 | Ernest Dupuy - 1912 - 468 pages
...une tombe, Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations. C'est là ce que me dit sa voix triste et superbe,...mon cœur alors je la hais, et je vois Notre sang dansson onde et nos morts sous son herbe Nourrissant de leurs sucs la racine des bois. Vivez, froide... | |
 | George Neely Henning - 1913 - 456 pages
...seule et sereine, en un chaste silence 300 « Je fendrai l'air du front et de mes seins altiers. » C'est là ce que me dit sa voix triste et superbe,...herbe Nourrissant de leurs sucs la racine des bois. 305 Et je dis à mes yeux qui lui trouvaient des charmes : « Ailleurs tous vos regards, ailleurs toutes... | |
 | George Neely Henning (ed) - 1913 - 460 pages
...seule et sereine, en un chaste silence 3o° « Je fendrai l'air du front et de mes seins altiers. n Notre sang dans son onde et nos morts sous son herbe Nourrissant de leurs sucs la racine des bois. 305 Et je dis à mes yeux qui lui trouvaient des charmes : tet*> <df « Ailleurs tous vos regards,... | |
 | George Neely Henning - 1913 - 476 pages
...seule et sereine, en un chaste silence 300 » Je fendrai l'air du front et de mes seins altiers. » Notre sang dans son onde et nos morts sous son herbe Nourrissant de leurs sucs la racine des bois. 305 Et je dis à mes yeux qui lui trouvaient des charmes : « Ailleurs tous vos regards, ailleurs toutes... | |
 | Maurice Tourneux - 1916 - 678 pages
...(t. I", p. "79). Nous songeons aux vers de Vigny : On me dit une mère et je suis une tombe — ... je vois Notre sang dans son onde, et nos morts sous son herbe — Meurtrière, la Nature est de plus muette et d'une détestable beauté. « Je me demandais à quoi... | |
 | Albert Letellier - 1920 - 374 pages
...J.-J. Rousseau. . J En effet, dans la Maison du Berger, lorsque le poète écoute ainsi la Nature : « C'est là ce que me dit sa voix triste et superbe...herbe Nourrissant de leurs sucs la racine des bois. Ces sucs repris par les racines sont donc rendus aux êtres vivants par les végétaux dont ils se... | |
 | Nicolas Serban - 1920 - 78 pages
...(Epître à M. Mitchel, VII, p. 13). LA NATURE AVEUGLE EST INDIFFÉRENTE AUX SOUFFRANCES DE L'HOMME Notre sang dans son onde et nos morts sous son herbe Nourrissant de leurs sucs la racine des bois. . . (La Maison du Berger). ...Je suis l'impassible théâtre Que ne peut remuer le pied de ses acteurs.... | |
 | Arturo Graf - 1920 - 388 pages
...aborrimento, e distogliendo lo sguardo dalle crudeli bellezze che lo avevano abbagliato un istante, esclama : C'est là ce que me dit sa voix triste et superbe, Et dans mon coeur alors je la hais et je vois Moire sang dans son onde et nos morts sous son herbe, Nourrasant... | |
 | Georges Pellissier - 1922 - 584 pages
...adorations. « Avant vous, j'étais belle et toujours parfumée, J'abandonnais au vent mes cheveux tont entiers. Je suivais dans les cieux ma route accoutumée,...vois Notre sang dans son onde et nos morts sous son herL.e Nourrissant de leurs sucs la racine des bois. Et je dis à mes yeux qui lai trouvaient des charmes... | |
 | Edward Hinman Sirich, Francis Brown Barton - 1923 - 494 pages
...J'irai seule et sereine, en un chaste silence 2o Je fendrai l'air du front et de mes seins altiers." C'est là ce que me dit sa voix triste et superbe,...herbe Nourrissant de leurs sucs la racine des bois. 25 Et je dis à mes yeux qui lui trouvaient des charmes : "Ailleurs tous vos regards, ailleurs toutes... | |
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J'abandonnais au vent mes cheveux tout entiers : Je suivais dans les cieux ma route accoutumée, Sur l'axe harmonieux des divins balanciers. Après vous, traversant l'espace où tout s'élance, J'irai seule et sereine, en un chaste silence Je fendrai... 
