| Nathan Söderblom - 1898 - 108 pages
...christianisme, non pas celui d'aujourd'hui, mais celui de l'évangile, qui en est tout à fait différent. Par cette religion sainte, sublime, véritable, les...société qui les unit ne se dissout pas même à la mort. . . . Dans un peuple de vrais chrétiens . . . chacun remplirait son devoir; le peuple serait soumis... | |
| 1898 - 1138 pages
...christianisme, non pas celui d'aujoiml'hui, mais celui de l'Evangile, qui en est tout à fait différent. Par cette religion sainte, sublime, véritable, les...tous pour frères ; et la société qui les unit ne sa dissout même qu'à la mort' ». Il est commode de calomnier la religion catholique romaine, sans... | |
| Albert Bayet, François Albert - 1904 - 520 pages
...tout à fait différent. Par cette religion sainte, sublime, véritable, les hommes, enfants du môme Dieu, se reconnaissent tous pour frères, et la société qui les unit ne se dissout pas, même àJa mort. Mais cette religion n'ayant nulle relation particulière ' avec le corps politique 1. laisse... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1909 - 200 pages
...cette religion sainte, sublime, véritable, les bommes entants du mcme CIIO CLE nieu, se reconnaissant tous pour frères, et la société qui les unit ne se dissout même pas à la mort, 386 ; on dit qu'un peuple devrais chrétiens formerait la plus parfaite société... | |
| Gaspard Vallette - 1911 - 506 pages
...christianisme, non pas celui d'aujourd'hui, mais celui de l'Evangile, qui en est tout à fait différent. Par cette religion sainte, sublime, véritable, les...société qui les unit ne se dissout pas même à la mort. » Mais Rousseau proclame hardiment que cette religion si belle, fraternelle et cosmopolite, n'ajoute... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1914 - 360 pages
...christianisme, non pas celui d'aujourd'hui, mais celui de TÉvangile, qui est tout à fait différent. Par cette religion sainte, sublime, véritable, les...enfants du même Dieu, se reconnaissent tous pour 1. Formule latine qui constituait une sorte d'excommunication : l'individu, proclamé »acre, était... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1915 - 552 pages
...religion de l'homme, ou le Christianisme : non pas celui d'aujourd'hui, mais celui de l'Évangile14. Par cette religion", sainte, sublime, véritable,...reconnaissent tous pour frères; et la société qui les unit est d'autant plus étroite qu'elle ne se dissout pas même à la mort. 1 [et ne le disputaient que... | |
| Albert Bayet - 1917 - 520 pages
...christianisme, non pas celui d'aujourd'hui, mais celai de l'Evangile, qui en est tout a fait différent. Par cette religion sainte, sublime, véritable, les...qui les unit ne se dissout pas, même à la mort. Mais cette religion n'ayant nulle relation particulière avec le corps politiqueI, laisse aux lois... | |
| Académie de la Val d'Isère, Moûtiers - 1928 - 446 pages
...parce qu'elles sont, après elles, le phis grand bien que les hommes puissent donner et recevoir? « Par cette religion sainte, sublime, véritable, les...même Dieu, se reconnaissent tous pour frères, et la félicité qui les unit ne se dissout pas même à la mort; elle réunit le culte divin et l'amour... | |
| Milan I. Markovitch - 1928 - 438 pages
...appris à Tolstoï que les hommes ne trouveraient le bonheur que dans la pratique du christianisme. « Par cette religion sainte, sublime, véritable, les hommes, enfants du même Dieu, se reconnaissent pour frères, et la société qui les unit ne se dissout pas même à la mort » 5. Tolstoï professera... | |
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