma langue se sèche et demeure...souvenir, si je ne te mets pas au commencement de tous mes cantiques de réjouissance : » « Adhœreat lingua mea faucibus meis, si non me« minero tui, si non... | |
| Charles Eugène Berseaux (b.1822) - 1883 - 318 pages
...toujours à ton « unité par le fond de nos entrailles. Si je t'oublie, « Église romaine, puissé-je m'oublier moi-même! Que « ma langue se sèche et demeure immobile dans ma (1) Rohrbacher, Hist. univ., 1. 91. (2) Lettres provinciales, xvn. r « bouche,si tu n'es pas toujours... | |
| Joseph Marie comte de Maistre - 1884 - 628 pages
...hommes qui l'entendirent sans l'écouter ; •< ô sainte Eglise de Rome ! «si je t'oublie, puissé-je m'oublier moi-même! que « ma langue se sèche et demeure immobile dans ma « bouche ! » « 0 sainte Eglise romaine ! » s'écriait à son tour Fénelon, dans ce mémorable mandement... | |
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