 | Jean Gustave Keetels - 1878 - 360 pages
...route ; encore si je pouvais éviter ce précipice affreux. Non, non, il faut marcher, il faut courir, telle est la rapidité des années. On se console...objets qui nous divertissent : des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter : marche ! marche ! Et cependant on voit tomber derrière... | |
 | Jean Gustave Keetels - 1884 - 358 pages
...route ; encore si je pouvais éviter ce précipice affreux. Non, non, il faut marcher, il faut courir, telle est la rapidité des années. On se console...objets qui nous divertissent : des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter : marche ! marche ! Et cependant on voit tomber derrière... | |
 | Émile Auguste Étienne Martin- Deschanel - 1885 - 368 pages
...Encore si je pouvais éviter ce précipice affreux ! — Non, non ! il faut marcher, il faut courir : telle est la rapidité des années. » On se console...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter. — Marche ! marche ! — Et cependant on voit tomber... | |
 | Emile Deschanel - 1885 - 372 pages
...Encore si je pouvais éviter ce précipice affreux ! — Non, non ! il faut marcher, il faut courir : telle est la rapidité des années. » On se console...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter. — Marche ! marche ! — Et cependant on voit tomber... | |
 | François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1886 - 972 pages
...éviter ce précipice affreux! Non, non ; il faut marcher, il faut courir. On se console, parce que ai temps en temps on rencontre des objets qui nous divertissent: des eaux courantes, des fleurs qui passent, et on voudrait s'arrêter : Marche! marche! Et cependant on voit tomber derrière... | |
 | Paul Janet - 1888 - 412 pages
...pouvais éviter ce précipice affreux! Non, non; il faut marcher, il 2l. faut courir. On se console, parce que, de temps en temps, on rencontre des objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent, et on voudrait s'arrêter : Marche ! marche ! Et cependant on voit tomber derrière... | |
 | Amédé Rougemont - 1893 - 432 pages
...Encore si je pouvais éviter ce précipice 5 affreux! Non, non ; il faut marcher, il faut courir : telle est la rapidité des années. On se console...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait s'arrêter : Marche! Marche ! Et cependant 10 on voit tomber derrière... | |
 | Amédé Rougemont - 1893 - 424 pages
...Encore si je pouvais éviter ce précipice 5 affreux! Non, non ; il faut marcher, il faut courir : telle est la rapidité des années. On se console...que de temps en temps on rencontre des objets qui noua divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait s'arrêter : Marche ! Marche... | |
 | Charles Freppel - 1893 - 412 pages
...peines. Encore, si je pouvais éviter ce précipice affreux. Non, non: il faut marcher, il faut courir. On se console pourtant; parce que de temps en temps,...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter; marche, marcho. Etcependanton voit tomber derrière soi... | |
 | Edouard Laboulaye - 1893 - 410 pages
...si je pouvais i éviter ce précipice aîfrcus; ! Non, non, il faut marcher, i il faut courir. « 0n se console pourtant, parce que de temps en «temps...objets qui nous divertissent, « des eaux courantes, des fleurs qui passent, etc. On «voudrait arrêter : MARCHE, MARCHE! « Et cependant on voit tomber... | |
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Non, non , il faut marcher , il faut courir ; telle est la rapidité des années. On se console pourtant, parce que de temps en temps on rencontre des objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter ; marche... 
