| Francisque Bouillier - 1854 - 698 pages
...Dieu autant que la mienne en est capable, je n'ai qu'à considérer de toutes les choses dont j'ai en moi quelque idée, si c'était perfection ou non...n'était en lui, mais que toutes les autres y étaient. » Leibnitz dit mieux encore que Descartes, mais non pas mieux que Malebranche ou Fénelon : « Pour... | |
| Francisque Bouillier - 1854 - 632 pages
...de faire, pour connaître la nature de Dieu, autant que la mienne en était capable, je n'avais qu'a considérer de toutes les choses dont je trouvais...perfection ou non de les posséder, et j'étais assuré qu'r.ucune de celles qui marquaient quelque imperfection n'était en lui, mais que toutes les autres... | |
| Francisque Cyrille Bouillier - 1854 - 870 pages
...n'ai qu'à considérer de toutes les choses dont j'ai en moi quelque idée, si c'était perfeetion ou non de les posséder, et j'étais assuré qu'aucune de celles qui marquaient quelque imperfeetion n'était en lui, mais que toutes les autres y étaient. ' Leibnitz dit mieux encore que... | |
| Adrien Delondre - 1855 - 474 pages
...: « Suivant les raisonnements que je viens de faire pour connaître la nature de Dieu , autant que la mienne en était capable , je n'avais qu'à considérer...mais que toutes les autres y étaient. » (\) C'est ce principe de Descartes que l'on a suivi généralement dans la distinction des attributs métaphysiques... | |
| Adrien Delondre - 1855 - 476 pages
...: « Suivant les raisonnements que je viens de faire pour connaître la nature de Dieu , autant que la mienne en était capable , je n'avais qu'à considérer...n'était en lui, mais que toutes les autres y étaient. » (1) C'est ce principe de Descartes que l'on a suivi généralement dans la distinction des attributs... | |
| Auguste Joseph Alphonse Gratry - 1856 - 710 pages
...Suivant les « raisonnements que je viens de faire, pour con« naître la nature de Dieu, autant que la mienne en « était capable, je n'avais qu'à considérer,...« quelque imperfection n'était en lui, mais que tou« tes les autres y étaient ' » Il affirme toute perfection et il nie toute imperfection. Il nie... | |
| Auguste Gratry - 1856 - 516 pages
...Suivant les « raisonnements que je viens de faire, pour coni< naître la nature de Dieu, autant que la mienne en « était capable, je n'avais qu'à considérer,...j'étais assuré qu'aucune de celles qui marquaient i Principes, p. 23,v1. — 2 Ibid., p. 239. « quelque imperfection n'était en lui, mais que tou«... | |
| Charles Bénard - 1857 - 718 pages
...était capable, je n'avais qu'à considérer de toutes choses dont je trouvais en moi quelqu'idée, si c'était perfection ou non de les posséder ; et...j'étais assuré qu'aucune de celles qui marquaient quelqu'imperfection n'était en lui, mais que toutes les autres y étaient. » (Disc, de ta Méth.,... | |
| 1859 - 678 pages
...idée? « Pour connaître la nature de Dieu autant que la mienne en était capable, répond Descartes, je n'avais qu'à considérer, de toutes les choses...n'était en lui, mais que toutes les autres y étaient 2. » Soit, cette règle est admirable; mais enfin quelles sont, selon vous, ces perfections ? « Par... | |
| 1859 - 652 pages
...idée ? « Pour connaître la nature de Dieu autant que la mienne en était capable, répond Descartes, je n'avais qu'à considérer, de toutes les choses...n'était en lui, mais que toutes les autres y étaient 2. » Soit, cette règle est admirable; mais enfin quelles sont, selon vous, ces perfections ? « Par... | |
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