| Blaise Pascal - 1904 - 450 pages
...affreux. On nous en avertit dès le premier pas, mais la loi est prononcée, il faut avancer toujours... On se console pourtant, parce que de temps en temps...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent... On se console parce qu'on emporte quelques fleurs cueillies en passant, qu'on... | |
| Blaise Pascal - 1904 - 452 pages
...affreux. On nous en avertit dès le premier pas, mais la loi est prononcée, il rant avancer Umjonrs. .. On se console pourtant, parce que de temps en temps [on rencontre det] objets qui nous diverliuent, des eanx courantes, des fleurs qui passent... On se console parce... | |
| Léo Claretie - 1905 - 688 pages
...peines. Encore si je pouvais éviter ce précipice affreux ! Non ! non ; il faut marcher, il faut courir. Rapidité des années. On se console pourtant, parce que de temps en temps des objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent, etc. On voudrait arrêter... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1923 - 732 pages
...je pouvais éviter ce précipice affreux ! Non, non ; il faut marcher, il faut courir : rapidité 5 des années. On se console pourtant, parce que de temps en temps objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent, etc. On voudrait arrêter... | |
| Robert Aris Willmott - 1928 - 244 pages
...; encore si je pouvois éviter ce précipice affreux. Non, non, il faut marcher ; il faut courir ; telle est la rapidité des années. On se console...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter ; " Marche ! Marche ! " Et cependant on voit tomber derrière... | |
| Raymond Thamin - 1929 - 696 pages
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| 1886 - 972 pages
...je pouvais éviter ce précipice affreux! Non, non; il faut marcher, il faut courir. On se console, parce que de temps en temps on rencontre des objets qui nous divertissent : des eaux courantes, des fleurs qui passent, et on voudrait s'arrêter : Marche I marche! Et cependant on voit tomber derrière... | |
| 1946 - 726 pages
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| Marcel Arland - 1951 - 598 pages
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