| Edmond Arnould - 1858 - 516 pages
...souvenir depuis quel temps il lui a parlé, et de quoi le défunt l'a entretenu ; et tout d'un coup il est mort : voilà, dit-on, ce que c'est que l'homme, et celui qui le dit, c'est un homme ; et cet homme ne s'applique rien , oublieux de sa destinée , ou s'il passe dans son... | |
| Edmond Arnould - 1858 - 514 pages
...exemple de son 1 Pensées, 1" partie. Sermon sur la Mort, où il ya tant de beautés du même genre : « On n'entend dans les funérailles que des paroles d'étonnement de ce que le mortel est mort. Chacun rappelle en son souvenir depuis quel temps il lui a parlé, et de quoi le... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1862 - 684 pages
...souvenir depuis quel temps il lui aparlé et de quoi le défunt l'a entretenu ; et tout d'un coup il est mort : Voilà, dit-on , ce que c'est que l'homme ; et celui qui le dit , c'est un homme; et cet homme ne s'applique rien, oublieux de sa destinée; ou s'il passe dans son... | |
| Jean-Marie-Sauveur Gorini - 1865 - 536 pages
...n'est rien ! > Voilà ce qu'on murmure. Oui, pendant, peutêtre, qu'on pleure le mort, pendanl 1 « On n'entend dans les funérailles que des paroles d'étonnement de ce que ce mortel est mort : chacun rappelle en son souvenir depuis quel temps il lui a parlé et de quoi le défunt l'a entretenu... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1867 - 594 pages
...mort ne lui soit présente, quoiqu'elle s,e mette en vue de tous côtés, et en mille formes diverses. On n'entend dans les funérailles que des paroles d'étonnement, de ce que ce mortel est mort. Chacun rappelle en son souvenir depuis quel temps il lui a parlé, et de quoi le défunt l'a entretenu;... | |
| 1867 - 936 pages
...plus conscience de. lui-même; et comme l'a dit ailleurs Bossuet avec son originalité admirable : <f On n'entend dans les funérailles que des paroles d'étonnement de ce que ce mortel est mort. Chacun rappelle en son souvenir depuis quel temps il lui a parlé et de quoi le défunt l'a entretenu... | |
| Jean de La Fontaine - 1867 - 640 pages
...mort ne lui soit présente, quoiqu'elle se mette en vue de tous côtés et en mille formes diverses. On n'entend dans les funérailles que des paroles d'étonnement de ce que ce mortel est mort; chacun rappelle en son souvenir depuis quel temps il lui a parlé, et de quoi le défunt l'a entretenu... | |
| Eugène Gandar - 1867 - 528 pages
...tous les jours. C'est la familiarité même de son langage qui, sans effort, captive les attentions : On .n'entend dans les funérailles que des paroles d'étonnement, de ce que ce mortel est mort. Chacun rappelle en son souvenir depuis quel temps il lui a parlé, et de quoi le défunt l'a entretenu;... | |
| Eugène Gandar - 1867 - 526 pages
...quel temps il lui a parlé, et de quoi le défunt l'a entretenu; et tout d'un coup il est mortl « Voilà, dit-on, ce que c'est que l'homme ! » Et celui qui le dit, c'est un homme; et cet homme ne s'applique rien, oublieux de sa destinée; ou, s'il passe dans son... | |
| Eugène Gandar - 1867 - 524 pages
...effort, captive les attentions : et de quoi le défunt l'a entretenu; et tout d'un coup il est mortl « Voilà, dit-on, ce que c'est que l'homme! » Et celui qui le dit, c'est un homme; et cet homme ne s'applique rien, oublieux de sa destinée; ou, s'il passe dans son... | |
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