 Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez reconnaître.  L'Ami de la religion et du roi - Page 4021824Full view - About this book
 | Louis-Gabriel-Ambroise vicomte de Bonald - 1859 - 772 pages
...crimes, l'apothéose do . l'homme; celte religion, « à laquelle nous devons, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne saurait assez reconnaître. » (Esprit des lois.) Sachons si elle n'est qu'une faiblesse... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1861 - 774 pages
...philosophes de l'antiquité. « Enfin, dit Montesquieu, nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne saurait assez reconnoltre. « C'est ce droit qui fait que parmi nous la victoire... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1861 - 646 pages
...Nous devons au christianisme, dit encore l'auteur de Y Esprit des Lois, et dans le gouvernement an certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, ^ue la nature humaine ne saurait assez reconnoltre. » A en juger par les inquiétudes que l'on affecte... | |
 | Clovis Pinard - 1860 - 766 pages
...qui ont dévasté l'Asie, et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait trop reconnaître.! Ainsi la religion de Jésus-Chrisl a rendu les gouvernements... | |
 | Louis Veuillot - 1861 - 602 pages
...gouvernements anciens. » Et Montesquieu : « Nous devons au christianisme, et dans le gou« vernement un certain droit politique, et dans la guerre « un certain droit des gens que la nature humaine ne sau(( rait assez reconnaître. » Ce que, pour le remarquer en passant, Rousseau... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1843 - 684 pages
...philosophes de l'antiquité. « Enfin , dit Montesquieu , nous devons au christianisme, etdanslegouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne sauroit assez reconnoitre. « C'est ce droit qui fait que parmi nous la victoire... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1862 - 676 pages
...liberté. (i Nous devons au christianisme , dit l'auteur de l'Esprit des Lois, et » dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre » un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez » reconnaître. » A en juger par les inquiétudes que l'on affecte... | |
 | Eugène Cauchy - 1862 - 574 pages
...chrétienne est la source. «Nous devons au christianisme», dit Montesquieu, « et « dans le gouvernement, un certain droit politique, et dans la ? guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne « saurait assez reconnaître *. » Wilberforce marquait encore davantage ce caractère... | |
 | Le docteur Mary (pseud.) - 1864 - 432 pages
...dans un passage souvent cité par les apologistes : « On doit au christianisme dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez reconnaître 2. » Le résultat dont parle ici l'éminent publiciste... | |
 | Franc̨ois Marie Pérennès - 1864 - 776 pages
...vio, fait encore notre bonheur dans celle-ci. Nous devons au Christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que 1л nature humaine ne saurait assez reconnaître. Ou a osé avancer que de véritables Chrétiens ne... | |
| |
