| Antoine Albalat - 1921 - 338 pages
...les cieux de grands bancs d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène...sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour céruléen et velouté de la lune flottait silencieusement sur la cime des forêts et, descendant dans... | |
| François-René de Chateaubriand - 1921 - 462 pages
...d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pa^ moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1923 - 654 pages
...lune flottait silencieusement sur la cime des forêts et, descendant dans les intervalles des arbres, poussait des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. L'étroit ruisseau qui coulait à mes pieds, s'enfonçant tour à tour sous des fourrés de chênes-saules... | |
| Henri Bornecque - 1924 - 240 pages
...d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène...coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans le bois, tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait dans... | |
| Marcel Braunschvig - 1926 - 864 pages
...d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'oeil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène...descendait dans les intervalles des arbres et poussait 2 des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait... | |
| Fortunat Strowski - 1926 - 200 pages
...précéder dans les bois comme sa fraîche haleine. L'astre solitaire monta peu à peu dans le ciel. Le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait...l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière paisible paraissait toute brillante des constellations de la nuit qu'elle répétait dans son sein.... | |
| 1927 - 588 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'il croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité... le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait...des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des ténèbres... la clarté de la lune dormait sans mouvements sur les gazons... formaient des îles d'ombres... | |
| Michèle R. Morris - 1988 - 336 pages
...formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'oeil, qu'on croyait sentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur...coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans le bois, tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait dans... | |
| Gärard Genette - 1997 - 512 pages
...doû>-à4]peil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur elasticité. La scène sur la terre n'étïivpas moins ravissante: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervaHes^des arbres, et poussait des gerbes de lumiere jusque dans l'épaisseur des plus profondSs-tçnèbres.... | |
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